author Publié par incwo Sun, 09 Jan 2011 16:05:59 GMT

Vous êtes à la recherche d'une conférence, d'une formation, d'un forum, d'un petit déjeuner pour entrepreneur ? C'est dimanche soir, faisons le point sur les événements de la semaine qui vient, vous y trouverez peut-être votre bonheur :

Suivez régulièrement l'agenda des événements pour entrepreneurs maintenu par entreprise-facile :

Vous souhaitez référencer vos propres événements afin qu'ils soient visibles de tous les entrepreneurs ? cliquez ici. Attention, vos événements doivent être ciblés pour les entrepreneurs, sinon nous ne les validerons pas. Si vous organisez régulièrement des événements et que vous souhaitiez que nous les insérions automatiquement, contactez-nous.


author Publié par incwo Fri, 07 Jan 2011 09:00:00 GMT

Le Réseau Business est un vrai succès : vous avez multiplié les invitations de clients, de fournisseurs, et de partenaires sur notre plateforme. Vous avez également multiplié les échanges par email avec ces clients, fournisseurs, ou partenaires: envoi de devis, envoi de factures, lancement de conversations, etc. 

Aussi, nous avons personnalisé à votre charte les emails envoyés par notre plateforme pour votre compte. Cela concerne les emails envoyés à des contacts extérieurs, mais également vos emails internes (conversations, tâches, demandes de congés, reportings, etc.)

Désormais, ces emails contiennent :

  • Votre logo
  • Votre pied de page officiel (RCS, adresse du siège, etc.)
  • La photo de la personne qui l'envoie
  • Eventuellement la photo que vous envoyez (avec facileScan par exemple)
emails
Impressionnez vos contacts avec des emails professionnels !

Ces nouvelles fonctionnalités sont immédiatement disponibles, connectez-vous sur votre compte pour les essayer.


author Publié par incwo2 Thu, 06 Jan 2011 09:38:00 GMT

En quelques mots, pouvez-vous nous présenter Keltravo ?

« Keltravo est né en 2007 avec pour objectif de devenir un acteur phare de l’intermédiation entre particuliers désireux de faire réaliser des travaux et des professionnels du BTP, artisans à la recherche de nouveaux clients. Trois ans plus tard, Keltravo est non seulement un acteur phare de l’intermédiation mais surtout l’un des leaders dans ce domaine de plus en plus concurrentiel du BTP. La société n’explique pas son succès uniquement en fonction du concept. Cette réussite rapide est aussi due à l’organisation en interne : une grande force commerciale, une politique de recrutement dynamique, des pôles actifs et complémentaires (finances, marketing, communication, technique) et un esprit d’équipe solide. Mais, ce n’est pas tout. Keltravo a su s’adapter à ses deux publics que sont les particuliers et les artisans en développant des portails d’informations apportant des conseils précieux aux particuliers qui peuvent faire des demandes de devis depuis ces sites et en permettant aux artisans de se faire connaître ou encore d’acheter du matériel de qualité. Parmi ces portails, Déco-travaux.com, un portail d’informations évoquant les grands thèmes de travaux du BTP et Kelplanete.com, un portail d’informations dédié aux énergies renouvelables.
Depuis mai 2010, nous sommes filiales de Pages Jaunes Groupe, une formidable opportunité pour donner une plus grande dimension à l’ensemble de nos projets dans le secteur de l’intermédiation et de l’information mais aussi pour asseoir davantage notre expertise et notre position de leader. »

Comment vos services accompagnent-ils les professionnels du BTP dans le développement de leurs activités ?

« La force de Keltravo est d’être à la fois un guide pour les particuliers mais aussi pour les artisans. Forte d’un réseau de plus de 80 000 artisans répartis sur 97% du territoire français, notre société se devait d’accompagner les professionnels du BTP depuis leur inscription à nos services jusqu’à la réalisation des chantiers dont ils peuvent bénéficier. Et c’est là que les équipes de Keltravo sont essentielles puisque le service commercial prend en charge leurs demandes de contrat, leur souhait de formules selon leurs besoins et surtout les contacte pour des chantiers suite à un dépôt de devis effectué par un particulier proche de sa région d’activités. Le service CRM est aussi présent pour répondre à toutes leurs interrogations concernant leur abonnement, leurs modalités de paiement, etc.
Soucieux de rendre leurs activités toujours plus simplifiées en termes d’organisation et de gain de temps, ce qui est précieux pour un artisan du BTP, Keltravo développe également un ensemble d’outils destinés à simplifier leurs démarches, à se faire connaître ou encore à gérer leur communication pour être plus visibles, notamment sur le web. Les professionnels du BTP sont donc pris en charge à toutes les étapes de leurs activités. »
 
Quelle sont les différentes formules que vous proposez ? Combien ça coûte ?

 « Keltravo propose deux formules, une formule sous forme d’alerte qui permet à l’artisan de recevoir des devis selon la demande de projets souhaité et la formule sous forme de flux qui va lui permettre de recevoir les demandes de devis en temps réel. Le paiement se fait de façon systématique et exclusivement à la consommation réelle constatée. »
 
Parlez-nous aussi de KELBTP : de quoi s'agit-il ?

« Kelbtp rejoint la lignée des portails d’informations mis à la disposition des particuliers et professionnels du BTP pour faciliter leurs démarches et leur quotidien. Kelbtp.com est un site dédié aux matériaux de chantiers et une interface permettant aux artisans et fabricants du BTP d’être mis plus facilement en relation. Les uns recherchent des fabricants de qualité pour investir dans des matériaux adaptés à leurs activités et les fabricants cherchent à toujours mieux faire connaître leurs produits, spécialités et innovations technologiques. Quoi de mieux que de développer un site internet permettant les deux à la fois et permettant à ces deux acteurs clés du BTP de se mettre en contact. Kelbtp.com est un portail professionnel qui met en avant l’univers du BTP à travers l’actualité des produits et des fabricants. Mais, pas seulement. Le site a sa newsletter hebdomadaire envoyée à son réseau de professionnels. Cet outil de communication met en valeur deux produits de fabricants, développe l’actualité forte du BTP, intègre des interviews de professionnels du marketing et de la communication qui évoquent l’actualité de leur marché et les nouveaux produits ou encore les dates de salons utiles pour les artisans. Site de mise en relation entre artisans et fabricants, Kelbtp.com est aussi un communicant donnant une information pratique aux professionnels du BTP. »
 
Internet, le mobile : comment ces supports s'intègrent-ils dans le quotidien des artisans et des entreprises du BTP ?

