author Publié par incwo2 Tue, 13 Nov 2007 16:48:00 GMT

Nicolas Basso est le co-fondateur de Metycea, une jeune pousse française de l’internet dont la vocation est d’assurer la création et l’édition de sites internet. Après plusieurs collaborations sur des créations d'entreprises, il se lance à son tour et nous raconte son parcours, de l'envie de créer à la réalisation du projet.

1/ Comment vous est venue l'envie d'entreprendre ? A partir de quand, ou quel événement vous a encouragé à franchir le cap ?

Lorsque j’ai pu avoir l’opportunité d’échanger avec d’autres entrepreneurs, j’ai toujours été curieux de connaître l’origine de leur propre envie d’entreprendre. Et comme une majorité d’entre eux, j’estime que mon attrait pour la création d’entreprises est inné. Pour autant, dire que l’entrepreneuriat est inné ne revient pas nécessairement à affirmer que l’on a toute sa vie été un entrepreneur. Généralement, le temps et les expériences ont révélé ce trait de caractère et tous les entrepreneurs se reconnaissent ensuite dans l’idée qu’ils ont depuis longtemps été animés par cet état d’esprit.

Pour ma part, l’entrepreneuriat est en effet venu progressivement durant ma scolarité à l’instar d’un éveil progressif. Evidemment, j’ai des souvenirs très sélectifs de mon enfance ou de mon adolescence qui pouvaient laisser présager une telle orientation mais je considère le point de départ lors de mon cursus en Ecole Supérieure de Commerce. Si je devais spécifiquement choisir un moment clé, je définirai comme origine mon implication dans la constitution d’une EURL en 2002. Depuis cette première expérience forte, je n’ai eu de cesse d’avancer vers le cap de l’entrepreneuriat. Je l’ai aujourd’hui franchi en début d’année 2007 en me focalisant sur la création de la société Metycea – agence de création et d’édition de sites internet.

2/ Entrer dans une démarche de création : est-ce que ça change la vie, le quotidien, les préoccupations, la vision de l'entreprise, le regard ou le comportement de son entourage... ? comment ? pourquoi ?

Tout à fait ! A mon goût, l’entrepreneuriat entraîne nécessairement une confusion des sphères personnelles et professionnelles. Mon quotidien personnel est aussi celui de la création d’entreprise. Du matin au soir et tous les jours sans distinction. Je n’exprime pas de difficultés à finir mes journées durant les nuits ou à finaliser un document le dimanche… Je ne nie pas que cela soit parfois délicat mais je ne regrette rien car chaque journée a ce nouveau goût de liberté et apporte en plus son lot de plaisir.

Avec un tel investissement, la vision de l’entreprise se modifie en conséquence. On a le sentiment de passer de l’autre côté du rideau avec les responsabilités qui sont celles d’un entrepreneur. J’ai personnellement beaucoup de sympathie pour les chefs d’entreprise, qui, on l’oublie trop souvent, sont aussi d’anciens salariés. Gérer une entreprise vous permet d’avoir un regard transverse et aide aussi à mieux comprendre ce qu’ont pu vivre vos anciens employeurs. La vision de l’entreprise devient donc peu à peu plus globale.

Enfin, le regard des autres, même s’il peut changer, dépend beaucoup de la façon dont vous communiquez avec eux. J’ai beaucoup échangé sur ces sujets avec ma famille et mes proches qui m’ont vu murir au fur et à mesure. Leur soutien m’a parfois été essentiel, surtout dans la phase d’amorçage.

3/ Vous êtes actuellement en plein développement d'un projet : quels sont vos doutes et vos problématiques ? Quelles sont vos sources d'enthousiasme et de satisfaction ? Y a t-il plus de contraintes que vous ne l'imaginiez ? Comment les surmontez-vous ?

En schématisant un peu, je distingue 3 phases lors du parcours entrepreneurial dans lesquelles tout créateur d’entreprise rencontre son lot d’incertitudes et de plaisir.

  • De l’idée au projet : les principales questions résident dans la validité de l’idée et l’adéquation homme/projet. En parallèle, c’est sans doute la phase la plus libre où les seules obligations sont celles que le porteur s’impose.
  • Du projet à la création : il devient alors nécessaire de définir précisément les moyens à engager, à rencontrer et séduire les premiers « partenaires ». C’est aussi l'époque des « premières victoires ».
  • De la création au développement est une phase de renaissance. L’entreprise créée est fragile. L’entrepreneur doit désormais consacrer toute son énergie à son développement. Les premières obligations surviennent du fait des relations avec les clients et les fournisseurs.

La création de Metycea m’a fait traverser chacune de ces phases et je m’efforce aujourd’hui de développer notre société. Dans cette aventure, mes principaux doutes ont été d’un point de vue humain au moment de notre association (Metycea compte 3 associés) et financier (de par l’incapacité à assumer le montant de charges de départ). La résolution de ces difficiles équations ont été nos principales sources de joies avec aussi la signature de notre premier contrat client.

4/ Votre premier blog s’intitulait "entrepreneur philosophe". Avec le recul et l'expérience sur votre projet de création, peut-on l'être vraiment ?

