author Publié par incwo Fri, 18 May 2007 15:15:00 GMT

Penelope Trunk est l’auteur de l’ouvrage Carriériste sans honte : Les nouvelles règles du succès. Elle est rédactrice professionnelle pour le Boston Globe et Yahoo Finance (USA). Ses colonnes indépendantes ont fait l’objet de plus de 200 publications. Elle a fait l’expérience d’une introduction en bourse, d’une acquisition, et d’une banqueroute. Avant cela, elle jouait professionnellement au volley-ball.

Les deux réponses que j’ai préférées dans cet entretien sont les réponses #7 et #10. Si j’avais gagné un centime à chaque fois que j’ai répondu à des questions concernant l’obtention d’un MBA ou d’un premier poste après l’obtention d’un diplôme, je possèderais aujourd’hui ma propre patinoire.

Question 1 : Combien faut-il d’argent pour être heureux ?

Réponse : Environ 30,000€. Combien vous avez d’enfants ou dans quelle ville vous habitez n’a pas d’importance – C’est transformer le problème, car le bonheur des gens et largement basé sur leur niveau d’optimisme et la qualité de leurs relations. Donc, aussi longtemps que vous avez assez d’argent pour le gîte et le couvert, votre niveau d’optimisme pousse ou dicte votre bonheur.

Question 2 : Est-il plus important d’être compétent ou sympathique ?

Réponse : Les gens préfèreraient en réalité travailler avec quelqu’un d’incompétent et sympathique plutôt qu’avec quelqu’un de compétent et antipathique. La plupart de gens acquiescent en lisant ceci. Ce sont les personnes antipathiques qui forment des arguments contraires dans leur tête.

Mais il y a plus. Au travail, si vous êtes antipathiques, les gens penseront que vous êtes moins compétents. Arrêtez de penser que vous pouvez passer outre grâce à votre QI génial, parce que vous ne le pouvez pas. Vous avez également besoin d’intelligence émotionnelle. Cette situation est si prononcée qu’il y a des classes d’éducation spécialisée remplies d’enfants qui pouvaient lire depuis l’âge de trois ans. Les capacités de socialisation sont aussi importantes que l’intelligence lorsque l’on vise le succès à long terme, même pour les génies.

Question 3 : Devrais-je poursuivre un patron qui me harcèle sexuellement ?

Réponse : Dans la plupart des cas, vous détruiriez votre carrière si vous rapportiez un cas de harcèlement sexuel. Donc, à moins que vous ne soyiez en danger physique, vous ne devriez pas rapporter le harcèlement. Les lois gouvernant le harcèlement sexuel ne protègent pas les femmes qui les rapportent. Les lois protègent les sociétés de la possibilité qu’elles soient poursuivies par les femmes qui les rapportent. Les professionnels des ressources humaines sont entraînés à protéger les sociétés, pas la femme qui rapporte un harcèlement.

Quand vous rapportez un harcèlement, il est habituel que vous perdiez votre emploi par vengeance. La vengeance est illégale, mais presque impossible à prouver devant une cour. Et, même si vous pouviez le prouver devant une cour, vous traverseriez un enfer émotionnel, avec aucun salaire, et un profil hautement dramatique, qui rendrait votre recherche d’emploi difficile. Tout cela pour une indemnisation qui ne vous permettrait probablement pas de prendre votre retraite.

C’est simplement la manière dont le système légal fonctionne. Je ne dis pas qu’elle est bonne. Mais je dis que si votre carrière est importante pour vous, vous ferez tout ce que vous pouvez pour ne pas le rapporter. La plupart des femmes ne sont pas en position de sacrifier leur carrière – et leur pouvoir d’achat – au nom d’une tentative faire tomber le harceleur. Le système légal doit s’adapter et régler ce problème.

Question 4 : Quand dois-je demander une promotion ?

Réponse : Peut-être jamais. L’augmentation moyenne des salaires est de 4%. Est-ce que cela va changer votre vie d’une manière radicale ? Au delà de ça, quelqu’un vous promeut un peu plus haut dans son échelle, mais son échelle n’est pas forcément votre meilleur cheminement. Restez donc plutôt concentré sur là où vous voulez aller plutôt que sur les cheminements que d’autres ont fixé pour vous.

Obtenir une promotion est si « siècle dernier ». Au lieu de laisser la carotte du siècle dernier dicter les récompenses liées à votre travail, identifiez quels avantages auraient véritablement un sens pour vous : Une formation, un suivi personnalisé, un temps flexible, tout ce qui pourrait représenter plus que 4% de salaire supplémentaire. Ce sont toutes les choses qui pourraient véritablement améliorer votre vie et votre carrière.

Question 5 : Est-ce qu’être un généraliste ou un spécialiste est la voie pour intégrer le comité de direction ?

Réponse : A Hollywood, la meilleure façon d’obtenir tous les rôles est de devenir un spécialiste – le mec dôle, la femme forte, le héro de l’action – qui devient célèbre pour être le meilleur dans quelque chose et ensuite utilise cette image de star pour que ça marche. La même chose est vraie dans les affaires.

Les emplois qui ne requièrent pas une spécialité sont de bas niveau. Pour progresser dans la hiérarchie, vous devez être très bon dans un domaine, et vous devez laisser les autres savoir ce que vous ne faites pas. Personne n’excelle partout. Même si votre but n’est pas d’intégrer le comité de direction, vous devriez vous spécialiser. Quand vous voulez prendre cinq mois de vacances pour une randonnée au Tibet, si vous êtes remplacé facilement, vous le serez. Si vous avez une compétence difficile à dupliquer, votre emploi sera toujours là quand vous reviendrez.

Question 6 : Que dois-je faire des trous dans mon curriculum vitae lorsque j’ai voyagé ou que je ne pouvais pas trouver d’emploi ?