« La création et le développement de sites d’intermédiation à l’image de Keltravo montrent que les professionnels du BTP, au même titre que les cadres de grandes entreprises, ont besoin d’informations et de consulter leur mails à tout moment de la journée et Internet répond à ces besoins. Les services de Keltravo leur permettent, entre autres, de recevoir les demandes de devis, d’en envoyer et d’obtenir des chantiers proches de leur région selon leurs préférences. TPE comme PME se servent de plus en plus de l’intermédiation pour dynamiser leurs activités. La crise économique mondiale étant aussi passée par là, les carnets de commandes se sont amincis et les chantiers ont diminué. Faire appel à un expert du BTP comme Keltravo, c’est une chance pour les artisans de contourner la crise qui a fait des dégâts dans le secteur du bâtiment en 2010. La technologie étant partie intégrante de beaucoup de métiers, l’artisanat n’y échappe pas et le mobile est ainsi devenu un outil de travail et de communication à part entière. Les artisans sont des professionnels pressés, ayant peu de temps pour souffler. Avoir en direct les demandes de devis de particuliers, connaître l’actualité de leur secteur juste en le lisant depuis leur mobile est à la fois pratique et indispensable. Le mobile est très présent et permet une grande liberté de communication pour tout professionnel désireux de mieux faire connaître ses spécialités au grand public. Un tel outil est bien entendu une belle opportunité que Keltravo va intégrer dans ses projets à venir. »
 
Quels conseils donneriez-vous à un artisan qui souhaite démarrer ou reprendre une activité ?

« Débuter une activité dans le BTP ou reprendre une activité en cours ne sont pas des projets de tout repos chaque jour. La crise économique n’a pas aidé les entrepreneurs et acteurs du BTP mais elle n’a épargné quasiment personne. La tendance pour 2011 devrait être au bénéfice du secteur du bâtiment avec une croissance attendue ou en tout cas espérée. La période peut donc être propice à la création ou à la reprise d’activités. Si l’artisan possède déjà son réseau de clientèle et qu’il en vit bien, le mieux est encore de le fidéliser pour ne pas le perdre. S’il a besoin d’un réseau, il peut bien sûr rejoindre les services de Keltravo qui lui assureront des devis et des chantiers chaque mois et ainsi, des clients réguliers qui souhaiteront, si tout se passe bien depuis la validation du devis jusqu’à la réception des travaux, faire à nouveau appel à ses services pour d’autres travaux. A ce titre, j’ai un exemple concret à donner : un artisan du BTP vivant en région parisienne est parti s’installer sur Bordeaux. Bien entendu, il ne pouvait plus utiliser son réseau de clients vivant autour de Paris. Keltravo l’a ainsi fait connaître auprès des particuliers de son nouveau département au fur et à mesure et il a reconnu que l’intermédiation avait relancé son activité. En tant qu’experts de la mise en relation entre particuliers et professionnels et très impliqués dans l’univers du BTP, les services de Keltravo sont vraiment bénéfiques pour tout artisan. »
 
Où s'inscrire pour recevoir des projets ou connaître les tarifs de matériaux de chantier ?

« L’inscription aux services de Keltravo peut se faire directement depuis le site de keltravo, http://pro.keltravo.com/. L’inscription est gratuite et l’artisan choisit la formule selon ses besoins (le nombre de projets qu’il souhaite recevoir par mois par exemple). L’opération se fait en quelques clics et est le point de départ pour de nouveaux chantiers. Depuis ce site, l’artisan peut aussi laisser ses coordonnées et être rappelé par le service commercial dans les meilleurs délais. Il faut savoir aussi qu’aucune commission n’est prise, qu’il n’y a pas de durée minimale d’engagement, qu’il n’y a aucun minimum requis ou encore aucun frais de sortie. L’inscription à Keltravo est la fois simple, rapide et souple. Au-delà, les artisans peuvent prendre connaissance des différents tarifs des matériaux dont ils ont besoin au quotidien en allant sur le site de Kelbtp, http://www.kelbtp.com/, qui met à jour l’actualité produits des fabricants et la newsletter est un moyen efficace de rester au fait de l’actualité du BTP au sens large. »


author Publié par incwo2 Wed, 05 Jan 2011 14:30:00 GMT

La 3e édition du Concours National de la Création d'Entreprise organisé par Créatests est lancée.

Si vous êtes créateur d'entreprise et que vous possédez un projet à la fois original et réalisable, inscrivez-vous. De nombreux lots sont à gagner pour vous aider à bien démarrer votre activité.

Ce concours est ouvert à toute personne venant de créer son entreprise ou ayant pour projet de création dans les 12 mois à venir. 

Vous avez jusqu'au 5 avril 2011 pour déposer votre dossier. Pour télécharger le dossier de candidature : cliquez-ici 

entreprise-facile est partenaire de cette nouvelle édition. 


author Publié par incwo2 Wed, 05 Jan 2011 07:27:00 GMT

Pouvez-vous nous présenter l'incubateur de l'EFREI en quelques mots ?
 
L'incubateur de l'EFREI (Ecole d'ingénieur de Villejuif), répond à une tradition entrepreneuriale ancienne dans l'Ecole. Cette dernière a toujours soutenu ses étudiants ou anciens étudiants porteurs de projets de création d'entreprises. De manière récente cependant, l'EFREI s'est donnée encore plus de moyens avec la mise en place :

  • D'un référent entrepreneuriat,  
  • De locaux aménagés, équipés et entièrement dédiés à l'incubation, conjointement avec différentes autres Grandes Ecoles de Commerce et d'Ingénieurs, du réseau des Incubateurs de l'Enseignement Supérieur    
  • Sous l'impulsion des Anciens EFREI et avec la participation de l'Ecole, d'un fonds d'investissement en Capital risque, Cèdre Participations, à même de prendre des participations en capital dans des Start ups prometteuses.
  • De journées de dynamisation de l'entrepreneuriat au sein de l'Ecole (avec le "printemps des entrepreneurs" par exemple).

L'Ecole s'implique aussi énormément en matière d'appui aux étudiants créateurs d'entreprises (Participations aux journées Plug And Start Campus par exemple).
 
L'Ecole est appuyée dans son effort par certaines collectivités (Agglomération du Val de Bièvre, Agence de Développement du Val de Marne...)
 
On en peut pas imaginer aujourd'hui une Grande Ecole (de Commerce ou d'Ingénieur) sans dynamique entrepreneuriale et sans appui aux projets Etudiants. C'est aussi un moyen de valoriser la recherche développée au sein de l'Ecole en la tranformant en projet concret.

Quels sont les avantages et opportunités offertes par un incubateur pour accompagner le développement d'un projet ?
 
Chaque incubateur est spécifique. On s'est aperçu cependant que les projets soutenus par une structure avaient statistiquement beaucoup plus de chance de réussir que des projets non accompagnés. Or la phase de démarrage est critique. L'incubateur est d'abord un lieu d'accueil où sont fournies des prestations de bureaux, d'Internet, de téléphone... . C'est aussi un lieu d'échange entre les incubés sur leurs difficultés et les réponses possibles (on assiste ainsi à des systèmes très performants d'aide entre les incubés ), c'est un lieu ou les incubés sont encadrés (par le responsable de l'incubateur, lui même chef d'entreprise donc à même de répondre de manière précise aux difficultés) et où ils bénéficient d'un réseau d'appuis (conseils, financement...) mis en place par l'incubateur. Des sessions de formations communes avec d'autres incubateurs membres du même réseau sont aussi possibles. Une mutualisation des actions et des échanges transverses sont ainsi réalisés.

Y'a t-il un profil idéal pour intégrer un incubateur ?
 