Votre question me fait fortement penser à celle que l’on pose parfois aux philosophes. Peut-on vraiment être sage ? Je pense que de la même façon, il s’agit d’une notion absolue non d’un état défini. De fait, il s’agit de tendre vers un entrepreneuriat philosophe ce qui à mon goût signifie de ne jamais oublier la place prépondérante que l’homme occupe dans l’entreprise.

Je me souviens avoir ouvert ce blog pour confier mon sentiment sur un entrepreneuriat trop souvent dénaturé : business plan, marketing, ressources humaines…etc sont autant d’outils à la création d’entreprise. Cependant, au cœur de la création, il demeure un homme (ou une femme) désireux de créer de la valeur. C’est cela que je souhaitais mettre en avant. Le blog Entrepreneur Philosophe m’a permis de m’exprimer sur des sujets simples de la création d’entreprise : la liberté d’entreprendre, le courage d’entreprendre, le bonheur d’entreprendre…Autant de thèmes que j’ai rattachés à ma propre expérience au sein de Metycea. J’ai d’ailleurs poursuivi ces « confidences » en regroupant tous les billets du blog Entrepreneur Philosophe sous celui de Metycea.

5/ Quels conseils donneriez-vous à un porteur de projet qui souhaite créer son entreprise ?

Persévérer et agir. Le principal défaut des porteurs de projets reste de trop douter, trop « brainstormer » et ce au détriment de l’action. Le doute est une composante naturelle de l’approche entrepreneuriale. Autant faut-il savoir mettre un terme à son projet si celui-ci ne semble pas suffisamment mature, autant faut-il surtout savoir d’abord trancher et agir.

Entrepreneur qui s'investit, Nicolas Basso est co-fondateur de deux clubs business, le CERAM Business Club réunissant d’anciens étudiants entrepreneurs et le Club Business 83 pour les professionnels du Var. Retrouvez Nicolas Basso sur le Blog : blog.metycea.com.


author Publié par incwo Mon, 12 Nov 2007 08:54:18 GMT

Comme vous le savez nous avons lancé fin septembre un service gratuit, communaute-des-entrepreneurs.com. Ce service permet aux entrepreneurs de poser des questions et de partager leur expérience, il compte aujourd'hui plus de 300 entrepreneurs inscrits.

Nous souhaitions partager avec vous extrait de conversation entre deux membres de la communauté, assadia et leforain :



C'est un des objectifs que nous poursuivons avec la communauté : de l'entraide directe entre entrepreneurs (du E2E ? Entrepreneurs-to-entrepreneurs ?), alors cela fait plaisir quand cela marche de manière aussi simple et désintéressée. En outre leforain, sans le savoir, a conclu son post par ce que nous pensions utiliser comme slogan : "vous n'êtes pas seul !" :) Alors, continuez, aidez-vous les uns les autres !

Pour ceux qui ont un Bureau Virtuel, la connexion à la communauté se fait avec les mêmes identifiants (votre email et mot de passe) que pour votre Bureau Virtuel.


author Publié par incwo2 Thu, 08 Nov 2007 15:25:13 GMT

Cette semaine, dans "l'observatoire entreprise-facile" de la création d'entreprise, nous vous proposons un panorama des difficultés rencontrées par les entrepreneurs lors de la création de leur activité.

Pour 36,9 % des personnes interrogées, la principale difficulté lors de la création est la recherche de financements, que ce soit via les aides et subventions de l'état ou par l'intermédiaire des banques.

Viennent ensuite la recherche de locaux, pour 20%, et la gestion des éléments admistratifs pour 16% des entrepreneurs.

Et vous, quelles ont été vos principales difficultés lors de la création de votre entreprise ?

Données issues de l’enquête réalisée entre le 15 Avril et 20 Juillet 2007, au travers d’un questionnaire administré en face à face et par téléphone, sur un échantillon de 200 entrepreneurs, sur Paris, région parisienne et les 3 plus grandes villes de France, et correspondant à la répartition des créateurs d'entreprises selon Insee. Étude réalisée pour l'observatoire entreprise-facile.


author Publié par incwo2 Tue, 06 Nov 2007 14:59:29 GMT

A vos agendas ! Voici quelques événements du mois à découvrir dans vos régions :

Carrefour de la création et de la reprise : le 9 novembre à Aix en Provence. Ce forum s'adresse aux porteurs de projets, créateurs, repreneurs et jeunes entreprises en développement. Entrée libre et gratuite - Horaires d’ouverture : de 9h à 13h. Information sur www.agglo-paysdaix.fr

Top Franchise Marseille : les 12 & 13 Novembre au Palais du Congrès - Parc Chanot - 13008 Marseille. 5ème édition du salon Top Franchise. Organisé autour du "Parcours Méditerranée", ce salon sera ponctué par des espaces spécifiques : le village accompagnement pour guider les entrepreneurs dans leur projet - Le village des experts pour conseiller les futurs franchiseurs - Les ateliers pour découvrir un concept de franchise en particulier - Les conférences pour tout savoir sur la franchise, le commerce et la création d’entreprise - Le forum méditerranéen de la franchise pour s’exporter en franchise. Plus d'info sur : www.topfranchisemed.fr

Semaine de l'entreprenariat en Maine et Loire : du 12 au 16 novembre, avec le concours des Chambres de commerce et d’industrie du Maine-et-Loire, cette semaine accueillera différentes actions de sensibilisation et d’information du public sur l'ensemble du département. Entrée libre et gratuite. A Angers, le jeudi 15 novembre de 9h à 18h, se déroulera le Forum de la création et de la reprise d’entreprises qui se tiendra dans les locaux de la Maison de la création. www.semaine-entrepreneuriat.fr