Réponse : Parlez-en bien. Un trou est vraiment mauvais si vous passiez vos journées dans votre canapé à regarder des dessins animés. Mais si vous regardiez des dessins animés pour préparer votre prochaine orientation de carrière vers la programmation télévisuelle pour les enfants, alors vous apparaissez comme une personne de volontaire, qui sait ce qu’elle veut. Le même poste de télévision, le même canapé, deux histoires différentes.

Les gens ne veulent pas entendre l’histoire de toute votre vie. C’est une bonne nouvelle pour les personnes avec des « épisodes canapé ». Dans la plupart des cas, vous apprenez quelque chose durant un trou. Racontez une belle histoire sur ce que vous avez appris et où vous allez, et votre « trou » ne deviendra pas le point central. Écarter des détails n’est pas mentir, mais c’est l’art de raconter de belles histoires.

Question 7 : Est-ce que l’obtention d’un MBA ou d’un autre type de diplôme supérieur serait un bon usage de mon temps et de mon argent, puisque je n’arrive pas à trouver un emploi ?

Réponse : Non. Si vous n’arrivez pas à trouver un emploi, alors vous devriez investir dans quelque chose comme une meilleure préparation, un meilleur curriculum vitae, ou un coach pour améliorer de faibles compétences de socialisation. Ce sont des choses qui empêchent les gens de trouver un emploi. Au lieu de retourner à l’école, trouvez pourquoi vous ne pouvez pas trouver de travail, parce que c’est peut-être quelque chose qu’un diplôme ne peut pas compenser.

Un diplôme supérieur vous rend généralement moins employable, pas plus employable. Par exemple, une personne diplômée en Sciences Humaines aurait plus de chances de survivre au naufrage du Titanic que de trouver un poste d’enseignant titulaire.

À moins d’intégrer une grande école de commerce au début de votre carrière, vous ne devriez pas vous arrêter de travailler pour obtenir ce diplôme. Suivez des cours du soir parce que vous ne rattraperez pas la perte de revenus avec vos connaissances supplémentaires.

Le droit est l’une des seules matières d’enseignement supérieur qui vous rendront plus employables. Malheureusement, il vous rend plus employable dans la profession où les gens sont les moins heureux. Le droit récompense le perfectionnisme, et le perfectionnisme est un facteur à risque pour la dépression. Les diplômés en droit ont peu de contrôle sur leur travail et leurs horaires, car ils sont à la disposition de leurs clients, et beaucoup travaillent constamment avec des clients qui ont des problèmes qu’ils ne peuvent pas résoudre. Ces deux traits dans un seul emploi – le manque de contrôle sur la charge de travail et la capacité compromise d’atteindre les objectifs définis – sont les plus importantes causes d’épuisement dans un emploi.

(Puis-je intervenir ici ? J’ai fait du droit pendant deux semaines avant d’abandonner quand j’étais jeune ! Guy)

Question 8 : Quelle est la longueur idéale d’un curriculum vitae, dans un monde où chaque CV est électronique et jamais vu après impression sur papier ?

Réponse : Une page. Toujours. Votre CV est un document marketing, pas un résumé de votre vie, donc chaque ligne devrait comporter une réalisation. Plus grandes sont vos réalisations, moins votre liste a besoin d’être longue. Par exemple, vous pouvez mettre « A évangélisé Macintosh et l’a transformé en l’une des marques les plus reconnues du monde », ensuite vous n’avez plus besoin d’aucune autre puce vente et marketing sur votre CV.

Si vous avez totalement perdu toute perspective, et que vous pensez avoir deux pages de résultats incroyables et pertinents, dites-vous bien que les personnes des ressources humaines passent dix secondes à évaluer un CV, et un scanner recherche dix mots clefs, qui tiennent certainement sur une seule page.

Donc, à moins que vous n’ayez une excellente connexion avec le chargé du recrutement et que vous savez qu’il regardera les deux pages, ne vous ennuyez pas à lui envoyer. Et si vous avez réellement cette connexion avec le chargé de recrutement, alors, vous aurez probablement un entretien, même si votre CV est nul.

Question 9 : Comment dois-je préparer mes entretiens ?

Réponse : Un entretien est un test pour lequel vous pouvez étudier. Donc, mémorisez les réponses pour les 50 questions les plus communes. La plupart des chargés de recrutement posent des questions standards avec éventuellement quelques variations standards, et il y a des bonnes réponses à ces questions.

Que vous soyez strip-teaseuse ou agent de la CIA, la réponse à la question « quelle est votre faiblesse ? » est une anecdote à propos de comment votre faiblesse a pu interférer dans votre travail – dans une situation spécifique – et la manière dont vous êtes allés au delà. La plupart de vos autres réponses devraient également être des anecdotes. Ceci signifie que vous devez les préparer avant que vous n’arriviez à l’entretien. Les anecdotes de votre vie sont mémorisables. Pas les listes de votre vie. Soyez mémorisables si vous voulez être recrutés.

Une autre manière de vous préparer est d’aller à la salle de sport avant d’aller à votre entretien. Ce n’est pas grave si vous n’allez jamais dans une salle de sport – bien que vous devriez, car les gens qui le font rencontrent généralement plus de succès dans leurs carrières. Vous devriez y aller juste avant votre entretien parce que les gens vous jugent d’abord sur votre apparence, et si vous soulevez des poids lourds avec les muscles de votre dos et de votre estomac, vous vous tiendrez beaucoup plus droit durant la rencontre. Ceci vous fera apparaître comme plus confiant, ce qui est déjà la moitié de la bataille lorsque l’on est jugé sur les apparences.

Question 10 : Quelle est la bonne stratégie pour la recherche d’un premier emploi à la sortie de l’université ?