Etre un entrepreneur ! Vouloir investir du temps et de l'énergie dans une idée un concept... Certains projets arrivent à l'état d'idée...d'autres sont déjà plus construits (une entreprise peut être déjà créée par exemple). C'est à chaque  fois une aventure spécifique. C'est pourquoi le comité d'admission en charge de l'incubation est composé d'experts ayant des connaissances différentes et complémentaires...

Sous votre impulsion, d'autres incubateurs vous ont rejoint pour lancer un réseau d'incubateurs de l'enseignement supérieur, l'IES! : de quoi s'agit-il ? quels sont les objectifs de l'IES! ?
 
IES! est un réseau qui regroupe des Grandes Ecoles de Commerce et d'Ingénieurs investies sérieusement dans l'incubation.

L'EFREI ainsi qu'Audencia Nantes (et d'autres Grandes Ecoles) ont été à l'origine de le création de cette association. Nous sommes partis du principe qu'il n'existait en France aucune structure de ce type. L'idée est de "structurer" le métier de responsable d'incubateur, de créer un véritable guide de bonnes pratiques, un référentiel de compétences. En effet l'incubation est une chose très sérieuse, et il est important que les responsables d'incubateurs aient une pratique entrepreneuriale concrète (Chefs d'entreprises, anciens dirigeants, membres de Conseils d'Administration...) pour accompagner de manière efficace les projets. Ceci n'exclue pas non plus une réflexion plus théorique mais ancrée dans des pratiques... IES! va ainsi produire une contribution au NBIA (National Business Incubation Association) à San Jose, lors de sa 25eme conférence, qui aura lieu en avril 2011. Le réseau n'est pas que National, les bonnes pratiques s'échangent aussi au niveau mondial.
 
Qui sont les autres membre de l'IES! ?
 
Outre l'EFREI et Audencia Nantes, HEC, l'Ecole Polytechnique, Telecom Sud Paris, Telecom Bretagne, l'ESIEE, Advancia, Telecom Paritech...
 
L'entrepreneuriat étudiant est-il dynamique en France ?
 
Oui, mais trop souvent considéré comme un gadget par certaines Ecoles... Qui préfèrent parfois décourager les bonnes volontés et les orienter vers des fonctions salariées au sein de groupes prestigieux... parfois porteurs d'image pour l'Ecole...

L'incubation procède d'un tout autre état d'esprit. L'Ecole qui la met en place va en tirer des bénéfices, mais sur le long terme : nos incubés sont d'abord de petites structures avant de devenir grandes... Nous constatons de belles réussites parmi nos anciens incubés... La jeunesse étudiante est entreprenante. Il suffit de l'encourager, de l'accompagner. Dans une atmosphère morose de sortie de crise, il faut voir à travers ces projets qui émergent une véritable chance pour notre Pays.

Pour moi la création d'entreprise est une forme de "voie royale" au sein d'une Grande Ecole. Même si ce n'est pas l'unique voie du succès. C'est un parti pris, je le concède. Actuellement il existe des structures d'accompagnement des projets étudiants (ou non) à travers des incubateurs scientifiques par exemple, ou des structures d'appui ou d'aide très différents (Petit Poucet, Moov Jee, Talents des Cités...) des concours (comme le concours National d'aide à la création d'entreprises innovantes organisé conjointement par OSEO et le Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche)...

Pour conclure sur ce sujet : oui la jeunesse est entreprenante, non elle n'est pas assez encouragée et appuyée.

Comment postuler pour être incubé ?

 
Au sein de l'EFREI nous avons un comité en charge de l'incubation qui comme je l'ai dit, statue sur l'intérêt du projet, et aussi en fonction des places disponibles au sein de l'incubateur. Il est clair que sont favorisés les projets issus de l'Ecole ou des Anciens, ou ceux des Ecoles partenaires (Audencia Nantes). Il n'est pas exclu d'admettre des projets externes présentant des caractéristiques particulières (en matière d'innovation de R et D)... Chaque incubateur a ses propres critères...
 
Vous êtes auteur et co-auteur de nombreux ouvrages sur la création et la reprise d'entreprise, quelles seraient vos principales recommandations à un porteur de projet ?

Je suis confronté à de nombreux projets "technologiques" très intéressants et prometteurs. Je le répète souvent aux futurs incubés : "avant de m'expliquer comment cela marche, dites moi à quoi cela sert".

Donc avoir une idée claire de l'utilité du projet, de ses clients potentiels (convaincre un premier client est fondamental), des concurrents possibles (il y en a TOUJOURS, présents et futurs), des "barrières à l'entrée"... de la rentabilité à 3 à 5 ans du projet...et des besoins de financement. Ces derniers sont souvent minimisés, or, de l'argent il y en a ! Des investisseurs recherchant des projets il y en a !! Ils sont cependant souvent confrontés à "de bons dossiers" plutôt qu'à de "bons projets"... Une approche trop théorique du projet est souvent un écueil.
 
Et à un entrepreneur qui démarre son activité ?

Fixez vous des objectifs, mobilisez des moyens, soyez optimistes... Sachez ou vous allez, et sachez mobiliser les hommes. L'entrepreneur est celui "qui a la tête dans les étoiles et les pieds dans la glaise". Il ne doit pas hésiter à se faire accompagner (des mouvements tels que le Centre des Jeunes Dirigeants d'Entreprises sont précieux par exemple), et aider... surtout quant il doute. Le doute fait partie de l'entreprise !


author Publié par incwo2 Tue, 04 Jan 2011 12:17:00 GMT

Depuis le 1er janvier 2011, les entrepreneurs individuels, qui créent leur entreprise ou qui sont déjà en activité, peuvent opter pour le statut d’entrepreneur individuel à responsabilité limitée (EIRL).

Voici un point sur ce nouveau statut ! 

Particularité de ce statut : il distingue le patrimoine professionnel et le patrimoine privé de l'entrepreneur individuel, ce que n'offrait pas jusqu'à présent le statut Entreprise Individuelle classique (EI). Cela signifie que l'entrepreneur peut protéger ses biens personnels des risques liés à son activité professionnelle, notamment de la faillite. Ainsi, ce statut met fin une situation délicate où les entrepreneurs individuels devaient répondre de leurs dettes professionnelles sur la totalité de leur patrimoine. Désormais seul le patrimoine professionnel est exposé aux poursuites des créanciers de l’entrepreneur, le patrimoine personnel bénéficiant d’une protection.

Ce nouveau dispositif s’adresse à tout entrepreneur en nom propre, qu'il soit : auto-entrepreneur, commerçant, agent commercial, artisan, exploitant agricole ou profession libérale.

Le patrimoine professionnel, dit "patrimoine affecté", comprend l’ensemble des biens matériels ou immatériels utiles à l’exercice de l'activité, dont l’entrepreneur individuel est titulaire ou propriétaire, parmi eux :

  • Biens : l’équipement ou l’immobilier,
  • Droits : brevet, droit au bail, fonds de commerce ou pas-de-porte
  • Obligations ou sûretés : gage, nantissement, hypothèque, privilège.

Toutefois, en cas de fraude ou de manquements aux obligations fiscales, sociales ou comptables, la responsabilité personnelle du dirigeant est engagée. En cas de redressement fiscal ou social, le recouvrement des sommes dues s’applique à la totalité du patrimoine (personnel et professionnel).

