author Publié par incwo2 Fri, 27 Jun 2008 08:20:29 GMT

Cet article a été écrit par Scott Shane en complément de son test sur l’entreprenariat. Monsieur Shane est professeur d‘études entreprenariales à l’université Case Western Reserve. Il est l’auteur de sept livres, le dernier de la série étant Les illusions de l’entreprenariat : Les idées reçues les plus tenaces que les entrepreneurs, les investisseurs et les responsables tiennent pour vraies. La plupart des entrepreneurs ont quantité d’idées reçues sur l’entreprenariat. Voici 10 des idées les plus répandues ainsi que la réalité effective leur correspondant :

  1. Financer un nouveau projet coûte très cher. Faux. Il ne faut que 25 000 $ (environ 16 000 €) pour lancer une start-up. Les entrepreneurs dont le projet est une réussite et qui ne croient pas en ce lieu commun conçoivent leur projet de façon à ce qu’il fonctionne avec peu de cash. Ils empruntent au lieu de payer. Ils louent au lieu d’acheter. Ils remplacent les coûts fixes par des coûts variables en ayant recours aux commissions plus qu’aux salaires fixes.
  2. Les capitaux-risqueurs sont un bon moyen de financement pour les start-ups. Pas à moins que vous créiez une entreprise d’informatique ou de biotechnologie. Le matériel informatique, les logiciels, les semis-conducteurs, la communication et la biotechnologie comptent pour 81% de l’ensemble des capitaux risque en dollars et 72% des entreprises qui possèdent des capitaux risques sur les 15 dernières années environ. Les investisseurs en capital-risque ne subventionnent que 3 000 entreprises par an et seulement un quart de ces entreprises sont au stade de projet ou de start-up. En fait, les chances qu’une start-up obtienne des capitaux risques sont d’environ un sur 4 000. La probabilité que vous mouriez en tombant dans votre douche est plus forte.
  3. La plupart des business angels sont riches. Si être riche signifie être un investisseur averti, une personne avec une valeur nette de plus d’un million de dollars ou un revenu annuel de 200 000$ pour un célibataire et de 300 000$ pour un couple marié, alors la réponse est non. Environ trois quarts des investisseurs qui apportent du capital pour fonder des start-ups à des personnes qui ne sont ni leurs amis, ni leurs voisins, ni leurs associés, ni leur famille ne remplissent pas les conditions nécessaires à l’obtention de l’accréditation de la commission des titres financiers et des bourses. En fait, 32% ont un revenu du ménage de moins de 40 000$ par an et 17% ont un revenu net négatif.
  4. Les start-up ne peuvent pas être financées par des dettes. En fait, la dette est plus répandue que le capital. Selon une étude sur les finances des petites entreprises de la Réserve fédérale, 53% du financement des entreprises âgées de moins de deux ans provient de la dette et seulement 47% provient du capital. Par conséquent, de nombreux entrepreneurs utilisent la dette plutôt que le capital pour fonder leur entreprise.
  5. Les Banques ne prêtent pas d’argent aux start-up. C’est un autre lieu commun. Encore une fois, les données de la Réserve fédérale montrent que les banques comptent pour 16% de l’ensemble des financements fournis aux entreprises de moins de 2 ans. Alors que ce chiffre peut paraître faible, c’est tout de même 3 % plus élevé que l’argent fourni par les créditeurs commerciaux, et toujours plus élevé qu’un tas d’autres sources que tout le monde connaît : les amis, la famille, les business angels, les capitaux risques, les investisseurs stratégiques, les agences du gouvernement.
  6. La plupart des entreprenurs créent des entreprises dans des industries qui les attirent. Malheureusement, c’est le contraire qui est vrai. La plupart des entrepreneurs se lancent directement dans les pires industries lorsqu’ils créent des start-ups. La corrélation entre le nombre d’entrepreneurs commençant une affaire dans une industrie et le nombre d’entreprises échouant dans cette industrie est 0,77. Cela signifie que la plupart des entrepreneurs choisissent des industries dans lesquelles la probabilité qu’ils échouent est plus importante.
  7. La croissance d’une start-up dépend plus du talent de l’entrepreneur que du projet qu’il a choisi. Désolé de dégonfler quelques égos ici, mais l’industrie que vous choisissez pour lancer votre entreprise a un énorme impact sur la probabilité qu’elle réussisse. Durant les 20 dernières années, environ 4,2 % des start-ups dans le secteur informatique et dans l’équipement de bureau ont fait partie de la liste des 500 croissances les plus rapides de toutes les entreprises privées américaines. 0,005% des start-up dans le secteur hôtelier et 0,007 % dans le secteur alimentaire ou des établissements de la boisson étaient présentes dans ce même classement. Cela signifie que la probabilité que vous apparaissiez dans ce classement est 840 fois plus importante si vous créez une entreprise dans le secteur informatique plutôt que si vous ouvrez un hôtel ou un restaurant. Il n’existe aucun autre critère ayant un effet de magnitude sur la croissance d’une entreprise aussi important.
  8. La plupart des entrepreneurs ont réussi financièrement. Désolé, ceci est une nouvelle idée reçue. L’entreprenariat crée beaucoup de richesse mais celle-ci est très inégalement distribuée. Le profit moyen d’un propriétaire-gestionnaire d’entreprise est de 39 000$ par an. Il n’y a que le top 10% des entrepreneurs qui gagnent plus d’argent que les employées.Et l’entrepreneur type gagne moins d’argent que s’il travaillait pour quelqu’un d’autre.
  9. De nombreuses start-ups parviennent à atteindre les prévisions de croissance des ventes attendues par les investisseurs. Pas du tout. Sur les 590 000 nouvelles entreprises comprenant au moins un employé créées aux Etats-unis chaque année, les données montrent que moins de 200 atteignent les100 millions de dollars de vente en 6 ans que les capitaux risqueurs aimeraient trouver. Environ 500 entreprises atteignent les 20 millions de dollars de vente dont les « sophisticated angels » , tel que celui de Tech Coast Angels et the Band of angels, parlent. En fait, seulement 9 500 entreprises atteignent 5 millions de dollars de vente sur cette période.
  10. Créer une entreprise est facile. En fait, ça ne l’est pas, et la plupart des gens qui entreprennent de créer une entreprise échouent lorsqu’il s’agit de la faire marcher. 7 ans après avoir commencer le processus de création, seulement un tiers des entrepreneurs présentent un flux de trésorerie positif supérieur à 3 mois de salaire et de dépenses du propriétaire.