Réponse : Ne placez pas trop d’importance sur votre premier emploi. Vous en aurez beaucoup d’autres. La plupart des gens ont 8 emplois avant d’avoir 30 ans et ça ne leur pose aucun problème. Il est presque impossible de savoir quelle carrière sera la bonne pour vous avant de commencer à essayer des choses. Donnez vous donc la latitude d’essayer beaucoup de choses. Et n’abandonnez pas dans la recherche d’une âme. Sur les terres d’un emploi fantastique, vous n’avez pas besoin de connaître le sens de la vie, mais le sens du travail.

Question 11 : Est-ce que ce ne sont que les « perdants » qui vivent chez leurs parents après la fac ?

Réponse : Dans un certain sens, il serait insensé de ne pas rentrer chez ses parents, ce qui est pourquoi près de 50% des diplômés âgés le font. Rentrer chez ses parents et une étape intelligente pour trouver la carrière qui vous convient.

Les emplois proposés aux débutants ne peuvent typiquement pas couvrir le coût d’une location, du remboursement d’un emprunt étudiant, et des premières assurances – toutes celles-là augmentant plus rapidement que les salaires. Si vous n’avez pas à vous soucier de payer une location, vous avez plus de flexibilité pour attendre le bon emploi et pour prendre un emploi qui vous semble intéressant mais paie moins. L’augmentation du nombre de stages prestigieux mais non rémunérés correspond parfaitement avec cette tendance au retour chez ses parents.

Question 12 : Que dois-je faire si je travaille pour un idiot ?

Réponse : Partez. Je sais qu’il y a des exemples classiques de Bob Sutton d’idiots respectés tels que Steve Jobs, mais je me demande comment sont les gens qui ont fait avec. Ne peuvent-ils pas trouver un autre visionnaire pour lequel travailler et qui ne soit pas aussi idiot ?

Rester dans un emploi comme celui-ci vous fait apparaître comme mauvais. Les gens se demandent pourquoi vous faites avec. Et, franchement, vous devriez aussi. C’est comme d’être une femme abusée par son mari. La femme qui reste défend toujours sa relation par ce qu’elle en tire, mais pour tout le monde, il est évident qu’elle devrait partir. Le problème est une perte de perspective personnelle.

L’article qui précède est la traduction de l’article «Ten Questions With Penelope Trunk: Career Guidance for This Century» de Guy Kawasaki. La traduction et publication sont autorisées par l’auteur: retrouvez régulièrement sur notre blog les articles de Guy Kawasaki.

Guy Kawasaki est Directeur de Garage Technology Ventures, une société de capital-risque qui investit tôt dans les sociétés. Guy est également éditorialiste pour Entrepreneur Magazine. Auparavant, Guy avait le titre d’Apple Fellow chez Apple Computer, Inc. Guy est l’auteur de huit livres, incluant L’art de se Lancer, Rules for Revolutionaries, How to Drive Your Competition Crazy, Selling the Dream, and The Macintosh Way. Guy possède un BA de l’Université de Stanford et un MBA de l’UCLA, ainsi qu’un Doctorat honorifique du Babson College.

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author Publié par incwo2 Wed, 09 May 2007 11:22:15 GMT

Vous avez été nombreux à nous demander d'ajouter une fonction pour archiver et partager vos fichiers avec vos collaborateurs. Désormais, il est possible de télécharger tous vos documents sur votre Bureau en Ligne !

Nous avons commencé à intégrer un module "ajout de pièce jointe" qui vous permet de gérer et stocker vos documents. Quelque soit le type de fichiers (Word, Excel, ppt, pdf et format image), vous pouvez lier des documents à chacun de vos dossiers. A ce jour, il est possible d'attacher, par exemple : un plan d'accès ou une proposition de partenariat à un contact, une image ou un compte rendu d'étude à une note de documentation, une version scannée de vos contrats d'assurance ou de téléphonie signés dans la liste des contrats.

... et, d'ici 10 jours, le module sera étendu à tous les outils du Bureau en Ligne : aux notes de frais (intégration des justificatifs), aux tâches, aux dossiers commerciaux, aux apprentissages, au registre du personnel (sauvegarde des contrats de travail), aux dépenses (copie des factures fournisseurs), etc.

L'archivage, c'est une solution pour organiser et protéger vos données, mais également l'opportunité, pour votre société, d'enregistrer tous vos modèles de documents en ligne, de les partager avec vos collaborateurs, d'homogénéiser et de contrôler la diffusion de votre image.

Nous attendons toutes vos remarques sur cette nouvelle fonction, et sur celles que vous souhaitez voir intégrées prochainement sur votre Bureau en Ligne.


author Publié par incwo Sun, 06 May 2007 15:17:00 GMT

Le magazine Management du mois de Mai consacre une interview à Guy Kawasaki : "Pour ce gourou de la Silicon Valley, une idée astucieuse et une motivation sans faille compensent l'absence d'argent et de diplôme".

Morceau choisi : "Quelle est l'erreur la plus souvent commise par ceux qui lancent un business ? Surestimer leurs prévisions de vente. Quel que soit le chiffre qu'on m'annonce je le divise par 100 et j'ajoute un an à la date de lancement".

L'approche est intéressante : nous vous invitons à passer le test avec votre business plan si vous êtes en phase de lancement, et à imaginer les scénarios qui en découlent, c'est un bon exercice !


author Publié par incwo2 Mon, 30 Apr 2007 14:50:39 GMT

Vous souhaitez rencontrer des experts de l'entrepreneuriat et partager avec eux conseils et expériences ? C'est possible. A partir du mois de Mai, nous organisons tous les 3ièmes et 4iemes jeudi du mois, des sessions petits déjeuners conçues et animés par des entrepreneurs.

Vous êtes étudiants ou cadres en activité, entreprise-facile vous propose un programme de formation et d'information pour vous aider à mener votre projet de développement d'entreprise.

