Comment est venue l'envie de créer votre entreprise ?  

Au départ, je suis formateur indépendant et l'idée fit jour suite à ma rencontre avec deux autres indépendants. Nous partagions des informations sur nos activités et, petit à petit, l'évidence d'une vision commune du monde de la formation a créé une synergie. Toutefois, il nous a fallu pratiquement deux ans pour bien formaliser le projet.

En quelques mots, pouvez-vous nous présenter votre activité ?  

MATS&LINGER est une société de service qui fait de la formation professionnelle et édite des livres de formation. Nous intervenons particulièrement dans les secteurs de l'Industrie et dans ceux de l'Architecture et du Bâtiment. Nous réalisons des accompagnements sur les outils numériques de production, de la conception assistée à la gestion de projet. Nos clients sont principalement des bureaux d'études et des agences d'Architecture.   

Comment est venue l'envie d'entreprendre  ?

Elle s'est faite naturellement !  J'évolue dans un métier qui est, avant tout, une passion. La vidéo et l'image font, depuis mon adolescence, partie de ma vie. Alors, quand est venue la question de créer une entreprise pour mettre mon expérience et mon savoir-faire au profit d'entreprises et des collectivités, cela s'est fait tout seul.

En quelques mots, pouvez-vous nous présenter la Boite à Films ?

La B.A.F. est une agence de communication audiovisuelle. Nous concevons et réalisons des outils pour mettre en oeuvre les stratégies marketing et communication des entreprises et collectivités. Nos prestations vont de la réalisation de spots publicitaires, films institutionnels, web séries, films pour la communication interne (formation, management...). Nous sommes aussi là pour conseiller et accompagner nos clients dans leur plan de communication.

Comment est venue l'envie de faire renaître une bière parisienne ?

Jacques comme moi avons toujours été passionnés par la bière.

Jacques a fait son mémoire de fin d’études sur la création d’une micro-brasserie et j’ai moi-même monté une brasserie en Normandie avec mon père. Alors quand nous nous sommes rendu compte qu’une ville comme Paris n’avait pas sa propre bière, nous avons décidé de nous lancer dans cette aventure !

Stratégiquement pourquoi avoir choisi de reprendre une vieille marque plutôt que de créer la vôtre, et de faire vos assemblages ? 

Après nous être renseignés sur l’histoire de la bière à Paris, nous avons eu un véritable coup de cœur pour la Gallia.

Son histoire, sa communication, son succès… tout nous plaisait chez la p’tite parisienne !  Puis nous avons eu la chance de rencontrer la descendance du dernier brasseur de Gallia qui, en plus de nous soutenir, nous a fait part de toute sa connaissance sur la marque. Paris a la chance d’avoir un patrimoine historique et gastronomique très riche. La capitale ayant déjà eu sa bière, il était naturel pour nous de la faire revivre et non d’en créer une nouvelle.

Bonjour Ludovic, il y a un an, vous étiez Lauréat du Concours National de la Création d'entreprise. La remise de prix de l'édition 2012, fut l'occasion de se retrouver et de faire le bilan de un an d'activité.

Quels ont été les temps forts de ces 12 derniers mois ?

Beaucoup de choses se sont passées… Nous avons débuté la commercialisation de nos produits avec pour objectif un positionnement fort sur le marché de l’événementiel avec BubblePro. Les résultats ont été au rendez-vous avec Quiksilver Europe notamment sur le Quiksilver Pro France, dès octobre 2011. Concernant nos résultats commerciaux, le gros du gros a eu lieu à partir de janvier 2012, avec plus de 400 produits commercialisés. La croissance a été telle… que nous avons dû optimiser notre chaîne de fabrication pour répondre au mieux à la demande de nos clients.

Aujourd’hui, nous proposons un mobilier gonflable, sans équivalent sur le marché de l’événementiel avec de vrais attributs testés sur le terrain : résistance des produits, qualité de la personnalisation, coloris décalés et adaptés, facilité d’entretien,  etc. Enfin, nous avons axé notre communication auprès des professionnels sur une approche concrète, avec des visuels terrains, et des supports de qualité. 

Vous êtes en train de franchir un nouvelle étape avec la commercialisation de votre mobilier gonflable auprès du grand public. Pourquoi aller vers ce nouveau marché ? Qui ciblez-vous ?