L’article qui précède est la traduction de l’article " Top Ten Myths of Entrepreneurship" de Guy Kawasaki. La traduction et publication sont autorisées par l’auteur: retrouvez régulièrement sur notre blog les articles de Guy Kawasaki.

Guy Kawasaki est Directeur de Garage Technology Ventures, une société de capital-risque qui investit tôt dans les sociétés. Guy est également éditorialiste pour Entrepreneur Magazine. Auparavant, Guy avait le titre d’Apple Fellow chez Apple Computer, Inc. Guy est l’auteur de huit livres, incluant L’art de se Lancer, Rules for Revolutionaries, How to Drive Your Competition Crazy, Selling the Dream, and The Macintosh Way. Guy possède un BA de l’Université de Stanford et un MBA de l’UCLA, ainsi qu’un Doctorat honorifique du Babson College.


author Publié par incwo Thu, 26 Jun 2008 10:10:32 GMT

C'est une association a priori inattendue entre l'ordre des Experts-Comptables et Le Guide du Routard qui a donné naissance au Guide du Routard de la Création d'Entreprise ! Mais après tout, si l'on considère que la création d'entreprise est un voyage comparable à une aventure, cela prend du sens. Le guide est distribué gratuitement. Pour en savoir plus, rendez-vous sur http://www.guidedelacreationdentreprise.com.


author Publié par incwo Tue, 24 Jun 2008 19:52:26 GMT

Vous avez été nombreux à nous demander le retour de la traduction des articles de Guy Kawasaki que nous publions l'été dernier avec l'accord de l'auteur.