Le régime fiscal d'une EIRL est :

  • Soit à l’impôt sur le revenu (IR) comme une entreprise individuelle classique.
  • Soit à l’impôt sur les sociétés (IS) comme une EURL.

Par défaut, c'est le régime de l’impôt sur le revenu qui s’applique, mais l’entrepreneur peut opter pour le régime fiscal des sociétés de capitaux (IS) sans être obligé de créer une personne morale.

Pour les auto-entrepreneurs qui optent pour le régime de l’EIRL, ce choix n’a pas d’incidence sur leur régime fiscal, qui reste celui du régime micro BIC ou micro BNC, avec une imposition forfaitaire en pourcentage du chiffre d’affaires encaissé (versement fiscal libératoire) et au titre des cotisations sociales (micro social simplifié).

Le Régime social correspond à celui de tout entrepreneur individuel : travailleurs non salariés (TNS).

Sur le plan comptable, l’EIRL doit faire l’objet d’une comptabilité séparée, avec notamment un compte bancaire dédié à cette activité (compte bancaire professionnel). La mention « entrepreneur individuel à responsabilité limitée » (ou simplement le sigle EIRL) doit accompagner la dénomination commerciale de l’entreprise sur tous les documents professionnels (devis, factures, etc.). Par ailleurs, une EIRL a l’obligation de déposer ses comptes annuels.


L’EIRL doit déposer une déclaration d’affectation du patrimoine. Lors de la création d’une EIRL, l’entrepreneur individuel définit la liste des biens nécessaires au bon exercice de son activité et qu’il apporte en garantie à ses créanciers professionnels.

  • au registre du commerce et des sociétés (RCS) pour les commerçants,
  • au répertoire des métiers (RM) pour les artisans,
  • au greffe du tribunal du commerce pour les exploitants agricoles, les professions libérales ou les auto-entrepreneurs.

La déclaration d’affectation doit comporter un état descriptif des éléments affectés à l’activité, en nature, qualité, quantité et valeur. Le dépôt de la déclaration est gratuit lorsque la déclaration est déposée simultanément à la demande d’immatriculation au RCS ou au RM. L’affectation professionnelle d’un bien immobilier doit être effectuée par acte notarié, ce qui implique paiement de frais de notaire, et publiée au bureau des hypothèques. Concernant un bien d’une valeur supérieure à 30 000 €, il est nécessaire de le faire évaluer par un commissaire aux comptes, un expert-comptable ou une association de gestion et de comptabilité. S’il s’agit d’un bien commun ou indivis, l’accord du conjoint ou des co-indivisaires est obligatoire.

 

Avec les solutions de gestion d'entreprise d'entreprise-facile (le bureau virtuel, ma-facturation, ou gestion-auto-entrepreneur), vous pouvez gérer votre EIRL. 


author Publié par incwo Sun, 02 Jan 2011 12:27:00 GMT

Ce premier post de l'année est l'occasion pour notre équipe de vous souhaiter à tous une excellente année 2011, pleine de joie et de succès !

Nous nous adresserons maintenant plus particulièrement aux auto-entrepreneurs. L'année 2010 fut mouvementée pour le régime: il y eut de nombreuses tentatives de remise en cause des avantages ou de la simplicité du régime, la découverte d'une taxe inattendue et importante (la CFE, qui a temporairement fait l'objet d'une exonération) et au final quelques modifications déjà décidées lors de l'examen du projet de loi de Finances pour 2011. Voici donc ce qui change de manière certaine:

  • Les seuils de chiffre d'affaires applicables à partir du 1er janvier 2011 : 81.500 euros pour les activités de vente de marchandises, d'objets, de fournitures de denrées à emporter ou à consommer sur place, et les prestations d'hébergement (hôtels, chambres d'hôtes, gîtes ruraux, meublés de tourisme, ...). 32.600 euros pour les autres prestataires de services relevant des bénéfices industriels et commerciaux (BIC), et les professionnels libéraux relevant des bénéfices non commerciaux (BNC).
  • La notion de prorata est maintenue : Le calcul du plafond annuel de CA sera donc en fonction des nouveaux seuils de 81.500 euros ou 32.600 euros en 2011 et de la date de création
  • La déclaration obligatoire du CA, même si nul : A compter du 1er janvier 2011, l'auto-entrepreneur doit déclarer chaque mois, ou au maximum chaque trimestre, son chiffre d'affaires ou de recettes, y compris lorsque leur montant est nul.
  • En 2011, l'auto-entrepreneur sera assujeti à la taxe de formation professionnelle, sur un montant approchant de 0,3 % pour les entrepreneurs exerçant une activité artisanale, de 0,1 % pour ceux exerçant une activité commerciale, de 0,2 % pour ceux exerçant une activité de prestation de service, de 0,2 % pour les professions libérales. Seront dispensées les personnes dont le revenu professionnel 2011 sera inférieur à 4.740 euros. Les calculs seront bien entendu fait automatiquement par notre application, nous vous tiendrons informé des modalités d'application.

Un cas particulier à surveiller : Les auto-entrepreneurs relevant du secteur du bâtiment et certains artisans entrent dans la catégorie des activités mixtes lorsqu'ils fournissent les matériaux entrant à titre principal dans l'ouvrage à exécuter : maçons, menuisiers, peintres, ébénistes, etc. Par contre, lorsqu'ils ne fournissent que des produits accessoires, le CA global ne doit pas dépasser 32 100 euros  (32 600 à partir du 01/01/2011)  : cordonniers, teinturiers, blanchisseurs, imprimeurs ne fournissant pas le papier, etc.

Nos applications sont à jour

Vous n'avez rien à faire, l'application gestion-auto-entrepreneur a été mise à jour pour prendre en compte ces changements. Concernant la déclaration obligatoire, vous recevrez donc désormais, à chaque fin de mois ou de trimestre, en fonction de vos réglages, un rappel pour la déclaration de vos recettes, y compris si vous n'avez pas de recettes dans la période. 

Ces mises à jour sont déjà en ligne, pour les essayer, rendez-vous sur votre application


author Publié par incwo Fri, 31 Dec 2010 11:32:00 GMT

Willy BraunNous interviewons aujourd'huii Willy Braun, fondateur du blog Brocooli.com, et organisateur du premier Startup Week-end à Toulouse.

Bonjour Willy, vous éditez Brocooli.com, un blog sur les startups, l'accompagnement, et bien plus, pouvez-vous nous le présenter ? Qu'est-ce qui vous donne envie de vous exprimer ?

J'ai lancé Brocooli.com il n'y a pas si longtemps puisque le blog fêtera bientôt ses 4 mois. Au début, je voulais en faire une plate-forme multi-auteurs assez généraliste, et développer avec mon frère, Brice, l'aspect entrepreneuriat/innovation.

Au final, les contributions extérieures sont encore rares et le blog tend à se concentrer assez naturellement sur nos sujets de prédilection. Nous sélectionnons les meilleurs vidéos que nous rencontrons sur le web (talks et interviews principalement), résumons nos lectures et nous  exposons notre vision d'un domaine, d'un secteur ou d'une évolution.

Pour couvrir un maximum de thématiques, nous avons segmenté le blog en 4 parties.