En effet, BubblePro, que vous pouvez retrouver sur www.unconventional-paris.com, se positionne sur le marché du grand public, avec Unconventional Paris®. Nous avons souhaité élargir nos perspectives commerciales,  en touchant un nouveau marché. L’objectif était également de proposer des produits aux particuliers, développés sur le terrain, et auprès de grandes marques. Enfin, c’est à la demande de nombreuses personnes rencontrées lors d’évènements que nous avons pris la décision de lancer Unconventional Paris®.

Nous ciblons les 20-35 ans, jeunes actifs, professionnels,  à la recherche de produits innovants, chics, nomades et différents de part leur image de marque. Nous avons souhaité avec Unconventional Paris® avoir une approche décalée, surprenante, et chaleureuse. L’objectif est avant tout de communiquer sur nos produits, mais également sur une aventure humaine et entrepreneuriale passionnante. Enfin, nous restons persuadés que le meuble gonflable Unconventional Paris® répondra aux problématiques de transport et de stockage des particuliers vivant aussi bien en zone urbaine ou rurale. 

Bonjour Nicolas, comment vous est venue l'envie de créer votre entreprise ?

Trois évènements m'ont poussé à me lancer dans l'entrepreneuriat :

• L'option "création d'entreprise" que j'ai suivi à l'ISEP (Institut Supérieur d'Electronique de Paris), l'école d'ingénieur dont je suis issu.
  
• Mon année d'étude aux Etats-Unis, dans l'Université du Wisconsin, Madison, lors de ma dernière année à l'ISEP. J'y ai rencontré le formidable esprit d'entrepreneuriat américain !
• La crise économique et la situation morose que l'on connaissait en 2009

En quelques mots, pouvez-vous nous présenter Visibrain ?

Visibrain est un outil de veille stratégique en temps-réel, basé sur l'analyse du réseau d'information Twitter. 

Sous forme d'un tableau de bord accessible en ligne, il rassemble en synthèse l'essentiel de l'information sur son entreprise, son secteur d'activité, ses concurrents et ses consommateurs, dans le but d'aider à la prise rapide de décisions stratégiques. Offrant un véritable gain de temps à l'entreprise cliente, le tableau de bord fonctionne en temps-réel, idéal par exemple pour gérer les situations de crise.

Bonjour Nicolas, comment vous est venue l’envie d’entreprendre ?

L’envie s’est construite pendant nos études et s’est nourrie de notre échange en Chine. L’idée de monter son propre projet, sans pour autant imaginer que ça constituerait notre vie d’entrepreneur, était un défi que mon associé, Frédéric Mugnier, et moi-même voulions relever.  Mettre en place un projet pour se tester, sans avoir de contraintes familiales ou financières du fait que nous étions étudiants, semblait offrir un environnement favorable. Nous avons saisi ainsi l’opportunité de monter notre boite !

Comme est née, dans ce contexte, l’idée de Faguo ?

Suite à un séjour Erasmus de 6 mois en Chine ! 

Deux observations se sont imposées à nous : 1. La culture chinoise pousse vers l’entrepreneuriat. Les chinois entreprennent énormément et nous avons ressenti ce souffle créatif qui donne envie de monter ta boite de retour en France ; et 2. La passion pour les tennis et la mode, en général, qui inspirait en nous un projet, et l’envie de proposer un concept différenciant des marques que tout le monde porte.

Au départ, l’intention était simplement de monter une marque de proximité pour les amis et étudiants de notre école. Puis ça a été la surprise ! Le buzz nous a mis dans le bain entrepreneurial plus rapidement que prévu, avec des décisions fortes à prendre pour inscrire Faguo dans une dimension de marque durable avec un projet d’entreprise global.

Comment avez-vous géré la transformation du projet en entreprise, qui s’imposait à vous de manière surdimensionnée par rapport à ce que vous avez initialement programmé ?

Quand tu es entrepreneur, tu essaies d’avoir ce côté rationnel et de faire des scénarios de croissance (pessimiste, réaliste, surréaliste, celui dont tout le monde rêve). Pour nous, le scénario « surréaliste » qui n’était même pas envisageable, s’est trouvé dépassé !

On était dans une vision réaliste, où on commande 5000 paires,  on les vend sur un an, et on voit ce qu’on fait après. Là, les 5000 paires se sont vendues en 15 jours !  Ce fut une énorme surprise ! On pensait juste s’amuser avec une idée d’entreprise et on s’est retrouvé créateur d’entreprise ! On a créé une marque, un logo, une identité, des valeurs dans lesquelles les gens se sont reconnus. Nous étions lancés ! 