C'est chose, faite, avec le retour de l'été, voici aussi le retour de ce point de vue pragmatique et d'inspiration américaine sur la création d'activité: son blog "Comment changer le monde". Nous espérons que comme nous, vous aurez beaucoup de plaisir à lire Guy!


author Publié par incwo2 Fri, 13 Jun 2008 08:01:04 GMT

La statut d'auto-entrepreneur a été validé, en première lecture, par l'Assemblée Nationale.

Les députés ont terminé l’examen des articles du projet de loi de modernisation de l’économie que présentait Christine LAGARDE, Ministre de l’Économie, de l’Industrie et de l’Emploi, avec le concours de ses Secrétaires d’Etats Luc CHATEL et Hervé NOVELLI.

Le texte sur l'auto-entrepreneur a été adopté par l'Assemblée Nationale, mais rien n'est pour autant encore acquis. Le texte doit encore passé en lecture au SENAT et être voté par les 2 assemblées au moins de juillet.

Si ce projet de loi est voté, sa mise en application sera effective en janvier 2009.


author Publié par incwo2 Wed, 11 Jun 2008 09:59:00 GMT

Vous cherchez un endroit pour installer et développer votre activité ? Pourquoi pas le Gers ? Franck Cazalas, Chef de projet Soho Solo à la Chambre de Commerce et d'Industrie du Gers, nous présente le programme d'accueil et d'accompagnement des indépendants et télétravailleurs dans le Gers.

 

 

1/ Pouvez vous, en quelques mots, présenter votre région, l'environnement de travail et sa dynamique économique ?

Situé au cœur du Sud ouest, entre Pyrénées et Océan Atlantique, le Gers séduit par son climat tempéré, sa culture du terroir, son habitat de caractère, l'hospitalité des Gascons et son environnement préservé, propice aux loisirs et à la détente. A moins d'une heure de Toulouse et de son aéroport international, le Gers est un territoire rural résolument tourné vers l'innovation. Le développement des TIC (Technologies de l'Information et de la Communication) y ouvre de larges perspectives en matière d'accueil de nouvelles populations

2/ Comment est né le projet Soho Solo Gers ? Quels constats ont permis de lancer cette initiative ?

C'est dans le cadre d'un financement européen Interreg III B que le projet Soho Solo a pu être mis en œuvre afin de favoriser l'installation et l'intégration de Solos dans les régions rurales de l'espace atlantique. Associant cinq CEEI (CorkBIC en Irlande, CIEBI au Portugal, CEEI Bahia de Cadiz, ITC Canarias en Espagne), le projet a permis de mieux connaître les attentes de ces nouveaux actifs et de créer une véritable offre d'accueil territoriale pour ces candidats à la vie rurale tout en assurant la promotion des territoires partenaires à l'échelle nationale et européenne.

Aujourd'hui, dans le Gers, le projet Soho Solo est une réalité.

Les nombreux Solos qui vivent et travaillent dans le département, aident à sa reconnaissance et à sa notoriété. Les Solos participent au développement économique local et contribuent à la dynamisation du tissu social, de façon pérenne, croissante et durable.

3/ Qu'est -ce que le projet SohoSolo Gers ? A qui s'adresse t-il ? Quels sont ses objectifs ?

Le projet Soho Solo vise à faire du Gers un lieu d'accueil privilégié pour cette nouvelle génération de « net-entrepreneurs », (entrepreneurs indépendants, télétravailleurs, télésalariés, etc.) en leur apportant les services d'accompagnement nécessaires.

Il s'agit notamment de :

  1. Identifier tous les Solos déjà installés dans le Gers pour consolider le réseau des Solos gersois.
  2. Faire découvrir à l’échelle nationale et européenne, notamment par le biais du site Internet de prospection Soho Solo tous les services d’accompagnement proposés aux Solos qui veulent s’installer dans le Gers.
  3. Attirer dans le Gers des candidats à l’installation en milieu rural ayant un projet qualifié.

4/ Concrètement, qu'offre le programme Soho Solo Gers aux entrepreneurs et créateurs solo ?