  • La première partie s'attache au concept de l'entreprise ; elle abrite la majorité des contenus. Il n'y a pas vraiment de règles éditoriales, nous abordons surtout les transformations de l'entreprise, les business models innovants et les spécificités web. On essaie d'intégrer autant que possible des notions académiques et des théories qui nous séduisent, avec si possible les textes originaux ou les vidéos de présentation.
  • Une seconde partie traite plus généralement de l'Homme et était initialement baptisée "coaching". Elle regroupe des articles sur la communication, l'alimentation, le sommeil et la psychologie.
  • La troisième partie est plus globale, elle est baptisée "penser le monde", les sujets abordés ont une portée plus large comme l'éducation, la créativité. On y retrouve également des comptes rendus de conférences ou d'événements que nous couvrons pour le blog. Nous essayons de privilégier l'innovation et les transformations dans ce qui nous entoure.
  • Enfin, la quatrième partie permet d'intégrer des ressources brutes, souvent des extraits de livres ou des textes classiques, en économie ou en littérature, glanés pour la plupart sur wikisource.

Pour résumer, Brocooli, est une sorte de blog d’expression et de curation. Nous rédigeons des billets, sélectionnons, synthétisons et critiquons des contenus (lectures, vidéos).  
 
Vous organisez également les Startup Week-ends Toulouse, la dernière édition a eu lieu il y a exactement un mois, qu'est-ce que les participants retirent de cette expérience ?

Je suis effectivement à l'initiative du premier Startup Weekend à Toulouse qui a eu lieu fin novembre. Le principe d'un Startup Weekend est de rassembler une centaine de personnes d'horizons différents (marketing, finance,informatique, droit, graphisme, etc.) pour monter un projet en un week-end. Tout au long du week-end, les participants sont coachés par des experts et des entrepreneurs aguerris et présentent le dimanche après-midi leurs avancées (une sorte de "business plan de combat") à un jury d'entrepreneurs et d'investisseurs.

Le but est vraiment de créer une expérience d'entrepreneuriat en accéléré pour échanger au maximum avec des gens expérimentés et sortir du champ théorique. La devise du mouvement est d'ailleurs "No Talk, All Action".

Les participants retirent principalement 4 bénéfices :

  • un avant-goût de l'entrepreneuriat, une expérience (laconique) de création et d'innovation avec du travail en équipe, une réflexion pour accoucher d'un modèle économique viable et si possible disruptif, la création d'une maquette de produit (application ou produit physique) et d'un site web (avec parfois un début de confrontation au marché avec des tests adwords),
  • de nombreuses rencontres, associés potentiels, investisseurs, entrepreneurs, experts...
  • une visibilité (le long du week-end étaient présents des blogueurs et une équipe de journalistes),
  • des feedbacks très sérieux pour les porteurs de projets et une expérience de pitch (avec le premier pitch le vendredi soir pour présenter en une minute son idée, puis une présentation de vingt minutes devant le jury).

Je ne saurais trop vous inviter à tenter l'aventure.

L'entreprenariat vous intéresse visiblement : pensez-vous entreprendre ? Où en serez-vous dans cinq ans ?

L'entrepreneuriat me passionne, je crois même qu'il s'impose à moi. Chaque nouvelle découverte me conforte dans cette voie où toute chose est à bâtir. Je crois que pour entreprendre, il ne faut pas forcément penser "outside the box", mais au sein d'un ensemble de contraintes qui font sens, l'essentiel étant de bouger les murs, voire de les agrandir.

Il me paraît complexe de me projeter dans 5 ans, je crois que je m'y refuse en partie car je trouve une beauté dans l'imprévu (s'il est des choses prévisibles). En tous cas, j'espère réaliser un maximum, apprendre beaucoup, quitte à "échouer" parfois, rencontrer de nouvelles personnes qui sauront me faire avancer. Je prête un grand pouvoir aux rencontres.

Surtout, dans 5 ans, je souhaite faire quelque chose qui me captive, et j’espère avoir une répercussion positive sur ce qui m'entoure.
 
Vos références sont souvent américaines : peut-on entreprendre en France ? Aujourd'hui plus qu'hier ? Moins que demain grâce aux technologies ?

Je crois que mes références sont très souvent américaines principalement pour trois raisons.

La première provient de la culture de l'entrepreneuriat, beaucoup plus développée aux Etats-Unis qu'en France, avec de nombreux investisseurs, entrepreneurs qui écrivent sur leur expérience et leur vision de l'entreprise. En France, les livres sur l'entreprise -hors traductions- me paraissent plus rares et proviennent en grande partie (du moins ceux que j'ai eu l'opportunité de lire) du monde académique (avec notamment de très bons manuels).

La seconde concerne plutôt le contenu vidéo, et relève de la qualité des pitchs des anglo-saxons. Je ne saurais pas expliquer rigoureusement la cause de cet écart, mais il suffit de tomber sur un TED Talk (vous me rétorquerez certainement que les orateurs ne sont pas pris au hasard...) pour saisir l'impressionnant talent des américains (et plus généralement des anglo-saxons) à transmettre de l'énergie et subjuguer un auditoire, moi en premier.

Il est d'ailleurs intéressant de noter que les français, lorsqu'ils sont invités à présenter en Californie, font pâle figure, d'un strict point de vue du "show", alors qu'ils sont pourtant eux-même exceptionnels (je pense notamment au talk d'Esther Duflo). Enfin, c'est je pense une sensibilité très personnelle au pragmatisme d'outre atlantique et leur envie affichée de changer le monde. Ils ont une ambition et une énergie grisantes.

En ce qui concerne les opportunités d'entreprenariat en France et les différences avec les Etats-Unis, je suis loin d'être un expert mais je me souviens de l'intervention de Jonathan Benassaya, co-fondateur de Deezer, à la Founder Conference. Il expliquait les avantages que nous avions ici, à savoir la présence de quelques super angels, la rapidité pour créer administrativement une entreprise, les nombreuses aides existantes (remboursement CIR, aides OSEO, JEI, etc.). Pour la création stricto sensu et les premiers financements la France ne paraît donc pas vraiment en-dessous, avec beaucoup d'aides du public (j'aime dire que le premier financeur des entrepreneurs en France est le pôle-emploi).

Je crois qu'en réalité en France, outre les pesanteurs culturelles autour de l'argent, le manque d'exits et un marché intérieur assez restreint en B2C (cela dépend naturellement du secteur, je parle surtout des startups), c'est principalement l'écosystème qui reste à consolider. Loïc le Meur est d'ailleurs récemment intervenu à ce sujet, au TechCrunch Remix. Il évoquait l'émulation exceptionnelle dans la Silicon Valley : à chaque instant, quelle que soit l'activité, il baigne dans un bain entrepreneurial et technologique. Il s'est appuyé sur l'incroyable florilège de réunions et meetings sur le sujet dans la Valley. Il existe même un rassemblement pour parler de ses échecs et échanger sur les leçons que l'on en a retirées !