  • le 3ieme jeudi du mois, « Les conseils pratiques », au programme : un échange de questions/réponses avec des entrepreneurs expérimentés
  • le 4ieme jeudi du mois, « Les incontournables de la création », objectif : aborder les temps forts de la création d’entreprise (choisir un business model, établir un plan de prospection, gérer sa trésorerie…)

Consultez le programme détaillé des sessions de Mai et Juin. Les inscriptions se font directement sur notre site Internet : vous êtes étudiants : cliquez ici ; vous êtes en activité : cliquez là

Vous souhaitez que nous organisions une session sur un thème particulier, parlez-en sur ce blog !


author Publié par incwo2 Mon, 30 Apr 2007 10:06:52 GMT

Quelques événements pour les créateurs et entrepreneurs à noter :

Forum Creactiv : le forum de la création d'activités du Grand Toulouse. 37 stands et des ateliers pendant 2 jours. Saint Orens, le 11 & 12 mai 2007, entrée gratuite, Forum Creactiv

La Caravane des Entrepreneurs : le 9 mai à Aulnays sous Bois, le 10 à Beauvais, le 11 à Rouen, le 12 à Evreux, le 21 à Compiègne, le 22 à Amiens, le 23 à Arras, le 24 à Villeneuve d'Ascq, le 25 à Calais, le 26 à Lille, le 29 à Cambrai, le 30 à Charleville, le 31 à Reims,

Journées Plug & Start : Les journées Plug and start sont destinées aux porteurs de projet de création d'entreprises à caractère technologique ou scientifique. Du 22/05/2007 au 24/05/2007, Technopole de Troyes, www.plugandstart.com

Inventeur Indépendant et Entreprise Innovante : Rencontres professionnelles dédiées à la promotion des inventions, inventeurs indépendants et entreprises innovantes. Du 23 mai au 24 mai 2007 à Paris, Cité des Sciences et de l'Industrie, www.mondial-invention.com

Entreprendre au féminin : Rencontre-débat autour de l'entrepreneuriat au féminin, des professionnels et des créatrices répondent à vos questions et partagent leurs expériences. Le 24 mai, entrée libre dans la limite des places disponibles cité des sciences

Graines de Créateur : Forum rassemblant 50 organismes acteurs de la création d'entreprise pour répondre aux questions des créateurs ou repreneurs d'entreprises. 25 Mai 2007 – Hall du Champ de Foire à Montbéliard – de 9h00 à 18h00 – Entrée libre. Graines de Créateur

Le Salon de l'Entreprise en Aquitaine : Salon de la création, de la reprise, transmission, développement, franchise, et gestion d'entreprises. 30 et 31 mai, Parc des expositions de Bordeaux Lac, Hall 2, http://www.salon-entreprise.com/

Vous avez connaissance d'autres événements qui se tiendront au mois de Mai, n'hésitez pas à les partager sur ce blog.


author Publié par incwo2 Tue, 24 Apr 2007 14:51:49 GMT

Depuis ce matin, vous pouvez télécharger à partir du site d'entreprise-facile.com, notre premier livre blanc consacré aux outils auto-générateurs de business-plan existant sur le marché français, intitulé : "Créateurs, entrepreneurs : quel outil utiliser pour la rédaction de votre business-plan ? "

A travers ce livre blanc, nous avons souhaité accompagner les créateurs et entrepreneurs dans la sélection d’un outil d’aide à la rédaction de business-plan, en fonction de leurs besoins, de leur niveau de connaissance en marketing et comptabilité, et de leur maîtrise des affaires. Ainsi nous avons évalué plusieurs outils existants (gratuits et payants / logiciels ou en ligne) pour proposer à chaque profil d’entrepreneur un outil permettant de construire, de manière autonome, son business-plan.

Ce livre blanc s’adresse plus particulièrement aux créateurs d’entreprises et aux dirigeants de TPE. Il est disponible gratuitement, en téléchargement, à partir du site d’entreprise-facile com. Si vous souhaitez identifier rapidement l'outil qu'il vous faut, consultez notre livre blanc sur le business-plan.


author Publié par incwo Sat, 21 Apr 2007 20:48:00 GMT

Le scotch, c’est simple, efficace, et abordable – ce n’est pas toujours la solution la plus esthétique, mais elle marche toujours. L’idée du livre Le scotch marketing : Guide des idées marketing les plus pratiques du monde pour les petites entreprises de John Jantsch est que les petites entreprises efficaces sont faites de techniques simples, efficaces, et abordables.

Lorsque vous combinez ceci avec l’obsession voire le culte, que beaucoup de gens ont pour toutes les choses scotchées, vous obtenez un assez bon exemple de comment quelque chose d’aussi simple qu’un bon nom peut faire beaucoup pour une société, un produit, un service, ou un livre. J’ai demandé à John de classer ses dix meilleures idées de marketing, et voici la liste qu’il a fournie :

1.Restreignez votre approche du marché. Créez une image de vos clients idéaux : Ce à quoi ils ressemblent, comment ils pensent, ce à quoi ils accordent de la valeur, et où les trouver. Commencez à dire non aux clients qui ne sont pas des clients idéaux.

2.Différenciez-vous. Réduisez tout ce que vous savez à propos de votre produit ou service jusqu’à l’idée essentielle la plus simple. Assurez-vous que cette idée de base vous permet de tenir.

3.Pensez d’abord à la stratégie. Prenez tout ce que vous avez fait dans les étapes 1 et 2 et créez une stratégie pour posséder un mot ou deux dans l’esprit de vos clients idéaux.

4.Créez de l’information qui éduque. Vous êtes dans le monde de l’information, donc pensez à vos documents marketing, sites internet, papiers publicitaires, kits marketing, comme des produits d’information, pas comme de la propagande de vente.

5.Emballez l’expérience. Placez des éléments visuels tout autour de chacun des aspects de la stratégie marketing que vous adoptez. Utilisez le design pour évoquer la réponse émotionnelle appropriée chez vos prospects idéaux.

6.Générez des liens de différentes sources. Les gens apprennent de différentes manières. Vos efforts pour générer des liens doivent permettre à vos prospects d’appréhender votre société sous différents angles et points de vue.