  • Des Services d’accompagnement individualisés pour les porteurs de projet et les entrepreneurs indépendants déjà en activité : Aide au montage de projet, aide à la recherche de financement, appui-conseil pour le développement et la promotion des activités, etc.
  • Une offre d’accueil dans 35 villages partenaires pour les candidats à l’installation : identification des services existants, des logements disponibles, de l’accès Internet haut débit, parrainage, projets de territoires, etc.
  • L’adhésion gratuite au Club Soho Solo : Club d’entrepreneurs se réunissant chaque mois lors de rencontres thématiques et professionnelles autour d’un petit-déjeuner.
  • L’accès à l’Intranet des Solos qui contribue à mettre en contact les quelque 180 Solos déjà membres du réseau, comportant entre autres un forum de discussions, un annuaire pour promouvoir les compétences des Solos, des informations utiles, etc. : www.solo-gers.com
  • L’accès à un réseau de 8 télécentres (bureaux équipés de l’Internet haut débit possédant des facilités bureautiques) à la disposition des Solos et des porteurs de projets.
  • Le Passeport Entreprendre en SOHO/SOLO dans le Gers » : livret listant tous les interlocuteurs qui facilitent l’installation des Solos dans le Gers et donnant droit à des premiers conseils gratuits de la part de professionnels. Ce passeport est également consultable sur le site Soho Solo.

5/ A qui s'adresser pour tout renseignement complémentaire ?


Plus d’informations sur : www.soho-solo-gers.com
Contact : Franck CAZALAS
C.C.I du Gers
contact@soho-solo-gers.com
Tél : 05 62 60 16 12 Numéro Vert Soho Solo : 0 800 000 132

 


author Publié par incwo Wed, 28 May 2008 18:24:58 GMT

Depuis quelques jours maintenant vous disposez d'un autre Bureau Virtuel, plus petit, qui tient dans la poche: votre téléphone mobile! En effet, si vous êtes munis d'un téléphone avec navigateur internet (iPhone, BlackBerry, téléphone sous Windows CE, etc.), vous pouvez accéder à une version spécialement designée de votre bureau.

Pourquoi avons nous du adapter le bureau ? C'est très simple: la taille de l'écran étant très différente de l'écran d'un ordinateur, et la situation de mobilité tout aussi différente d'une situation où vous êtes à votre bureau ou chez vous. Les usages sont donc très différents.

Après maintenant quelques semaines de test, nous sommes satisfaits du résultat. Nous utilisons la version mobile du Bureau Virtuel pour tout autre chose que la version standard. Il ne s'agit pas de créer des factures dans le métro bien sur. Mais pouvoir se connecter après un rendez-vous, et faire un compte rendu rapide, ou bien ajouter à l'un de ses collaborateurs une tâche à ne pas oublier, ... c'est très utile et surtout vous libère l'esprit! Une fois reconnecté au bureau standard, vous retrouvez tout ce que vous avez saisi sur le mobile. Vous pouvez compléter avec un vrai clavier ce que vous avez saisi à deux doigts... pratique!

Nous sommes devenus accros; A vous d'essayer et de nous dire ce que vous en pensez!


author Publié par incwo2 Mon, 19 May 2008 10:05:31 GMT

Suite à la présentation, le 28 Avril 2008, par Christine LAGARDE en conseil des ministres, du projet de loi pour moderniser l’économie française, voici les prochaines dates au cours desquelles sera discuté le statut d'auto-entrepreneur.

  • A partir du 27 mai : débat du projet de loi à l’Assemblée Nationale
  • A partir du 15 juin : débat du projet de loi au Sénat
  • Début juillet : vote prévu de la loi par les deux assemblées


author Publié par incwo Sat, 03 May 2008 11:35:23 GMT

Voici quelques extraits du discours de Christine Lagarde, Ministre de l'Economie, le 28 avril dernier : "Le statut de l’entrepreneur individuel permettra à chacun d’entre nous de se mettre à son compte. Celui qui veut vendre des fleurs, concevoir des sites internet, ou donner des cours de chant, aura pour seule formalité un document à remplir pour déclarer son activité. Et la loi supprime toute obligation d’immatriculation pour les petites activités indépendantes. Chaque entrepreneur individuel pourra s’acquitter en une fois de ses impôts et cotisations sociales en payant en tout et pour tout 13 % (pour les activités de commerce) ou 23 % (pour les activités de services) d’impôts tant que son chiffre d’affaires annuel restera inférieur à 76 300 € pour le commerce et 27 000 € pour les services.