Mais il me semble que l'écosystème entrepreneurial et de startups va vraiment dans la bonne direction en France, je rencontre et découvre chaque jour de nouvelles initiatives (l'ouverture de nouvelles Cantines, le camping, startupers.fr, etc.), les événements s'accélèrent (pour prendre l'exemple de Startup Weekend, les événements fleurissent dans chaque grande ville, 3 ont été réalisées à Paris, 1 à Toulouse et 1 à Marseille et sont prévus très prochainement des Startup Weekends à Nantes, à Lyon, à Nice, à Lille, un 4ème à Paris, un 2nd à Toulouse, on parle déjà de Bordeaux...). Le recrutement récent de nouveaux contributeurs sur Techcrunch France me parait également fort de sens et représentatif.

J'invite d'ailleurs toutes les personnes intéressées par les startups à creuser les réseaux et événements existants.

Enfin, concernant les technologies, je crois qu'il n'est plus à prouver toutes les opportunités procurées par l'émergence des technologies de la communication et de l'information. Nous pouvons raisonner de manière beaucoup plus libre, adopter un état d'esprit beaucoup plus proche de celui d'un architecte ou d'un designer pour imaginer des modèles économiques et ne se préoccuper  de la réalité industrielle que dans un second temps.

Les technologies rassemblent également des acteurs de différents pays sur un même marché, plus directement et rapidement, avec certes un surcroit de concurrence mais également des opportunités de partenariats importantes.

Les technologies nous offrent une chance exceptionnelle : déséquilibrer le statu quo, réinventer les manières de produire, d'échanger et de communiquer, faire ce qui nous passionne, entreprendre.

Je serai ravi d'échanger sur les points développés, vous pouvez me contacter sur twitter (@willybraun), par mail (bonjour [a] willybraun.com) ou directement sur Brocooli.com. J'espère que vous y trouverez des outils qui vous seront utiles.


author Publié par incwo2 Wed, 29 Dec 2010 17:11:00 GMT

Pouvez-vous nous présenter en quelques mots Widoobiz ?
Widoobiz c'est la radio des TPE-PME.
Que vous soyez entrepreneurs, cadres ou dirigeants d'entreprise, Widoobiz vous livre de précieux conseils et opportunités afin de vous accompagner dans la création et dans le développement de votre activité.

Comment vous est venue l'idée de créer une web radio pour le TPE -PME ?
Aucune radio ne s'adressait entièrement aux entrepreneurs de TPE-PME.
La radio sur le net, c'est un média qui permet aux auditeurs de Widoobiz de nous écouter tout en continuant à travailler, contrairement à la presse ou la télé qui nécessitent plus de concentration.
Sans oublier que Widoobiz est mobile via ses applications iPhone, Android et un site mobile qui vous permet de nous écouter lors de vos déplacements.

La création de cette web radio a-t-elle été facile ? Quelles difficultés avez-vous rencontrées ?
Comme pour de nombreux projets ambitieux, la création de Widoobiz n'a pas été simple.
La première difficulté à été de proposer un large choix de contenus professionnels et sérieux aux entrepreneurs. Il nous a fallu beaucoup de temps et d'énergie avant d'être satisfaits du résultat.

De l'idée au lancement combien de temps s'est-il écoulé ? Qu'est-ce qui vous a pris le plus de temps ? Qu'est ce qui a été le plus compliqué et le plus simple pour vous ?
L'idée est née en Mars 2009 pour aboutir au lancement officiel le 15 octobre 2010.
La mission la plus chronophage a consisté à rassembler une cinquantaine de professionnels (chroniqueurs, animateurs et journalistes) autour de notre projet.
Le plus simple à été de conserver notre passion pour ce que l'on fait, à savoir, mettre en avant des entrepreneurs et leurs projets.

Avez-vous eu des moments de doute ou démotivation ? Comment les avez-vous surmonté ?
Nous avons la chance d'être 4 co fondateurs. Nous nous complétons et pouvons nous épauler en cas de période de doutes. D’ailleurs, une remise en question récurrente est salutaire pour une définition réaliste de notre stratégie de développement.

Vous étiez dans l'incubateur Advancia : quels ont été les avantages de cette incubation pour le développement de votre projet et la création de votre entreprise ?
L'incubateur d'Advancia nous a permis de gagner des années de travail. Concrètement, c’est un réseau d'experts qui savent pointer du doigt des manquements dans votre stratégie ou votre business modèle. C’est aussi un microcosme d’entrepreneurs avec qui partager ses expériences, ses réseaux, etc.

Vous êtes une équipe de 4 personnes : comment s'organise l'activité entre vous ? A t-il été facile de trouver ses marques ?
Grace à nos années d'alternance, nous avons tous les quatre acquis des compétences dans différents domaines. Alexandra dans le marketing et la communication, Mustafa dans le web et la technique, Thomas dans les relations médias et Julien dans la gestion. Nous nous sommes donc répartis les tâches en fonction de ce que nous savions faire et avons su prendre nos marques au sein de Widoobiz.

Après 2 mois de lancement, quels sont vos premiers résultats ?

Aujourd'hui, Widoobiz c'est 15 journalistes et conférenciers qui animent autant d'émissions et 33 chroniqueurs professionnels du monde de l’entreprise qui réalisent nos chroniques d'experts. Nous avons mis en place de nombreux partenariats aussi bien en termes de contenu, de visibilité que de sourcing d'entrepreneurs.  

En deux mois, Widoobiz a rassemblé plus de 30 000 auditeurs allant de celles ou ceux qui se posent la question d'entreprendre aux dirigeants d’entreprises déjà établis à la recherche de nouvelles opportunités de développement.

Envisagez-vous de réaliser des émissions en direct ?
Nous réaliserons prochainement nos premières émissions en direct. Nous souhaitons faire interagir nos auditeurs avec les journalistes et chroniqueurs afin d’animer la communauté d’entrepreneurs qui nous suivent, et de répondre en direct à leurs interrogations.

Les entrepreneurs sont partout en France, pensez-vous à réaliser des décrochages régionaux ?
Widoobiz est diffusée sur Internet. C'est donc par essence une radio internationale s'adressant à la francophonie. Nos avons d’ailleurs enregistré notre première émission Francophone entre la France, le Québec et le Burkina-Faso. D’ailleurs, depuis le lancement nous avons été écoutés dans plus de 50 pays.
Côté national, nous tenons à faire remonter de l’information des régions. 90% des salons sur lesquels nous avons réalisé des enregistrements étaient situés en Province.
J’en profite pour annoncer à vos lecteurs entrepreneurs qu’ils peuvent postuler sur redaction(at)widoobiz.com et ajouter notre compte Skype « Widoobiz » pour participer à distance à l’une de nos émissions.

Comme toute entreprise, votre objectif est de gagner de l'argent : quelle est votre modèle économique ?
Nous sommes sur un marché jeune, sur lequel les entreprises testent encore leurs business modèles. De notre coté, nous offrons des espaces publicitaires en affichage et en audio et lancerons prochainement des offres destinées à nos auditeurs.

Avec le recul, si vous recommenciez votre création d'entreprise, que feriez-vous différemment ?
Si nous avions su où nous en serions aujourd’hui, nous aurions gagné du temps en contactant dès le premier jour l’ensemble des professionnels qui allaient nous faire confiance par la suite. Et pour être plus sérieux, nous n’avons jusqu’ici pas commis d‘erreurs majeures, notamment grâce aux conseils de notre réseau.