Bonjour Florent, en quelques mots, pouvez-vous nous présenter Echy ?

Bonjour, l’éclairage hybride ECHY c’est un système d’éclairage naturel qui utilise directement la lumière du soleil pour l’éclairage intérieur. ECHY remplace ainsi l’éclairage électrique pendant la journée. C’est une solution technologique qui, en plus d’amener la lumière du soleil dans les bâtiments fait faire des économies d’énergie et d’argent à son utilisateur. Au-delà de la technologie, ECHY c’est 2 amis, Quentin Martin-Laval et moi-même, qui sortons tout juste de notre école d’ingénieur, et nous lançons dans la création d’entreprise.

Comment vous est venue cette idée ?

Cette idée nous est venue lors d’une discussion avec un architecte à propos de l’importance de la lumière naturelle dans les bâtiments. Faire des fenêtres n’est pas toujours possible et quand cela l’est, la lumière fournie est bien souvent contrastée, mal répartie, gênante. Nous avons alors imaginé une solution technique qui utilise directement la lumière du soleil et la transporte à l’intérieur du bâtiment pour l’éclairage. C’était en 2009 et ECHY était un projet scientifique de 2ème année à l’Ecole Polytechnique que nous avons poussé plus loin.

Bonjour Thomas,  comment vous est venue l'envie de créer votre entreprise ?

Bonjour Delphine, comme souvent en entrepreneuriat, la création d'entreprise m'est, en quelque sorte, tombée dessus. Pendant longtemps je considérais les entreprises comme quelque chose de figé. L'idée était de trouver ma place au sein de grands groupes existants. En y réfléchissant, ça paraît assez évident que ces grands groupes ont aussi été créés à un moment.

Un jour, l'idée me vient dans un restaurant en plein déjeuner. Puis l'idée fait son chemin et devient presque une obsession, et là, il n'est plus question de faire machine arrière,  je me lance dans la création de Media Propre ! J'ai vite été rejoint dans cette aventure, qui en moins d'un an a recruté 6 personnes.

En quelques mots, pouvez-vous nous présenter Media Propre ?

Les clients de la restauration se lavent rarement les mains avant les repas, et ils ont souvent de bonnes raisons ! Ils peuvent être pressés, ils ne souhaitent pas laisser leurs affaires sans surveillance,  sans parler des toilettes parfois peu accueillantes, ou même inexistantes dans la restauration à emporter ! Bref les restaurateurs peuvent maintenant offrir des monodoses de gels mains propres appelées DoZZ® qui permettent à tous leurs clients de se laver les mains sans effort. Media Propre commercialise ces gels dans des formats de monodoses découpées en forme de goutte et qui sont disponibles à la marque DoZZ® ou 100% personnalisables aux couleurs de chaînes de restaurants ou d'hôtels.

Bonjour Yannick, pouvez-vous nous présenter votre votre parcours ?

En 1993 je décroche un diplôme d'ingénieur en Systèmes d'Information et un DEA de modélisation et décide de me lancer en freelance autour du business montant: l'ERP. Je suis repéré par Origin France pour développer l'activité du progiciel Baan en France. En 4 ans et l'embauche de plus de 70 consultants, nous devenons N°2 Français.

Je décide alors de travailler dans l'industrie en tant que directeur des programmes de transformation basé aux états unis pour le leader de la réfrigération mondiale. Je passe alors mon temps (dans les avions) à accompagner les différentes entités du groupe dans plus de 30 pays autour de l'intégration d'acquisitions, de la mise en place de programmes de Lean Management, et de restructurations. Une expérience riche mais épuisante. Après les évènements de septembre 2001, je retourne en France ou je prend la direction des Systèmes d'Information et du Business Développement.

Après 12 passés dans ce groupe, et 2 exécutives MBA - Darden (US) & INSEAD à Fontainebleau, je reprends mon bâton d'entrepreneur en 2010 et monte ma société de conseil: Beagle Consulting spécialisée dans l'innovation et les transformations stratégiques d'entreprises. Pensant qu'au vu de mon expérience dans le conseil et ma pratique des grandes entreprises, je trouverais rapidement ma place comme interlocuteur de confiance auprès des dirigeants. Cependant le marché du conseil a subi des changements profonds depuis cette dernière décennie. La multiplication des intermédiaires (avec un niveau de capture de marge important) et le contexte de crise montraient de façon évidente que cela allait prendre beaucoup plus de temps que prévu.