Enfin, les entrepreneurs individuels pourront mieux protéger leurs biens immobiliers et fonciers non affectés à leur activité professionnelle."


Si ce statut voit le jour, cela sera une révolution. Et pas nécessairement pour ceux qui nous occupent au quotidien, les entrepreneurs. En effet, la fluidité serait presque totale car régie par le code du commerce et non par le code du travail ? Deux millions de chomeurs deviendraient entrepreneurs potentiels ? Les conséquences collatérales seront très certainement étonnantes.. à suivre.


author Publié par incwo Thu, 24 Apr 2008 16:33:04 GMT

Nous sommes heureux de vous annoncer qu'Oséo a reconnu le caractère innovant de notre activité et nous a attribué une subvention pour nous aider dans le cadre de nos technologies d'aide à la gestion des petites entreprises ! C'est une très bonne nouvelle qui nous permettra d'aller plus vite et plus loin dans la mise en oeuvre de notre vision de l'aide aux entrepreneurs et aux TPE. Nous tenons à remercier tous nos interlocuteurs chez Oséo pour leur support.


author Publié par incwo Mon, 21 Apr 2008 20:37:22 GMT

Le profil type de l'utilisateur du Bureau Virtuel n'est pas parisien, sa famille n'est pas une famille d'entrepreneur, il n'est pas nécessairement au fait des pratiques, surtout si c'est sa première création. Si vous vous reconnaissez dans cette description, alors nous avons travaillé pour vous. Nous sommes conscients que parmi les freins à la création il y a notamment ce qu'on appelle la solitude de l'entrepreneur, qui est souvent seul avec ses questions et peut être bloqué ou se bloquer par ignorance, peur, hésitation. Parmi les dispositifs à même de répondre à cette situation, on compte le tutorat. Le tuteur est un entrepreneur expérimenté qui "prend sous son aile" l'entrepreneur qui l'est moins. Il est à sa disposition pour répondre à ses questions (personnelles, émotionnelles, pratiques, d'expérience), partager son expérience, orienter l'entrepreneur, toujours avec bienveillance. Il ne prend pas les décisions à la place de l'entrepreneur, mais lui donne son avis de personne étant passée par la création d'entreprise.

Que proposons-nous ? C'est très simple : nous nous sommes entourés d'une équipe de tuteurs ayant au moins sept ans d'expérience de création d'entreprise, dans différents domaines, et les avons mis "à votre disposition" sur votre Bureau Virtuel; Un onglet "Tuteur" vous permet d'accéder au tuteur et de lui poser des questions, à toute heure. C'est toujours le même, à chaque dossier son tuteur. Il n'a bien sur pas accès aux données du dossier, mais est là pour accompagner l'entrepreneur, gratuitement ! Ce plus est bien sûr réservé aux abonnés du Bureau Virtuel, disponible à partir de... maintenant.

N'hésitez pas à nous donner votre feedback sur ce nouveau service, nous le ferons évoluer. Nous avons déjà quelques idées (possibilité de choisir le tuteur, de devenir tuteur, de faire des conversations à trois, etc.)

Rendez-vous d'ici la fin du mois pour une autre innovation... pour gérer son entreprise d'une seule main...


author Publié par incwo2 Mon, 31 Mar 2008 10:50:24 GMT

Votre comptable, invité parmi les utilisateurs de votre Bureau Virtuel, peut, depuis ce matin, en plus d'accéder à vos données financières, les exporter pour les réintégrer en comptabilité et rapprocher les pièces des écritures comptables.

Ainsi, finies les resaisies de pièces. L'exportation au format .CSV - supporté par l'ensemble des logiciels classiques comptables - est disponible pour vos factures, notes de frais et dépenses, ce qui constitue le journal des écritures.

Pour tout autre format d'export, n'hésitez pas à nous contacter pour que nous adaptions la solution à vos besoins.


author Publié par incwo2 Fri, 28 Mar 2008 10:58:31 GMT

Dans module "tâches" de la fonction "opérations" de votre Bureau Virtuel, retrouvez désormais le planning des tâches programmées !