7.Placez des jalons le long du cheminement logique du client. Il y a une façon naturelle pour vos prospects d’arriver à la conclusion que vous avez ce qu’il leur faut. Construisez votre système de conversion en une suite logique des phases d’avant-vente, de vente et d’après-vente.

8.Mesurez tout ce qui est important. Certaines choses seront toujours importantes. La recette secrète est de trouver et de mesurer les intangibles. Ces choses très terre-à-terre qui finalement s’ajoutent au profit.

9.Automatisez pour croître. Embrassez Internet ou autres. Créez de l’accès, stimulez une communauté, capturez l’innovation, et construisez la connaissance pour automatiser la livraison basique de vos éléments d’information.

10.Tenez-vous y. Résistez à la tentation de l’idée de marketing de la semaine. Créez des calendriers d’action marketing quotidiennes, hebdomadaires, mensuelles, et annuelles, faites du marketing votre nouvelle habitude, et trouvez les fonds nécessaires pour vous tenir au plan.

L’article qui précède est la traduction de l’article « The Essence of Duct Tape Marketing» de Guy Kawasaki. La traduction et publication sont autorisées par l’auteur: retrouvez régulièrement sur notre blog les articles de Guy Kawasaki.

Guy Kawasaki est Directeur de Garage Technology Ventures, une société de capital-risque qui investit tôt dans les sociétés. Guy est également éditorialiste pour Entrepreneur Magazine. Auparavant, Guy avait le titre d’Apple Fellow chez Apple Computer, Inc. Guy est l’auteur de huit livres, incluant L’art de se Lancer, Rules for Revolutionaries, How to Drive Your Competition Crazy, Selling the Dream, and The Macintosh Way. Guy possède un BA de l’Université de Stanford et un MBA de l’UCLA, ainsi qu’un Doctorat honorifique du Babson College.

Technorati :


author Publié par incwo Fri, 13 Apr 2007 17:14:03 GMT

Louis Naugès est passionné de technologies de l'information et de la communication. Il est fondateur et dirigeant de Microcost, spécialiste de la mise en oeuvre des solutions Google Entreprise. En 1984, Louis crée un nouveau mot, un néologisme, et cela deviendra le nom d'une société qu'il crée : Bureautique SA. Depuis, le mot a fait du chemin... C'est donc tout naturellement à Louis que nous avons pensé pour commenter un événement du monde Bureautique 2.0 : la sortie des Google Apps pour la TPE.


1 - quel est l'importance selon vous de la sortie récente des Google apps pour la TPE ? Evolution/Révolution ?

Les TPE sont idéalement placées pour profiter, immédiatement, de la sortie de logiciels SaaS (Software as a Service), tels que les Google Apps.

En quelques lignes, que sont les Google Apps ?

  • Un ensemble de logiciels Bureautique 2.0, qui proposent les principaux outils indispensables tels que messagerie, agenda partagé, chat, traitement de texte, tableur, page d’accueil personnalisée...
  • Une solution hébergée qui évite aux TPE d’avoir à gérer leurs infrastructures.
  • Une solution sécurisée, fiable, performante.
  • Une solution collaborative, moderne, qui permet de rédiger des documents et des tableaux à plusieurs.
  • Plus de 15 langues disponibles, dont bien sur le Français.

Il en existe deux versions différentes :
  • Google Apps for your domain : gratuite
  • Google Apps Premier édition, payante, qui coûte... 3 euros/mois/personne.
    Cette version payante augmente la taille de la boîte aux lettres de 2 Go à 10 Go, propose des transmissions sécurisées et une garantie de service 99,9%/
Dans les deux cas, une TPE peut utiliser son nom de domaine pour les adresses email et autres.
C’est ce que je fais dans mon entreprise : louis.nauges@microcost.com

Les entreprises, de 1 à 100 000 salariés, peuvent utiliser immédiatement les Google Apps.  C’est une démarche très facile à réaliser dans une TPE, beaucoup plus longue et complexe dans les grandes entreprises.

En clair, une TPE astucieuse peut disposer, en quelques jours, de la meilleure solution bureautique du moment, gratuitement, ou à un prix très bas.
C’est une première étape vers la généralisation des solutions Web 2.0, que toute entreprise, quel que soit son secteur d’activité, peut réaliser sans aucun risque.


2 - comment voyez-vous l'environnement online des dirigeants de TPE à trois ans ?

2007 est l’année où les solutions SaaS vont devenir adultes et permettre à un dirigeant de TPE de basculer l’intégralité de son informatique online.
Il suffira de disposer d’un objet d’accès, PC Windows (en gardant les versions actuelles, sans passer à Vista !), Apple Macintosh, PC sous Linux, PDA, Smartphone, Blackberry pour accéder, en tout lieu, à toute heure, à l’ensemble de ses applications online.
Après la bureautique (Google Apps), ce sont les applications commerciales, dites CRM ou GRC, qui représentent la deuxième priorité pour les TPE. 
Contrairement aux idées reçues, les applications classiques, paye, comptabilité.... ne sont pas prioritaires et peuvent continuer à être gérées par les partenaires historiques des TPE, les experts-comptables.

D’ici à 2010, la grande majorité des TPE françaises innovantes auront basculé à 100 % sur des solutions SaaS online. 
Elles seront plus performantes et auront réduit leur budget informatique : ce serait dommage de ne pas en profiter !


3 - sur le marché des PME + grands comptes, quel va être selon vous la courbe d'intégration, quel seront les risques ?

Le mot Intégration ne doit plus jamais être employé ! On doit le remplacer par le concept d’”agrégation ”.
Quelle différence entre ces deux approches  ?
Intégration, c’est un puzzle dont toutes les pièces sont différentes et où il est très impossible de remplacer une pièce par une autre.
Agrégation, c’est un Lego dont toutes les pièces sont compatibles et interchangeables !