Afin de palier à l'incertitude des revenus, j'ai alors entrepris de monter avec un partenaire, une plateforme B2B (www.jechercheunphotographe.fr) qui assurerait des revenus récurrents et permettrait de démontrer l'efficacité de mes services. En 4 mois le site était rentable et nous avons réalisé le break even en 6 mois. Aujourd'hui notre plateforme réunit plus de 1000 professionnels de l'image partout en France et nous avons obtenu de très belles références dans toutes les industries.

Bonjour, vous dirigez l'incubateur Bond'innov, qui est tout récent. Pouvez-vous nous le présenter ?

Bond’innov est un incubateur de projets innovants qui se trouve en Seine Saint Denis. Il offre aux entrepreneurs de l’innovation (ou porteurs de projets innovants) une avance remboursable en cas de succès qui comprend l’ensemble des prestations proposées par l’incubateur : hébergement privatisé et environné sur le parc de l’IRD, ainsi qu’un service d’accompagnement individualisé. Dans certains cas, Bond’innov peut apporter également un co-financement direct à des programmes d’innovation.
Bond’innov a été fondé par l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD), le parc des sciences pour le vivant Biocitech, l’Université Paris 13, le Conseil Général de Seine Saint Denis, la communauté d’agglomération Est Ensemble et la Ville de Bondy.

Bonjour, vous êtes entrepreneurs, et même plus que cela puisque vous participez activement à l'écosystème de la création en France. Pouvez-vous nous dire quelques mots sur votre équipe ?

Bonjour ! Nous sommes deux passionnés de web, et notamment de logiciels : Clément Vouillon et Guilhem Bertholet !

Clément Vouillon : pour ma part, j'ai co-fondé d'EdoBoard (une logiciel de tableau blanc partagé pour l'éducation). J'ai ensuite été un temps rédacteur pour TechCrunch, et a écrit pas mal de choses autour de la géolocalisation, des médias sociaux et des startups web françaises.

Guilhem Bertholet : après avoir monté quelques entreprises (non-web, bizarrement !), j'ai travaillé chez Microsoft comme responsable marketing Editeurs de Logiciels, puis ai dirigé pendant 3 ans l'incubateur de startups d'HEC. Je suis aussi l'un des "lanceurs" des ApéroEntrepreneurs, et m'occupe de StartInLyon.

Bonjour Franck, tu es un entrepreneur confirmé, peux-tu nous présenter ton parcours ?

Bonjour, effectivement, je me suis lancé dans l’aventure entrepreneuriale il y a maintenant 9 ans, en 2003, sans vraiment d’expérience, quand j’étais en première année de prépa.
J’ai eu l’opportunité de racheter le site Rentabilisez.com, place de marché de l’affiliation et de la publicité en ligne. C’était l’objet de ma première société, Web-Fever, vendue 4 ans plus tard, en octobre 2006.
J’étais alors en année de césure de mon école de commerce et je me suis dis que la revente de cette activité serait l’occasion de profiter un peu de ma vie d’étudiant. Raté ! J’ai tenu 15 jours avant que le virus de la création d’entreprise me rattrape. Je me suis alors lancé dans une nouvelle aventure, toujours dans le domaine de la publicité en ligne, avec la création de la plateforme de monétisation AdFever.com. Cette société existe toujours, et des centaines d’éditeurs continuent à utiliser les solutions publicitaires pour développer leurs revenus.
En 2010, nouvelle opportunité de rachat, avec FLV.fr, site de petites annonces de location de vacances entre particuliers. FLV.fr est un des premiers sites lancés en France, proposant une mise en relation des propriétaires et des locataires dès 1997 ! Et c’est au contact des propriétaires que l’idée m’est apparue de développer une nouvelle solution pour les gîtes, locations de vacances et maisons d’hôtes, Homeloc.com.

Bonjour Antoine, quel est ton parcours ?

Depuis ma sortie d’école en 98 (argh, c’était au millénaire dernier), je travaille dans l’innovation et sur Internet. J’ai créé ma première entreprise en 1998, et je l’ai revendue à Apple en 2001. Puis embauche dans un laboratoire de recherche (le CEA) pour développer le business (on dit valoriser les technologies dans le jargon du métier). En 2008, c’est reparti, deuxième création d’entreprise. Elle est encore en train de prendre son envol. Et maintenant je poursuis plusieurs idées, dont le projet aides-creation.fr dont je suis l’instigateur.  