Mois par mois, jour par jour, vous pouvez, en un clic, accéder au calendrier de vos tâches en cours et ainsi optimiser l'organisation de vos journées. Vous pouvez également :

  • consulter les tâches en cours de vos collaborateurs, en sélectionnant dans le menu de recherche l'utilisateur pour lequel vous souhaitez voir les tâches.
  • relancer des tâches non exécutées dans le temps imparti.


author Publié par incwo2 Thu, 27 Mar 2008 14:41:00 GMT

 

 

Responsable du Club de fidélisation d’un grand quotidien d’information et spécialiste de la fidélisation, des jeux-concours, de l'e-mailings et du CRM, Emmanuel Brunet est également le rédacteur du blog Conseils-Marketing.com.

A l'occasion la sortie de son dernier livre Conseils-Marketing.com : la sélection officielle, nous l'avons sollicité pour transmettre aux créateurs et entrepreneurs ses meilleurs conseils marketing pour bien démarrer.

1/ En quelques mots, pouvez-vous nous présenter votre nouvel ouvrage Conseils-Marketing.com : la sélection officielle?

 

 

En l'espace d'un an, le blog Conseils-Marketing.com est devenu une source d'informations et de veille incontournable pour les professionnels du marketing et de la communication. Je me suis dit qu’il fallait « sortir » ces conseils marketing et les proposer à une cible moins connectée, moins présente sur la blogosphère.

 

Vous retrouverez dans ce livre une sélection des meilleurs conseils marketing éclairés (et illustrés !). Divisé en 3 parties, cet ouvrage vous donnera des pistes et des conseils pour lancer votre projet, pour le pérenniser, pour accroître votre chiffre d'affaires ainsi que quelques erreurs à ne pas reproduire.

Chaque conseil est construit sur le principe : "Un exemple concret = Un conseil marketing".

Il s’adresse aussi bien aux dirigeants d’entreprises, qu’aux étudiants en commerce, marketing et communication, en passant par des dirigeants souhaitant remettre à niveau leurs connaissances en e-business et techniques de buzz.

2/ Pour bien démarrer son activité : quelles sont les premières actions dites marketing à réaliser pour une entreprise ?

Il faut étudier votre marché ! Nombre d’entrepreneurs pensent avoir LA bonne idée et se lancent les yeux fermés sans avoir étudié les forces et les faiblesses de leur offre. Une étude de marché, dans votre cercle familiale et vos amis si vous n’avez pas de budget, suffira à cibler 90% des attentes clients.

Autre conseil, vous devez être vous-même utilisateur de votre produit. Vous n’en parlerez jamais bien si vous ne le connaissez pas par cœur. Si vous vous considérez déjà comme « Hors-Cible », trouvez les freins et retravaillez votre projet.

3/ Comment bien choisir ses outils marketing ? Quels critères prendre en compte dans le choix d'actions de communication, de prospection, de promotion ... ?

Tout d’abord, renseignez-vous sur les outils utilisés par votre concurrents ou vos challengers. S’ils en sont arrivés là, c’est qu’il y a une raison. Ensuite, soyez toujours à l’affût des nouveautés, déplacez-vous aussi souvent que vous le pouvez sur des conférences, des colloques, des salons. Vous y apprendrez l’état de l’art du marché actuel et pourrez rencontrer les acteurs importants du moment.

4/ Comment se faire connaître quand on a peu de budget ?

Avec une politique d’échanges poussée et étudiée, on peut déplacer des montagnes. Ce n’est pas parce que vous n’avez pas d’argent que vous ne pouvez rien faire. Bien au contraire ! Si vous croyez en votre produit, vous saurez négocier des échanges avec d’autres entreprises. Par exemple, vos produits contre des publicités dans les journaux locaux et associatifs mais aussi en tant que dotations pour des jeux-concours, des articles dans la presse… Bref, des moyens pour que d’autres personnes utilisent et parlent de votre produit.

5/ Prospecter : comment faire, quelles sont les clés de la réussite ?