TPE et PME ont une opportunité, historique, en 2007. 
Elles peuvent se construire un “Lego SaaS” de très haute qualité, en gardant la possibilité, si l’une des pièces est défaillante, si l’un des fournisseurs disparaît, de trouver, facilement, économiquement, un composant de remplacement.
C’est beaucoup moins facile pour les grands comptes, qui disposent d’un “héritage” applicatif lourd et complexe, qu’il est long et coûteux de faire évoluer vers des solutions SaaS.

En résumé :
  • Les TPE et PME peuvent immédiatement commencer leur basculement vers des solutions SaaS : les outils Bureautique 2.0 de Google Apps sont un excellent point de départ.
  • Les TPE et PME peuvent le faire plus rapidement que les grandes entreprises.
  • Réduction des coûts et travail collaboratif sont les deux grands bénéfices attendus de cette mutation.



author Publié par incwo Wed, 11 Apr 2007 19:11:48 GMT

Il faut avoir plus de 30 ans pour connaitre la référence "à vous les studios, à vous Cognac-Jay". Eh bien pour notre équipe cela prend un autre sens depuis aujourd'hui, car nous avons quitté nos 15 m2 chez Itélios pour prendre la suite de 24h.fr rue Cognac-Jay, aux côté du nouveau projet de Michel de Guilhermier. Les bureaux sont magnifiques, la terrasse et son incroyable vue sur Paris nous offriront de sympathiques petits breaks.. Merci à Michel, Antoine et Fabienne !


author Publié par incwo Wed, 11 Apr 2007 10:13:00 GMT

Lors de la conférence Elite Retreat, j’ai donné une réponse spontanée à une question concernant l’obtention de l’attention d’un capital risqueur. Mon amie Wendy Piersall rédigea à propos de ma réponse, un article qui devint un article très populaire sur son blog. Cependant, pour véritablement aider les entrepreneurs, j’aimerais publier une liste convaincante des astuces pour attirer l’attention d’une société de capital risque.

1. Obtenez une lettre d’introduction de la part d’un avocat établi. Idéalement il travaillerait pour un grand cabinet qui ferait beaucoup de financement d’entreprises, tel que mes amis de Montgomery & Hansen. Meilleur exemple de message / email : « C’est la société la plus intéressante que j’ai vue en 20 ans d’expérience du conseil légal de financement de jeunes sociétés». Les sociétés de capital risque rêvent toutes d’appels tels que cela – C’est l’équivalent d’un but dont le tir ferait tomber la bouteille d’eau du gardien de la barre transversale.

C’est d’ailleurs une partie des raisons pour lesquelles vous ne devriez pas hésiter à payer les services d’un cabinet renommé spécialisé dans la finance d’entreprise plutôt que dans ceux de l’avocat du divorce de l’oncle Joe (même s’il manie aussi les divorces des capitaux risqueurs). Vous payez non seulement pour l’expertise, mais aussi pour les connections.

2. Obtenez une lettre d’introduction de la part d’un professeur de technologies. Meilleur exemple d’email / de message : « Ces étudiants sont les plus intelligents que j’ai rencontré en vingt ans d’enseignement d’informatique. Larry et Sergueï auraient porté leurs bagages pour eux. » C’est probablement même mieux que la lettre de l’avocat, si l’école a l’habitude de recevoir des dons de plusieurs millions de dollars de la part d’anciens élèves – si vous voyez ce que je veux dire.

3. Obtenez une lettre d’introduction de la part du créateur d’une entreprise dans le portefeuille de la société de capital risque. Meilleur exemple d’email / de message : « Mes amis créent une société et je pense qu’elle est très intéressante. » Pour cela, il serait préférable que la personne faisant l’appel soit une société qui réussit dans le portefeuille du capital risqueur. Ce serait également le moment d’obtenir votre réseau sur LinkedIn, afin de retrouver des connaissances dans ce portefeuille.

Voici une astuce importante concernant les capitaux risqueurs et leur usage de LinkedIn. Peut-être est-ce seulement moi, mais je déteste quand la connexion d’une connexion d’une connexion veut que je jette un oeil à leur proposition. LinkedIn vous permet d’y aller directement, et c’est mon conseil si vous pouvez montrer votre succès (voir ci-dessous). Si vous ne pouvez pas apporter la preuve de votre succès, la connexion d’une connexion d’une connexion est de toute manière inutile.

4. Apportez la preuve de votre succès. Supposez que vous ne puissiez obtenir aucune des introductions mentionnées précédemment. L’ email / message le plus irréfutable que vous puissiez trouver serait : « Mon collègue et moi avons travaillé dans notre garage, sans être payé, et avec MySQL, nous avons construit un site web dont le trafic double chaque mois. En ce moment, nous en sommes à 250,000 pages vues par jour après 30 jours. » Avec cette seule phrase, vous avez prouvé qu’avec peu (« pas ») d’argent, vous pouviez faire beaucoup, que votre architecture tienne la charge (une fois dans ma carrière j’aimerais que la charge soit un problème), et, plus important, que les chiens mangent déjà la nourriture.

Une autre manière de prouver votre succès est de participer à des évènements tels que Demo ou le « Demo du pauvre », Launch:Silicon Valley, mais c’est un jeu que seulement une petite douzaine de sociétés peuvent jouer chaque année. Finalement, vous pouvez fournir des articles chantant vos louanges, mais cela signifie seulement que vous avez séduit la presse, pas que les chiens aiment déjà ce que vous servez.

5. Assurez-vous que votre société est au bon endroit. Quelle que soit la manière dont vous joignez la société de capital risque, assurez vous que c’est la bonne pour vous. Par exemple, si vous avez un remède contre le cancer, contacter un gourou des logiciels d’entreprise, n’est pas la plus lumineuse des idées, donc retournez sur le web et faites vos devoirs.