Qu'est-ce qui s'est avéré plus facile que prévu dans ton parcours d’entrepreneur ? Et plus difficile que prévu ?

Depuis quelques temps, je regarde les choses à travers un autre filtre : rentable ou non  rentable. L’idéal, à temps passé similaire, c’est de faire des choses faciles et rentables, voire difficiles et rentables. Après, nous sommes humains, et tous les entrepreneurs ont fait des choses faciles et peu rentables voire difficiles et pas rentables du tout (bonjour au passage à tous les technophiles lecteurs ☺ ).

Bref, pour prendre un exemple concret, dans ma première société, nous avons travaillé un an sur le produit sans nous payer. C’était difficile. Et d’une rentabilité contestable, puisque du coup nous ne cherchions pas à vendre tout de suite. Le produit n’était pas testé par suffisamment de clients et donc a nécessité des adaptations supplémentaires pour être mis sur le marché.

Cette année est la 4e édition du Concours National de la Création d'entreprise : quelles sont les nouveautés de l'édition 2012 ?

Pour que cette nouvelle édition soit un véritable succès, nous avons mis en place plusieurs nouveautés :
Les candidats peuvent désormais remplir leurs dossiers directement en ligne, sur le site www.leconcoursdelacreation.fr , où un « espace créateur » leur est dédié. Il leur suffit de se créer un compte « Créateur » et ils auront accès à leur dossier pendant toute la durée du concours, à savoir du 5 Janvier 2012 au 5 Avril 2012.

Autre nouveauté cette année, 5 prix récompenseront les projets les plus audacieux (contre 3 en 2011). Lors de la cérémonie de remise des Prix du 31 Mai 2012, Creatests et ses partenaires décerneront donc le 1er, 2ème, 3ème Prix, le Prix « coup de cœur » du Jury ainsi que le Prix du Public. Le Prix du Public sera attribué au candidat qui aura récolté le plus de votes de la part des internautes, celui qui aura fait le plus de Buzz en quelque sorte !

Enfin, pour que la remise des Prix soit un moment d’échange entre les entrepreneurs, nous allons organiser une Conférence pré-cérémonie sur le thème de la création d’entreprise.

Qui peut participer ? Quels types de projets sont concernés ? Doivent-ils être à un stade de maturité spécifique ?

Tous les créateurs peuvent participer ! L’avantage du Concours National de la Création d’Entreprise, c’est justement qu’il est ouvert à tous les entrepreneurs quel que soit leur âge, leur sexe et le secteur d’activité dans lequel ils se sont lancés ou souhaitent se lancer.
La seule limite (parque qu’il faut bien des limites), c’est d’avoir créé son entreprise à partir du 1er Janvier 2011 ou d’avoir un projet de création pour 2012.
Du coup, pour répondre à votre question sur la maturité, je dirais que le Concours s’adresse aux entreprises en phase de lancement. C’est l’occasion idéale pour les créateurs de faire évaluer leur projet par des professionnels.

Pouvez-vous nous présenter votre concours "LE PHARE" ?

Le PHARE est le concours de création d’entreprise de l’association étudiante d’EUROMED Management, ACCEDE Provence Entrepreneurs. Cette année est la 14ème édition consécutive du concours. Il est le 1er concours Euro-méditerranéen de la création d’entreprises avec l’an dernier une dotation financière de 25 000 euros.

A qui est-il ouvert ?

Ce concours est ouvert aux demandeurs d’emploi et aux étudiants du sud de la France et des pays méditerranéens. Les régions françaises concernées sont le Languedoc-Roussillon, Midi Pyrénées et PACA ainsi que les pays du bassin méditerranéen tel que L’Espagne, L’Italie, la Grèce et surtout les pays du Maghreb, Egypte et Machrek. 40% des dossiers sont étrangers.

Quels types de projets sont concernés ? Doivent-ils être à un stade de maturité ou d'avancement spécifique ?

Tout type de projet ayant un minimum de caractère innovant ou éthique donnant lieu à la création d’entreprise.

L’an dernier il y avait trois prix par catégories (demandeurs d’emploi et étudiants) :

• le grand gagnant
• le prix le plus innovant
• le prix le plus socialement responsable.

Les dossiers français et étrangers sont analysés de façon légèrement différente.

La plupart des entreprises qui participent au concours ne sont pas encore créées. Toutefois pour présenter son projet, une condition est d'être une société de moins de 6 mois, si l'activité est lancée.