Salon de l'Entreprise Midi-Pyrénées : les 14 & 15 Novembre , au Centre de Congrès Diagora Toulouse-Labège. Ce salon s'adresse à toute personne souhaitant créer, reprendre, céder, développer une entreprise ou devenir franchisé. Un espace "franchise", initié par la société easyFairs, sera à nouveau présent pour cette 5ème édition. Entrée gratuite pour tous les visiteurs. www.sempy.com

Prospecter (réunion thématique) : 14 Novembre, le CCEN 93 (Club des créateurs et des entreprises nouvelles) organise un débat sur le thème : "Décrocher un rendez-vous". Au programme de cette réunion qui se déroulera de 8h30 à 11h : oser prospecter, des méthodes pour passer les barrages et comment se différencier pour y arriver. Inscription par mail sur : inscription.ccen93@ccip.fr ou par téléphone au 01 48 95 10 84 www.ccip93.fr

Forum "osez l'entreprise" : les 14 & 15 novembre, 2 journées pour des rendez-vous avec des professionnels de la création, reprise et cession d’entreprise. 40 exposants, 30 conférences et ateliers techniques, des démonstrations. Horaires d’ouverture : de 9h à 18h - Entrée libre et gratuite. Contact : forum.creation@grenoble.cci.fr - Tél. : 04 76 28 29 26 - Programme et inscription : ici

Salon de l'installation en Milieu Rural : le 16 Novembre au Foyer communal - 38890 Salagnon. Ce salon s'adresse à tout porteur de projet qui souhaite s'installer dans le Nord-Isère dans tout domaine d'activité : agriculture, commerce, artisanat... présence des principaux acteurs de la création et la reprise d'activité du territoire. Contacts : Julie Ferrazzi - E-mail : julie.ferrazzi@free.fr ou Véronique Villalta - E-mail : villalta.adasea@freesurf.fr au 04 74 83 25 16. Horaires :9h à 18h www.adasea38.net

Matinée d'information création/reprise : Le 23 novembre à Audierne (29). Animée par la Chambre de commerce et d’industrie, la Chambre de métiers et l'Adie, cette réunion a pour objectif d'aider les porteurs de projet à maîtriser les différentes étapes de la création/reprise d'entreprise. Horaire : de 9h à 12h. Inscription au 02 98 70 16 00. Entrée Gratuite www.cap-sizun.fr


author Publié par incwo2 Tue, 30 Oct 2007 13:44:20 GMT

Un des commentaires du précédent sujet (voir ici) consacré à l'observatoire entreprise-facile, faisait état d'un constat personnel : "l'envie accélère la création".

Alors quelles motivations accélèrent véritablement la création ?

Dans l'étude menée pour l'observatoire entreprise-facile, il ressort que le temps de réflexion est plus court lorsque la motivation de création est liée à :

  • une opportunité
  • la connaissance du marché
  • le goût d'entreprendre

Par ailleurs, on apprend que lorsque la motivation de créer son entreprise résulte du développement d'une idée nouvelle, le temps de gestation du projet est de 6 mois à 1 an.

Et vous, de l'envie, de l'idée à la création : combien de temps a nécessité le développement de votre projet ?

Données issues de l’enquête réalisée entre le 15 Avril et 20 Juillet 2007, au travers d’un questionnaire administré en face à face et par téléphone, sur un échantillon de 200 entrepreneurs, sur Paris, région parisienne et les 3 plus grandes villes de France, et correspondant à la répartition des créateurs d'entreprises selon Insee. Étude réalisée pour l'observatoire entreprise-facile.


author Publié par incwo2 Thu, 25 Oct 2007 09:38:56 GMT

Nous poursuivons notre série hebdomadaire consacrée à "l'observatoire entreprise-facile" de la création d'entreprises. Aujourd'hui, nous vous proposons un point sur les motivations d'entreprendre.

Les principales motivations de création des entrepreneurs sont, pour :

  • 50,5 % : le désir d'indépendance
  • 10,8 % : l'opportunité de créer
  • 9,3 % : l'obligation de créer
  • 8,8 % : le goût d'entreprendre

Des disparités existent toutefois en fonction de l'âge.

Ainsi, avec l’âge, les entrepreneurs interrogés expriment moins leur désir d’indépendance au profit d'un sentiment d’obligation d’entreprendre pour créer son emploi, ou de l'émergence d'une opportunité de créer qu'ils souhaitent saisir.

Les plus jeunes quant à eux font part, de manière dominante, de leur désir d'indépendance et de leur goût d'entreprendre, comme principal moteur de création.

Et vous, quelles étaient ou sont vos motivations pour créer votre entreprise ?