6. Utilisez un email court. La longueur idéale d’un email est de trois ou quatre paragraphes :

  • Que fait votre société ?
  • Quelle sorte de problèmes résolvez-vous ?
  • Qu’y a-t-il de spécial à propos de votre technologie / marketing / expertise / réseau de contacts ?
  • Qui êtes-vous ?

Voici quelques choses à ne pas faire :
  • Attacher une présentation PowerPoint. Elle ne m’intéresse pas, même si elle suit la règle du 10/20/30 (article en anglais). Gardez la pour le rendez-vous en face à face.
  • Utiliser le mot « licence » plus d’une fois. Tout ce que cela prend pour déposer une licence est mille dollars. Aucun bon représentant de capital risque ne croit qu’une licence rend votre société défendable. Ils veulent juste entendre (une seule fois) si quelque chose vaut la peine de déposer une licence.
  • Avancer que vous êtes sur un marché de plus de plusieurs milliards. Toutes les sociétés ne sont-elles pas sur un marché de plusieurs milliards, selon une quelconque étude ? Au moins toutes les sociétés ayant démarché des sociétés de capital risque le sont.
  • Fournir des projections financières idéales. La plupart des projections que je vois montrent comment vous allez croître plus vite que Google. Franchement, je ne fournirais pas de projection du tout. Elle serait soit trop basse et rendrait votre proposition inintéressante, soit trop haute et vous passeriez pour quelqu’un d’illusoire.
  • Se vanter d’un MBA. La plupart des capitaux risqueurs veulent investir dans des ingénieurs purs et durs au début. Les MBAs peuvent venir après, donc il vaut mieux se concentrer sur l’ingénierie du projet ou éviter totalement le sujet.
  • Essayer de créer l’illusion de pénurie. Beaucoup d’entrepreneurs avancent que « Sequoia est intéressé. » Si Sequoia est intéressé, vous devriez prendre leur argent. S’il ne l’est pas, alors les capitaux risqueurs ne le seront pas non plus. D’une manière ou d’une autre, ne pensez même pas à souffler sur cette fumée.

Cet article porte grosso modo sur la façon de traverser les douves. Pour en savoir plus sur ce que vous devez faire quand vous y serez, lisez « Comment réparer sa présentation » (article en anglais), par Bill Reichert, de Garage.



L’article qui précède est la traduction de l’article « How to Get the Attention of a Venture Capitalist?» de Guy Kawasaki. La traduction et publication sont autorisées par l’auteur: retrouvez régulièrement sur notre blog les articles de Guy Kawasaki.

Guy Kawasaki est Directeur de Garage Technology Ventures, une société de capital-risque qui investit tôt dans les sociétés. Guy est également éditorialiste pour Entrepreneur Magazine. Auparavant, Guy avait le titre d’Apple Fellow chez Apple Computer, Inc. Guy est l’auteur de huit livres, incluant L’art de se Lancer, Rules for Revolutionaries, How to Drive Your Competition Crazy, Selling the Dream, and The Macintosh Way. Guy possède un BA de l’Université de Stanford et un MBA de l’UCLA, ainsi qu’un Doctorat honorifique du Babson College.

Technorati :


author Publié par incwo2 Tue, 03 Apr 2007 09:01:34 GMT

Notre 1000e utilisateur a ouvert son Bureau en Ligne.

Un nouveau seuil pour notre communauté d’entrepreneurs. Le nombre de création de comptes a doublé en seulement deux mois, et le rythme d’ouvertures s’accroît chaque jour. Les retours nombreux des utilisateurs nous ont permis d’enrichir régulièrement le bureau en ligne de nouveaux outils et services, et nous tenions à vous en remercier.

Mais, vous vous demandez certainement qui sont ces entrepreneurs qui utilisent le Bureau en Ligne ? Alors, voici un bref aperçu du leur profil :

Domaine d’activité :

   * Services aux entreprises : 27%
   * Création de logiciels et support Internet : 16 %
   * Télécommunication : 8 %
   * Services aux particuliers : 7 %

Lieu d’implantation géographique :

   * Paris : 20,9%
   * Région Parisienne : 18,9%, dont 41% des utilisateurs de la RP situés dans le 92
   * Province : 59,3%
     Dont : 9,8% des utilisateurs Province situés en PACA, 7,8% en Rhône-Alpes et 7,8% en Midi Pyrénées

Situation entrepreneuriale

   * En activité : 31,5%
   * En cours de création : 11,5 %
   * Avec un projet en cours de développement : 46,1 %

Et vous, après 6 mois de mise en ligne de votre site Internet où en êtes (étiez)-vous ?


author Publié par incwo2 Sun, 01 Apr 2007 20:52:27 GMT

Tous les mois, nous vous tiendrons informés des salons, colloques et autres conférences abordant des thématiques liés à la création d’entreprises et l’entreprenariat.

Pour le mois d’avril, voici quelques événements à ne pas manquer :

- Capital-workshop : journée de formation et d’échanges dédiée aux porteurs de projet et aux jeunes créateurs d’entreprise de technologies innovantes - Paris : du 3 au 5 avril 2007 http://www.capital-it.com/capital-workshop/sommaire1.php3

- Le salon de l’Accompagnement Professionnel des Compétences - Paris Espace Charentons : du 3 au 5 avril 2007 - http://www.salonapc.com/

- MD EXPO : Le salon du marketing direct de la communication et du courrier - Paris Porte de Versailles : du 3 au 5 avril 2007 - http://www.md-expo.com/

- Génération Entreprendre 2007 : Forum de la création et de la reprise d’entreprises - Nice Acropolis : le 6 avril 2007 - http://www.generation-entreprendre.com/

- La Caravane de Entrepreneurs : le 4 à Bordeaux, le 10 à Bruges, le 11 à Tours, le 12 à Orléans, le 13 à Chartres, le 21 à Lille et le 27 à Lyon http://www.caravanedesentrepreneurs.com/default.aspx?RubriqueID=238&LangueID=31