Quels conseils donneriez-vous à un créateur pour bien démarrer ?
Comment ne pas conseiller d’écouter assidument Widoobiz ?!
A part ça, un des conseils qu’on entend le plus souvent de la part des entrepreneurs interviewés consiste à savoir bien s’entourer avant, pendant et après la création de son entreprise.


author Publié par incwo Mon, 27 Dec 2010 13:26:00 GMT

La nouvelle année qui s'annonce est l'occasion de prendre de bonnes résolutions pour gagner de nouveaux clients.

Pour réussir, il faut anticiper, s'organiser et faire preuve de ténacité… Mais comment  programmer son succès et garder une vision globale de son activité ?

Des outils simples peuvent vous aider à rassembler et exploiter vos informations clients afin de ne rien oublier et d'être présent dans l'esprit de ceux-ci lorsqu'ils auront besoin de vos services ou produits.

Pour ne passer à côté d'aucune affaire et planifier votre intensité commerciale, il faut vous appuyer sur des outils de gestion de la relation clients :

  • Un agenda pour planifier vos rendez-vous et appels
  • Une base de contacts qualifiée pour avoir toutes les coordonnées et informations utiles pour contacter vos clients et prospects
  • Un suivi des affaires commerciales : du projet au devis
  • La gestion de tâches, d'alertes, et des fonctions de rappels
  • Des fiches clients pour rendre compte de vos échanges et gérer vos prospects de manière personnalisée
  • Un suivi des ventes
  • Des rapports d'activité commerciale

De tels outils sont rassemblés dans des applications de gestion de la relation clients appelées CRM. CRM est le terme anglais pour Customer Relationship Management. Il permet de centraliser les informations et données sur vos  prospects et clients.

Comment un outil de CRM vous aide-t-il à être plus efficace ?

Se concentrer sur le client est capital pour développer votre entreprise sur votre marché. Les outils de CRM vous aident dans cette démarche.

L'objectif d'un CRM est de faciliter l'acquisition et la fidélisation clients grâce au recueil, et la gestion d'information. Exploiter ces données rassemblées vous permet de proposer à vos prospects et clients les services et produits qu'ils souhaitent au bon moment.

Que vous soyez indépendant ou une entreprise avec plusieurs collaborateurs, la proximité avec vos prospects/clients et la bonne connaissance de ces derniers est un enjeu commercial important pour la réussite de votre activité. En effet, la relation clients est une clé de l'efficacité commerciale et par conséquent d'une meilleure rentabilité pour votre entreprise.

Les avantages d'un CRM ou gestion de la relation clients

  • Améliorer la connaissance prospects /clients
  • Maintenir une base d'information clients actualisée
  • Offrir à vos clients une réponse à leurs attentes au bon moment,
  • Suivre leur cycle de d'achats pour mieux vendre.
  • Facilité l'accès à l'information clients
  • Suivre les clients et prospects efficacement
  • Identifier les occasions de vendre
  • Transformer vos prospects en clients
  • Augmenter le chiffre d'affaires par client
  • Mettre en place des  actions marketing ciblée
  • Réduire les coûts des relations avec le client par une centralisation des données et une automatisation de tâches et d'alertes
  • Avoir une vision globale des ventes et prévoir le niveau d'activité à venir
  • Anticiper sur les contrats à venir ou à renouveler.
  • Partager des données avec vos collaborateurs
Les solutions de gestion d'entreprise d'entreprise-facile (le bureau virtuel, ma-facturation, ou gestion-auto-entrepreneur) vous aident avec : la fiche contact, l'agenda, la gestion d'affaires commerciale, le devis…

Pour une bonne gestion de la relation client : la base de contacts

Pour développer votre entreprise, il faut des outils et de la méthode, mais il faut aussi une bonne base de données prospects/clients à exploiter. Cette base doit être régulièrement enrichie et suffisamment conséquente  pour vous permettre de travailler efficacement et mener des actions sur vos cibles.

Conséquente : pourquoi ? Parce qu'un contact ne devient pas automatiquement un prospect à convertir en client.  Selon vos produits et services, et votre canal de mise en relation (téléphone, email, visite direct…), les taux de conversion d'un contact en clients, peuvent être faibles. Il vous faut donc au départ, travailler sur des volumes importants de contacts pour atteindre vos objectifs de ventes.

Par exemple :
  • Pour des ventes en B2B, composer au départ un fichier de 500 contacts à minima pour de la prise de rendez-vous par téléphone. Le taux de rendez-vous pris devrait être entre 5 et 15 % selon vos performances, soit entre 25 et 75.  Si 10% se convertissent en vente, cela vous fera entre 2 et 7 clients finaux.
  • Pour des ventes en B2C, sur un site e-commerce, n'envisagez pas une base de moins de 50.000 contacts pour l'envoi d'emailing. Avec un taux d'ouvertures des messages de 10 à 15% et un taux de clics de 9 à 13 %, selon les produits, vous pouvez ainsi espérer entre 450 et 975 visiteurs sur votre site. Si 3 % se convertissent en acheteurs, cela vous donne entre 13 et 29 acheteurs potentiels.  

La qualité de votre base de contacts à aussi un impact direct sur votre productivité commerciale, sur votre organisation, le coût et le temps passé en prospection. Votre base de contacts se doit donc d'être bien :
  • Ciblée : contenir des contacts et sociétés au cœur de votre cible, ceux susceptibles d'acheter vos produits
  • Qualifiée : contenir les données nécessaires pour votre démarche commerciale (email obligatoire si vous adresser un emailing, numéro de téléphone si vous réalisez du phoning)
  • Renseignée : contenir les informations utiles pour agir au moment opportun auprès de vos prospects et clients.
A vous maintenant de profiter de cette période de fêtes, moins propice aux affaires, pour bien préparer votre base de contacts afin de lancer, dès janvier, vos actions 2011 !

Vous souhaitez être accompagné dans le développement commercial de votre entreprise,  nos experts sont à votre écoute pour vous aider au quotidien. Contactez-nous et demandez votre devis.


author Publié par incwo2 Tue, 21 Dec 2010 13:09:00 GMT

Guillaume Thomas est le fondateur d'Aladom, portail des services à la personne. En février 2008, il nous faisait découvrir son entreprise. Aujourd'hui, il nous raconte ce qu'il s'est passé en presque 3 ans, et nous présente ses dernières nouveautés.

1/ En quelques mots, pouvez-vous présenter Aladom ?

Le site aladom.fr permet depuis 2007 de trouver rapidement une baby sitter, une aide ménagère, un jardinier, un bricoleur...
Le site permet de faire des recherches, d'afficher la liste des intervenants proposant un service sur une carte, de les contacter directement et de les évaluer par la suite.
Nous sommes devenu le premier portail des services à la personne en terme d'offres et de demandes.
Du côté de l'offre, nous référençons 30000 particuliers et 4500 entreprises qui proposent tous types de services à domicile.
Du côté de la demande, chaque jour, nous recevons 15000 visiteurs.
Chaque jour, 500 mises en relation se font grâce à aladom.