Données issues de l’enquête réalisée entre le 15 Avril et 20 Juillet 2007, au travers d’un questionnaire administré en face à face et par téléphone, sur un échantillon de 200 entrepreneurs, sur Paris, région parisienne et les 3 plus grandes villes de France, et correspondant à la répartition des créateurs d'entreprises selon Insee. Étude réalisée pour l'observatoire entreprise-facile.


author Publié par incwo2 Mon, 22 Oct 2007 10:09:00 GMT

Stéphane Trollet est gérant d'une entreprise familiale, créée il y a plus de 100 ans, et spécialisée dans le courtage en assurance. Découvrez que reprendre une activité existante n'est pas forcément plus simple que de créer. Stéphane Trollet nous fait partager les étapes de sa vie d'entrepreneur et donne quelques conseils pour bien assuré son entreprise.

1) Vous êtes dirigeant d'une cabinet de courtage en assurance créé il y a plus de 100 ans par un de vos aïeuls. Comment accède t-on à une telle longévité qui laisse rêveur de nombreux créateurs ? Y a t-il des secrets pour réussir et durer ?

Je ne pense pas qu’il y ait un gène de l’assurance dans ma famille, mais simplement une volonté et un plaisir de perpétuer un métier qui a largement influencé l’histoire familiale. Etant jeune, je suis "tombé dans la marmite de l’assurance", et suivais souvent mon père chez des clients ; j’ai rapidement su que ce métier me plaisait. J’ai donc tout naturellement orienté mes études et mes investissements dans cette direction et adapté ce métier aux nouvelles technologies.

Seul pour réussir et durer : De nos jours, la grande majorité des chefs d’entreprise interrogés souhaitent, avant leur retraite, revendre leur entreprise avec un maximum de bénéfices. Ce n’est pas mon cas. J’espère que mon fils ou ma fille pourront reprendre la suite.

Autre impératif : s’adapter, évoluer, anticiper rapidement la concurrence. Rester motivé.

2) En tant qu'entrepreneur, quelles sont les étapes que vous avez dû franchir ? Eprouvez-vous, encore, parfois des doutes ? Quelles questions vous posez-vous ?

Les étapes à franchir sont nombreuses pour reprendre une entreprise familiale. Les relations "père-fils" sont extrêmement difficiles à gérer. Le regard des anciens clients et fournisseurs : vous devez doublement faire vos preuves avant de ne plus être considéré comme un "fils à papa".

L’investissement financier est lourd : racheter l’ensemble des parts de la société m’a valu la vente de mon appartement et des emprunts importants. Pas de droit à l’erreur possible.

Tout entrepreneur doit avoir des doutes pour garder sa motivation et rester compétitif face à la concurrence. Cette remise en question permanente est salutaire tant qu’elle n’est pas paralysante. Je me pose principalement des questions sur la stratégie d’évolution de mon entreprise, et sur son positionnement face à la concurrence.

3) Quelle est l'importance d'être bien assurer pour une entreprise ? Quels sont les risques les plus fréquemment courus par les entreprises ? Quelles conséquences majeures pour les entreprises qui sont mal assurées ? Comment être sûr que son entreprise est bien protégée ? Quelles précautions prendre en matière d'assurance ? Quelles sont les questions à se poser quand on veut s'assurer ?

Pour toute création, les entrepreneurs se doivent de souscrire quelques assurances indispensables à la pérennité de l’entreprise. En effet, l'exercice d’une activité comporte des risques (incendie, dégâts des eaux, vol, responsabilité civile, accident, décès du chef d’entreprise)

Trois types de contrat d’assurance permettent de protéger l’entreprise, et d’assurer la continuité de l’activité professionnelle en toutes circonstances.

a-les assurances multirisques professionnelles proposent d’assurer les biens et les outils de production afin de permettre de reprendre l’activité après un sinistre. Elles permettent également de compenser les pertes liées au ralentissement ou la cessation d’activité durant la remise en état des outils de production. Ainsi par exemple, à la suite d’un incendie, l’entreprise doit ralentir ou stopper son activité pour remettre ses outils de production en état : une assurance multirisque professionnelle interviendra pour indemniser l’outil de production (bâtiment, ordinateur) mais aussi la perte d’exploitation (baisse de la marge brute consécutive au sinistre).

b-Les assurances responsabilité civile exploitation et professionnelles permettent de faire face à la responsabilité de l’entreprise dans le cadre de son activité : mauvais conseil, produit défectueux, accident corporel, atteinte à l’environnement … Certaines clauses garantissent le remboursement des frais et des pertes si vous êtes contraint de retirer des produits du marché.

c-La réussite dépend aussi et souvent de l’engagement des équipes. Il est donc indispensable de protéger l’investissement humain et de prendre les garanties nécessaires en cas d’invalidité, de décès, retraite d’un collaborateur essentiel. C’est pourquoi les assurances prévoyance, santé, retraite, chômage du dirigeant sont indispensables et participent à la réussite d’une entreprise.

Le courtier d’assurances est le lien entre les compagnies d’assurances et l’entrepreneur. Son expertise lui permet de conseiller et d’adapter les garanties d’assurance à chaque cas particulier.

Et vous, êtes vous bien assuré ? Si vous souhaitez faire une demande d'assurance professionnelle, rendez-vous sur votre Bureau Virtuel, ouvrez votre compte, et dans la fonction "direction" complétez le formulaire.


author Publié par incwo2 Thu, 18 Oct 2007 15:38:39 GMT

L'observatoire entreprise-facile est une nouvelle rubrique que nous inaugurons ce jour, sur notre blog !