L’aspect commercial est primordial. A commencer par un bon commercial avec un bon carnet d’adresse. Dans un autre registre, les relations presse sont désormais primordiales. Et même si votre produit est hyper-spécialisé, il existe forcément un magazine spécialisé, un site internet, un forum qui traite de votre secteur. Ne les zappez pas ! Et n’oubliez pas les bloggeurs soigneusement sélectionnés qui, comme moi, aiment recevoir des informations innovantes et bien ciblées (un mauvais ciblage pouvant avoir l’effet inversement escompté).

6/ Quelles sont les principales erreurs marketing faites par des entrepreneurs qui démarrent leur activité ?

On voit trop souvent des entreprises pressées de vendre leurs produits… en oubliant le service après-vente ! Oubli volontaire ou non, il devient primordial envers des consommateurs qui demandent de plus en plus de lien avec les marques qu’ils consomment. Un client mécontent que vous aurez réussi à satisfaire pleinement deviendra votre meilleur porte-parole…

7/ Parmi les 100 conseils de votre livre, quel est le plus important à retenir pour un créateur et pour un entrepreneur ?

C’est difficile de choisir ! Je pense surtout qu’il faut croire à 100% à son projet, étonner les clients et les médias et surtout garder un aspect « humain » dans tout ce que vous entreprenez.


author Publié par incwo2 Wed, 19 Mar 2008 17:17:06 GMT

Une nouvelle fonctionnalité du Bureau Virtuel est à découvrir : l'envoi d'emails depuis toute page du Bureau Virtuel !

Désormais en haut de chacune des pages de votre Bureau Virtuel, vous retrouvez une enveloppe, qui vous permet, en cliquant dessous, d'envoyer à un destinataire la page en cours soit dans le contenu d'un email, soit en pièce jointe au format pdf.

Pour cela, une petite fenêtre apparait sur votre page en cours, masquant légèrement celle-ci, et vous permettant de sélectionner un destinataire dans votre base de contacts ou d'entrer un destinataire en tapant son adresse email, d'ajouter un commentaire et d'adresser votre message en cliquant sur envoyer.

Dès que la page est adressée, vous revenez automatiquement sur votre page en cours.


author Publié par incwo2 Mon, 10 Mar 2008 17:34:03 GMT

Suite au précédent sujet consacré à la possibilité de rattacher une photo à chacun de vos contacts (dirigeant, collaborateurs, prospects, clients, partenaires, etc.) sur le Bureau Virtuel de votre entreprise, certains d'entre vous n'ont pas manqué de remarquer l'illustration de ce post et de nous demander ce qu'était le newsfeed.

Le newsfeed est une nouveauté du Bureau Virtuel. Il s'agit du fil d'actualité des personnes invitées à se connecter sur votre Bureau Virtuel. Ce module, situé dans la colonne de droite du Bureau Virtuel de chaque entrepreneur, est l'espace où vous apparaissez dès que vous êtes connectés à votre Bureau Virtuel. Plus que signaler une présence, le newsfeed permet également de suivre les actions de chacun de ses collaborateurs. De manière automatique, le newsfeed indique le passage d'un utilisateur sur telle ou telle page du Bureau Virtuel. En mode plus manuel, il offre la possibilité d'inscrire un message personnalisé pour informer vos collaborateurs de vos actions en cours.

Ce module est encore en phase de test. Des questions sont notamment posées :

  • Le fil doit-il s'actualiser sur chaque page à laquelle se connecte un utilisateur d'un même Bureau Virtuel ? ou bien toutes les x minutes seulement ?
  • Doit-on proposer une option masquer le newsfeed ou supprimer le newsfeed de mon Bureau Virtuel ?
  • Doit-on intégrer une notion d'autorisation permettant à chaque utilisateur d'un même Bureau Virtuel d'accepter ou de refuser d'être intégré au newsfeed ?
  • Un entrepreneur indépendant serait-il intéressé par suivre le fil d'actualité d'autres entrepreneurs (indépendants ou non) qu'il invite et qui eux acceptent créant ainsi une dynamique de groupe d'entrepreneurs, un accès direct et facile à son premier réseau ?

Toutes vos suggestions sont les bienvenues pour améliorer et optimiser ce nouveau module, et faire de cet outil le votre et celui de votre équipe


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