-Conférence : Création d’entreprise : Quels seront vos impôts et taxes ? - CCI Evry : le 24 avril à 17h - http://www.essonne.cci.fr/creation/preparer-votre-projet/conferences-article1907.html

-Conférence - Formation : Comment développer votre activité grâce à votre réseau relationnel ? - Paris 12ème, espace Charentons : le 25 avril 2007 - http://www.salonmicroentreprises.com/conf/

-Création et reprise d’entreprises en Val d’Oise : Le Salon de la création reprise d'entreprises en Val d'Oise - Cergy-Pontoise, Parc des expositions Hall St Martin : du 23 au 27 avril 2007 - http://www.lautreagence.fr/CreaEnt_ValOise07/



Vous participez ou connaissez d’autres événements qui auront lieu au cours du mois d’Avril ? N’hésitez pas à partager ces informations en les ajoutant en commentaire.


author Publié par incwo2 Thu, 29 Mar 2007 18:04:58 GMT

Nous avons découvert et utilisé pour l’envoi de nos premières newsletters ConstantContact.

C’est un outil simple de gestion et d’envoi des emailing, spécialement conçu pour les petites structures. Il permet rapidement de construire un email professionnel (newsletter, offre commerciale, invitation événements…), de l’adresser en nombre et d’en suivre les retombées. Le nombre d'envois par mois est illimité et le coût mensuel est calculé en fonction du nombre d'adresses email uniques contenues dans votre base, par exemple 15$/mois (10,35 €) pour 500 adresses dans votre base ou 50$/mois (34,5 €) pour 5000 adresses.

Certes, c’est en anglais, mais l’utilisation est d’une grande simplicité. On apprécie particulièrement la personnalisation et à la créativité offertes pour la construction des documents.

A découvrir : www.constantcontact.com

Et vous, qu'utilisez-vous pour vos campagnes d'emailings ?


author Publié par incwo Wed, 28 Mar 2007 08:54:00 GMT

J'ai découvert récemment Science Daily. C'est une mine d'études passionnantes qui ont des implications pour les entreprises. J'y ai trouvé tellement de choses intéressantes que ça va être la semaine "Science Daily".

Par exemple, vous êtes vous déjà demandé si vous deviez donner à vos employés une prime liée à la performance ou une augmentation au mérite, pour augmenter leur motivation ? Selon cette étude de Science Daily, les primes augmentent la performance dix fois plus que les augmentations au mérite. Cette étude fait référence à une autre étude de Cornell par le Dr. Michael C. Sturman, qui s'appelle "Utiliser votre système de rémunération pour augmenter la performance des employés: la façon de rémunérer fait la différence".

Evidemment, la rémunération est une question plus complexe que cela, mais il est marquant l'étude fasse apparaître un avantage aussi fort pour les primes.

Guy Kawasaki

PS: En me promenant sur le site de Cornell, puisqu'on parle de primes, j'ai également trouvé cette étude très intéressante: "L'utilisation du sucré pour augmenter les pourboires". Elle explique que les pourboires augmentent de 15.1% à 17.8% quand un restaurant donne des bonbons avec l'addition.

L’article qui précède est la traduction de l’article «Science Daily Week: Which is more effective: bonuses or raises?» de Guy Kawasaki. La traduction et publication sont autorisées par l’auteur: retrouvez régulièrement sur notre blog les articles de Guy Kawasaki.

Guy Kawasaki est Directeur de Garage Technology Ventures, une société de capital-risque qui investit tôt dans les sociétés. Guy est également éditorialiste pour Entrepreneur Magazine. Auparavant, Guy avait le titre d’Apple Fellow chez Apple Computer, Inc. Guy est l’auteur de huit livres, incluant L’art de se Lancer, Rules for Revolutionaries, How to Drive Your Competition Crazy, Selling the Dream, and The Macintosh Way. Guy possède un BA de l’Université de Stanford et un MBA de l’UCLA, ainsi qu’un Doctorat honorifique du Babson College.

Technorati :


author Publié par De Chocqueuse Fri, 23 Mar 2007 09:07:12 GMT

J'ai assisté hier une table ronde organisée par le Club 92 relations Université-Entreprises au Pôle Universitaire Léonard de Vinci.

La table ronde portait sur les difficultés des petites entreprises à attirer les jeunes diplômés. On peut s'apercevoir que les TPE ont beaucoup de mal a attirer les jeunes diplômés. Les statistiques montrent une corrélation entre le niveau du diplôme et la taille de l'entreprise. Il semble que plus la formation est élevée et prestigieuse, moins les élèves qui en sont issus s'orientent vers ces structures à leur sortie des études.

Ainsi, en plus des difficultés pour trouver des financements et des clients, il semble que les entreprises doivent peiner pour trouver des compétences. Il semble que l'aversion au risque n'inhibe pas seulement les candidats à la création mais également les employés potentiels. Les petites entreprises ont la réputation d'offrir des salaires moins importants et des perspectives d'évolution moins prometteuses. Comme causes complémentaires, il a également été évoqué le risque que le passage par une petite entreprise représente pour un parcours professionnel (ca fait pas classe sur le CV), et que les PME, contrairement aux grands groupes, n'ont pas les moyens de faire une promotion intensive auprès de étudiants.

Pourtant, il y a toutes les raisons de penser qu'un passage par une PME constitue un choix intéressant forte pour certaines carrières. Cette expérience concrète est indublitablement un plus si on se destine à un projet entrepreneurial. Mais aussi dans une logique de carrière plus classique. En effet, dans ces entreprises, la palette de responsabilités auxquelles on peut prétendre est bien plus vaste et riche - à priori - que dans les grandes entreprises. C'est donc dommage que plus de jeunes diplômés ne choisissent pas cette voie. Plusieurs remèdes peuvent être envisagés pour attirer les jeunes dans les petites entreprises.

Chez entreprise-facile nous allons réfléchir à des moyens, depuis notre site, pour remédier à cette situation de manière créative.


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