Pendant 3 mois, nous avons interrogé des dirigeants de TPE, entrepreneurs et indépendants sur leurs motivations, leurs besoins, lors difficultés, et étudié leur comportement d'entrepreneur. De cette étude, sont ressortis quelques indicateurs, sur les constats et attentes des entrepreneurs, que nous allons vous faire partager, chaque semaine, au fil des prochains mois.

Ainsi, 36% des entrepreneurs estiment que la gestion et l'organisation de l'entreprise sont un poids qui nuit à la performance.

Et vous, que pensez-vous de ce résultat ? Comment optimisez-vous votre efficacité au quotidien ?

Données issues de l’enquête réalisée entre le 15 Avril et 20 Juillet 2007, au travers d’un questionnaire administré en face à face et par téléphone, sur un échantillon de 200 entrepreneurs, sur Paris, région parisienne et les 3 plus grandes villes de France, et correspondant à la répartition des créateurs d'entreprises selon Insee. Étude réalisée pour l'observatoire entreprise-facile.


author Publié par incwo2 Mon, 15 Oct 2007 18:03:00 GMT

Le 16 octobre 2007 sera le coup d’envoi de la journée qui devrait susciter chaque année des initiatives nouvelles.

Au programme : des actions en faveur de la reconnaissance des entrepreneurs, des évènements, des rencontres, des portes ouvertes seront organisées en 2007-2008 pour permettre à tous les acteurs de la société de découvrir l’univers « extraordinaire » des entrepreneurs.

Toutes les infomations sur cette journées sont sur : http://www.journee-entrepreneur.fr


author Publié par incwo2 Mon, 15 Oct 2007 09:53:00 GMT

Barbara Ouvrard est Freelance en Relations Presse. En 2004, elle décidait de créer son entreprise et de se lancer en solo. Elle nous raconte, pourquoi ? comment ? Et nous fait partager son expérience de créatrice. Vous pouvez suivre l'aventure entrepreneuriale de Barbara Ouvrard, et retrouver ses joies d'entreprendre et ses coups de gueule sur son blog.

Comment êtes-vous devenue créatrice d'entreprise ? Quand j'ai quitté ma Normandie natale pour tenter ma chance à la « capitale », j'ai enchaîné CDD sur CDD. Pas très motivante la situation ! Même à un poste d'attachée de presse très spécialisée. Et puis, un jour j'ai croisé Philippe Bloch, co-fondateur de Columbus Café et auteur de « Bienheureux les fêlés ». (Je médiatisais une de ses conférences). Celui-ci a tout de suite détecté mon potentiel entrepreneurial. Il m'a convaincue que je pouvais m'éclater dans mon job… mais à mon compte ! Depuis, c'est mon mentor, mon confident du business…

Vous dites que, très vite, vous avez voulu créer votre entreprise : comment le sait-on ? Question d'ambition et un fort esprit professionnel indépendant. Toute petite, je me suis conditionnée à tout faire pour rester libre et avoir la chance de faire ce que j'aime.

Comment l'exprime t-on ? Haut et fort même si ça gêne les autres. Les frileux.

Quand avez-vous su que vous étiez prête ? Quand j'ai rencontré Philippe Bloch et quand mon conjoint m'a dit « vas-y. Fonce !! C'est le moment ! »

A quel moment vous êtes-vous lancée ? J'ai choisi le symbolisme du 02 janvier 2004 pour commencer une autre vie professionnelle

Quelles ont été vos difficultés lors de la création ? Se faire entendre des institutions peu sensibles aux très jeunes entrepreneurs fauchés (j'avais à peine 27 ans). En plus créatifs : le comble !!!!

Quelles questions vous posiez-vous ? Je ne me posais pas de questions pour ne pas m'effrayer ou douter. J'ai foncé tête baissée dans mon projet. J'y croyais. Je n'avais rien à perdre et tant de choses à gagner.

Comment avez-vous contourné ou répondu à ces difficultés ? J'ai beaucoup de chance d'être très entourée, épaulée. Je réfléchis mon projet depuis l'année du BAC. Et puis, ma formation de journaliste m'a permis de me renseigner partout, de croiser les infos et de synthétiser les documents glanés. Je décortiquais tout pour comprendre à fond les mécanismes.

Et aujourd'hui, rencontrez-vous encore des contraintes, des doutes, des angoisses ? Pas de contraintes et pas de doutes. Je passe outre. Des angoisses ? De vieux traumatismes dus à des anciens clients très indélicats. Ca va passer avec le temps.

Quelles sont les idées reçus les plus répandues sur la création d'entreprise qu'il faut, selon vous, tout de suite corriger ? Beaucoup de stress, beaucoup de risques, beaucoup de batailles, beaucoup d'argent très vite. Tous les arguments de ceux qui ne savent pas de quoi ils parlent.

Selon vous, l'entrepreneuriat, en France, a t-il un sexe ? Je ne pense pas. C'est un autre chromosome qui est en compte : le gêne de l'entrepreneuriat.

Y'a t-il des manières d'entreprendre au féminin et au masculin ? Au travers de votre expérience, de vos relations professionnelles, qu'avez vous pu faire comme constat ? Qu'est-ce qu'être entrepreneur finalement ? Les femmes sont persévérantes, têtues et sincères dans leur projet. Ca part des tripes. Pas de constat. Mais de l'observation. Il y a des motivations cachées et extrêmement sensibles derrière le projet d'entreprendre d'une femme. Un entrepreneur est avant tout convaincu par son projet, le défend bec et ongles. Il a une grosse capacité pour prendre du recul et accepter le changement.

Quels conseils donneriez-vous à un créateur qui souhaite lancer son activité ? Lire mon blog et réagir : http://blogs.lentreprise.com/solo/


author Publié par incwo2 Thu, 11 Oct 2007 15:56:39 GMT

Aucune intention de prétendre l'inverse, bien au contraire... mais simplement envie de faire écho à la publication de la commission européenne.

En effet, la Commission Européenne vient de publier les premières conclusions de son étude sur la politique relative aux PME et on y apprend que :

Dans l’UE-15, créer une entreprise ne coûte plus, en moyenne, que 554 euros en 2007, contre 813 euros en 2002. De même, les formalités administratives d’immatriculation de l’entreprise ne durent plus que 12 jours environ aujourd’hui, contre 24 en 2002.

Nous n'avons pas pu nous empêcher de vous proposer une petite comparaison. Sur entreprise-facile.com le montant global des formalités de création d'une Entreprise Individuelle de type commercial, par exemple, est de 180,40 € TTC et celle d'une SARL est de 538,64 € TTC, donc plus bas que la moyenne européenne. Et pour ce qui est de la durée d'immatriculation, vous pouvez obtenir votre Kbis en 4 jours.

Pour lire la suite du rapport : cliquez ici.


author Publié par incwo2 Mon, 08 Oct 2007 06:37:00 GMT

Pamela Strawgate est la fondatrice de PS Coaching. Américaine, vivant en France, elle accompagne des entrepreneurs et créateurs, principalement des femmes, dans leur développement personnel et professionnel. Nous lui avons demandé de comparer les cultures entreprenariales qu'elle connait et de nous livrer quelques conseils pour se lancer et réussir.

1/ Qui sont les gens qui font appel à vos services de LIFE coaching ?

Mes clients sont essentiellement des femmes entre 35 et 75 ans qui cherchent à donner un sens à leur vie actuelle. Elles se posent de grandes questions une fois confrontées à une situation qui ne leur convient plus. Les situations sont variées. Il peut s’agir d’un travail qu’elle n’aime plus, la perte d’un travail ou d’un être cher, le vide des enfants partis de la maison, une relation qui ne fonctionne plus, l'intégration dans une nouvelle ville ou un nouveau pays… Elles souhaitent un soutien extérieur pour faire face à une transition qui s’avère aujourd’hui inévitable.

Comme je suis bilingue et que je travaille beaucoup par téléphone ou skype, elles parlent anglais ou français. Elles vivent donc dans des pays anglophones comme les Etats Unis, l’Australie ou les pays francophones comme la France et Monaco. Mais j’ai aussi des clientes de nationalité Hollandaise et Allemande qui parle anglais.

2/ Que manque t-il le plus souvent aux personnes que vous accompagnez pour réussir ? Quels sont leurs principaux besoins, leurs principales craintes ?

Les choses qui manquent le plus souvent à mes clients sont la clarté et le courage. Ce sont en général des personnes extraordinaires, très courageuses en temps normal. Mais face à une situation qui les perturbe et qui perdure depuis un certain temps avant qu’elles passent à l’action (faire appel à un coach entre autres choses), elles ont parfois perdu confiance en elles et n’arrivent plus à savoir exactement ce qu’elles veulent. Elles ont besoin d’être écoutées, rassurées, guidées, et de nouveau responsabilisées dans leur choix et dans leurs actions.

3/ Quelles sont les différences marquantes entre la culture entreprenariale française et américaine ?

Les anglophones sont plus facilement dans l’action et l’optimisme. Les français sont beaucoup dans la réflexion qui retarde ou même empêche l’action. De manière générale, les français passent d’abord par la case « non, ce n’est pas possible » avant de trouver, éventuellement, des solutions. Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? Les anglophones sont dans l’esprit « tout est possible quand on veut ». Pourquoi faire compliqué quand cela peut être si simple ?

4/ Que pensez-vous des entrepreneurs français et de la culture entreprenariale, en générale, en France ?

Je suis fréquemment impressionnée par les français qui ont le courage et la persévérance de monter leur affaire en France et réussir. Malgré les changements depuis quelques années dans les conditions qui sont sensées faciliter la création d’entreprise et toutes les incentives à cela, c’est toujours un parcours de combattant, très lourd à gérer et souvent très coûteux. Je suis aussi impressionnée par leur créativité à détourner certaines dispositions à leur avantage, comme l’association 1901 qui couvre un très large éventail d’activités !

5/ Quels conseils donneriez vous à un entrepreneur entrepreneurs qui souhaite lancer son activité, mais est encore hésitant ?

Parler à son entourage de son idée pour la valider. Chercher des contacts si besoin dans son propre réseau ou des réseaux professionnels. Chercher des informations fiables auprès des professionnels (compta, avocat, associations, etc). Profiter des dispositifs et concours disponibles pour des créateurs comme l’ACCRE ou l’ADIE. Entrer en contact avec des incubateurs comme Paris Pionnières et pépinières locaux. Et si vous êtes sûr de votre idée, foncez ! N’écoutez pas les gens qui disent non, sauf si c’est une très grande majorité ET qu’ils justifient leurs doutes. Ne laissez pas le pessimisme et la peur des autres vous infecter. Comme je dis souvent à mes clientes : créez votre chance, reconnaissez la et surtout, saisissez-la. Vous pouvez accepter ce qui vous arrive ou vous pouvez créer ce que vous voulez. C’est votre choix !


author Publié par incwo2 Fri, 05 Oct 2007 06:54:00 GMT

Stéphane Distinguin est le fondateur de bureauxapartager.com et de plusieurs jeunes entreprises innovantes (faberNovel, Digitick, Chugulu, AF83, etc.). Passionné par les nouvelles technologies et leurs usages, il est très impliqué dans les réseaux de l'innovation et de l'entreprenariat. Président de Silicon Sentier, une association qui s’investit dans de nombreux projets collectifs de la vie numérique (Mobile Mondays, BarCamp, Cap Digital), il nous fait partager son regard sur l'entreprenariat.

1/ C'est quoi, pour vous, être entrepreneur ? Quelles qualités faut-il pour mener à bien un projet entrepreneurial ?

Etre entrepreneur c’est avoir des convictions et surtout aller jusqu’au bout de ses convictions, jusqu’à l’action. C’est également savoir jouer avec le temps.

2/ Quelles sont les barrières, quels sont les pièges qu'il faut savoir contourner pour entreprendre, et plus particulièrement peut-être dans le cadre de la création d'une entreprise innovante ?

Le temps est le premier piège qu’il faut savoir contourner : l’entrepreneur doit absolument s’en faire un ami, surtout dans le cadre des entreprises innovantes, où les idées puis les réalisations doivent avoir lieu suffisamment tôt pour être exploitables.

Une des clés de la réussite est le recrutement. Il faut très bien choisir les personnes qui nous entourent, qu’elles soient capables et déterminées.

3/ Comment les réseaux et communautés soutiennent /accompagnent/aident les créateurs et entrepreneurs ? En quoi est-ce important de s'intégrer dans un réseau quand on se lance et tout au long de sa vie d'entrepreneur ?

Les réseaux et les communautés permettent d'exister au-delà de sa propre structure. C'est un exercice prenant, mais obligatoire. On ne crée pas son entreprise seul, être bien entouré est déterminant. Cela permet également de rencontrer des partenaires, des clients, des fournisseurs… Enfin il est important de s’intégrer dans un réseau tout au long de sa vie d’entrepreneur afin de pouvoir redonner au réseau ce qu’on en attend et accompagner les jeunes entrepreneurs.

4/ Quels sont les impacts/les conséquences des nouvelles technologies et de l'innovation sur la création d'entreprise ?

Les nouvelles technologies ont différents impacts sur la création d’entreprise. Il peut s’agir de conséquences simples : la mise à disposition d'un nouveau service comme bureauxapartager.com. Mais il peut aussi s’agir de conséquences concrètes sur le business : une entreprise comme Digitick n’aurait pas pu voir le jour sans les nouvelles technologies de la téléphonie mobile…

5/ Quels conseils donneriez-vous à une créateur d'entreprise qui souhaite se lancer ?

L’action commerciale doit être la première priorité… Suivie de très près par le recrutement. Avoir confiance et toujours avancer.

Si vous recherchez des bureaux ou un domiciliation pour votre entreprise, entreprise-facile et ses partenaires vous propose des solutions sur le Bureau Virtuel.

Vous êtes membres d'une club ou d'une association d'entrepreneurs, faites partager votre expérience à d'autres entrepreneurs et créateurs ! Que vous apporte votre réseau ? Est-ce compliqué d'intégrer un réseau ? Parlez nous du votre réseau !


author Publié par axel Wed, 03 Oct 2007 16:28:31 GMT

Je parle tout le temps à des entrepreneurs qui sont très enthousiastes parce que « leur marché potentiel représente des millions de clients ! ». Cette ligne de pensée débouche souvent sur la conclusion suivante :

« Puisque le marché représente un potentiel de plusieurs millions d’acheteurs, tout ce dont j’ai besoin, c’est de capter 1% de ce marché et ma société sera un énorme succès ! ».

Je pense que trop d’entrepreneurs tombent dans ce piège du « marché de millions de clients ». Bien qu’il n’y ai rien de mauvais dans le fait d’avoir une grande opportunité de marché (en fait, je le recommande, et les investisseurs le requièrent). Je pense que le succès est beaucoup plus corrélé avec la capacité d’une jeune société à identifier les consommateurs (et à leur vendre) le plus tôt possible plutôt que d’attendre la possibilité de servir un marché plus grand.

De plus, à propos de ces « 1% d’un gros marché », la probabilité que vous capteriez 1% d’un « méga-marché » est proche de zéro. Soit vous n’aurez aucune part du marché, soit ce sera plus important. Il est rare qu’une jeune société ne gagne 1% (ou quelconque autre petit pourcentage) d’un marché très important

Pourquoi un petit marché existant est-il préférable à un marché potentiel de millions ?

1. Si vous faites un produit qui répond aux besoins de quelques « réels » consommateurs, il est peu probable que cette opportunité ce limite à ces quelques personnes. Vous trouverez probablement plus tard une façon d’extrapoler et de vous adresser à une population plus grande.

2. En se concentrant sur un plus petit marché de clients existants, vous aurez une chance supplémentaire de leur vendre quelque chose. Si vous choisissez le marché potentiel de millions de clients, il est facile de tomber dans la complaisance et de se dire « J’investis sur du long-terme qui attirera les foules plus tard… ». Je pense que vos chances sont bien plus grandes si vous avez quelque chose à vendre aujourd’hui que si vous n'aviez un produit hypothétique qui devrait théoriquement attirer les foules plus tard.

3. Le coût d’acquisition d’un client semble être proportionnel à la taille du marché que vous visez. Ceci ne devrait pas être une surprise. Il revient plus cher de toucher un large marché avec un message efficace et vendeur qu’un marché plus restreint. Il est plus facile de collecter des données, plus facile de joindre, plus facile de convaincre et plus facile de contenter un petit marché (ceci résultant également de l’effet de bouche-à-oreille).

Maintenant, voici le seul gros risque de se lancer sur un marché plus petit : Si vous n’êtes pas prudents, vous pouvez tomber dans le piège des « solutions individualisées ». C’est ce qui arrive lorsque vous êtes si concentrés à répondre aux besoins du petit marché que vous en éprouvez des difficultés à passer sur le gros marché. C’est une des raisons pour lesquelles j’ai employé le terme « petit marché » plutôt que « marché d’individualités ». Un marché d’individualités est dangereux – comme il y a de grandes chances que vous tombiez dans le piège des solutions individualisées. Mais, dès que vous essayez et répondez aux besoins de deux ou plus clients réels, vos craintes de tomber dans ce piège disparaissent. L’astuce est de trouver le bon équilibre: Un marché assez important pour construire quelque chose répondant aux besoins de beaucoup de clients, mais pas si grand que le marché n’en devienne hypothétique.

L’article qui précède est la traduction de l’article «Startups : Why A Real Market of A Few Is Better Than A Mythical Market of Millions » de Dharmesh Shah. La traduction et la publication sont autorisées par l’auteur: retrouvez régulièrement sur notre blog les articles de Dharmesh Shah sur onstartups.com

Dharmesh Shah est diplômé dans un premier temps de l’université de l’Alabama en informatique, et d’un Master Spécialisé du MIT, en innovation et leadership. Passionné de programmation et d’entreprenariat, il a par ailleurs créé plusieurs sociétés, dont la dernière, Hubspot, permet de créer et d’optimiser un site internet et son marketing. Vous retrouverez ici une sélection d'articles de son site d’actualité de l’entreprenariat high-tech.


author Publié par incwo2 Tue, 02 Oct 2007 08:33:33 GMT

Pour s'informer sur la création d'entreprise, voici quelques événements à ne pas manquer.

Salon des Micro-entreprises : Pendant 3 jours au Palais des Congrès - Porte Maillot - Paris, du 9 au 11 Octobre, exposants et experts proposent des solutions et des nouveautés en matière de création, de gestion et de développement d’entreprise. 120 conférences-formation en accès libre - 6 rendez-vous métiers pour débattre et dialoguer entre professionnels d’un même métier - Les speed business meetings. Demandez votre badge gratuit pour l'édition 2007 : www.salonmicroentreprises.com

Les journées régionales de la création & reprise d’entreprise : le 11 & 12 octobre, tous les professionnels de la création, de la reprise, de la transmission, du développement et de la franchise se retrouvent au Parc Expo de Rennes Aéroport - Hall 8 - La Haie Gautrais - 35170 Bruz. Pour tout renseignement : www.jrce.org

Salon de l'entreprise - La Rochelle : Le 11 & 12 octobre à l'Espace encan. Pour cette 8ème édition, le Forum du créateur d’entreprise devient le Salon de l’entreprise dédié entièrement à l’univers de l’entrepreneur : de la création au développement en passant par la reprise et la transmission de l’entreprise. Entrée gratuite. Contact : Atlantika événements au 05 46 28 97 70, www.forum-entreprise17.fr

Demi-journées d'information Créa’Info : Deux demi-journées d’information gratuites se dérouleront de 14h à 17h, les jeudis 11 et 25 octobre. Objectifs : découvrir la démarche création d'entreprise et élaborer les questions essentielles préalables à tout engagement. Lieu :CCI- Boulevard Félix Amiot - 50100 Cherbourg. Plus d'information sur http://www.createk-cherbourg.com/formation.html

Le bus de l’initiative à Marseille : du 22 au 26 octobre, le Cyberbus sillonnera cinq quartiers de la vallée de l’Huveaune afin de sensibiliser et d’informer gratuitement les habitants de la vallée de l’Huveaune sur la création d’entreprise (amorçage, faisabilité, financement, création). Renseignements complémentaires au 04 88 10 64 51

Easyfairs Franchise : Salon de la franchise et la création d'entreprise en réseau, du 16 octobre au 17 octobre 2007 au Pôle Formation CCI Strasbourg de 10h à 18h. www.easyfairs-franchise.com

Planète PME : les 23 et 24 octobre 2007 se tiendra au Palais des Congrès de Paris, un forum de rencontre, d'information et d'échange pour créer, innover, développer ou transmettre votre entreprise. Nouveautés 2007 : Planète transmission et Planète réseau - Renseignements complémentaires : contact@planetepme.org - http://www.planetepme.org


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