2/ Depuis 2008, que s'est-il passé pour d'Aladom ?

  • Début 2008, nous avons créé la société après un an d'existence pour le site qui se focalisait sur la Bretagne. Quand on se lance sur internet, il n'est pas nécessaire de commencer par créer son entreprise (et payer tous les frais qui vont avec). On a besoin de créer son entreprise quand on doit envoyer les premières factures.
  • En juin 2008 : nous avons lancé une nouvelle version qui élargissait notre service à toute la France.
  • En juin 2009, nous avons reçu un prêt d'honneur de la part de Rennes Intiatives, puis réalisé une levée de fonds auprès de particuliers (dont 1/3 en loi TEPA) pour accélérer notre développement.
  • Début 2010 : nous avons lancé nos offres PREMIUM pour les professionnels.
  • En juillet 2010, nous avons mis en ligne de nombreuses fonctionnalité : des offres d'emploi, un Forum, des actualités, annuaire des organismes.
  • En décembre 2010, nous avons ajouté à aladom un annuaire des maisons de retraites


3/ Qu'est-ce qui était le plus facile et le plus dur pendant ces années ?

Le plus facile était de prendre plaisir dans ce que nous faisions, ce qui est plus facile quand les choses marchent bien. J'ai créé aladom car j'avais envie d'entreprendre mais aussi car je ne trouvais pas en province le job idéal.
Le plus dur est de garder le cap et de s'accrocher sur la durée quand les choses ne vont pas aussi vite qu'on aimerait.
Une autre difficulté est de trouver les bonnes personnes avec qui travailler. Un bon recrutement est vital pour une start-up et une erreur de casting peut mettre en péril la société. C'est très difficile de trouver aujourd'hui des personnes qui acceptent de s'investir dans un projet qui démarre.


4/ Comment Aladom aide les entreprise de services à la personne dans le développement de leurs activités ?

Aladom est très bien placé dans les résultats des moteurs de recherche et les entreprises inscrites sur aladom en profitent.
Nous leur permettons d'être visible sur internet grâce à notre site et de trouver des clients.
De plus, nous proposons des informations utiles sur le secteur des services à la personne.


5/ Comment s'inscrire sur Aladom ? Combien ça coûte ?

L'inscription de base à aladom est gratuite, et il suffit d'aller sur notre site et de déposer une annonce. Ceci nous permet d'avoir une offre importante, répartie sur tout le territoire.
Pour se faire REMARQUER et être mis en avant, nous proposons aux prestataires de services de souscrire à des formules PREMIUM. Le prix démarre à 5,90 € HT par mois et varie en fonction du nombre d'annonces à mettre en avant et de la couverture géographique.


6/ Grande nouveauté lancée en cette fin d'année : l'application iPhone d'Aladom. Pouvez- vous nous en parler ?

J'ai eu l'idée de créer aladom après avoir passé des heures à chercher des baby sitters (j'ai 4 enfants). Nous nous sommes dit que l'iPhone était parfaitement adapté pour donner accès aux services disponibles sur notre site et nous avons choisi de lancer notre application.
Celle-ci est en ligne gratuitement depuis deux semaines et permet de trouver à proximité de l'endroit où l'on se trouve une personne proposant un service particulier, de la localiser sur une carte et de la contacter par mail ou par téléphone.


7/ Quels conseils donneriez-vous à un créateur ou entrepreneur, pour réussir dans les métiers des services à la personne.

Je donnerai avant tout un conseil au gouvernement : si vous voulez vraiment que les services à la personne se développent il ne faut pas dire d'un côté "les services à la personne sont un secteur d'avenir" et de l'autre côté remettre en cause chaque année et changer les règles (réductions fiscales menacées, exonérations de charges supprimées...).

Pour ceux qui veulent se lancer dans le métier des services à la personne, le conseil que je donnerai est "orientez-vous vers ce secteur si vous avez vraiment une vocation pour ça". Il ne faut pas espérer faire fortune facilement (les marges sont très faibles, le bon personnel est très dur à trouver...) et ils faut aimer les relations humaines. Mais on peut avoir de la satisfaction à aider les autres.

Le second conseil est bien sur d'utiliser aladom pour se faire connaître !

Pour retrouver tous les services d'Aladom : cliquez-ici


author Publié par incwo Sun, 19 Dec 2010 13:33:00 GMT

L'application mes-actionnaires vous aide entre autres à organiser les documents liés à vos réunions :

  • Convocations
  • Rapports de gestion
  • Ordres du jour
  • Procès-verbal d'assemblée
  • Décisions
  • etc.

A partir d'aujourd'hui, mes-actionnaires s'enrichit d'une nouvelle fonctionnalité : la signature en ligne, et le vote en ligne.  

Composer vos documents

Pour composer un document, rendez-vous dans l'assemblée ou la réunion correspondante, et choisissez Nouveau document.

Nouveau

Saisissez le nom du document, et si vous le souhaitez, la numérotation automatique des paragraphes.

Nouveau

Composez le document avec les blocs suivants :

  • Titre
  • Sous-titre
  • Paragraphe
  • Signature
  • Vote

Ajouter un paragraphe

Pour ajouter un paragraphe, choisissez l'option et validez. Vous pouvez ensuite le formater : gras, italiques, etc.

Paragraphe

Vous pouvez également ajouter des macros dans ce paragraphes. Ces macros seront ensuite remplacées par les coordonnées de l'entreprise, la liste des participants à l'assemblée, etc. Avec les macros, vous gagnez du temps et évitez des erreurs.

Ajouter une signature

Pour ajouter une signature, choisissez le signataire, et son titre éventuel pour cette signature.

Signature

Ajouter la ligne, puis choisissez si la signature doit se faire en ligne, ou sur papier.

En ligne ou sur papier

Ajouter un vote

Pour ajouter un vote, choisissez l'option et validez.

Décidez ensuite, pour chaque personne participant à l'assemblée, si il s'abstient, si il vote en ligne, ou si il vote sur papier.

Vote en ligne ou sur papier

Valider le document

Une fois les paragraphes, votes et signatures ajoutés, validez le document. Il ne sera plus modifiable.

Vous pouvez alors l'imprimer, l'exporter en PDF, l'envoyer par email.

Recueillir les signatures et les votes

Si votre document contient des signatures ou des votes, les personnes devant signer ou voter doivent se connecter sur l'application. Elles pourront alors saisir leur vote, ou leur signature.

Vote

Dans chaque bloc de vote ou de signature, vous disposez d'un lien pour relancer la personne par email.

Une fois le vote ou la signature validée par le mot de passe de l'auteur, la date est enregistrée, l'email de connexion également, et le tout est archivé et non modifiable.

Imprimer le document

Le document prêt à imprimer reprend, pour chaque bloc de vote ou de signature, l'état actuel.

Vote ou signature, à faire :

Vote

Vote ou signature, fait :

Vote

Signature papier :

Vote

Vous pouvez bien sur l'exporter en PDF :

Export

Revenir à l'assemblée

Revenez à l'assemblée, vous y trouverez la liste des documents, et pour chacun le nombre de votes et de signatures qui restent à recueillir.

Contenu

De même, la liste de toutes les assemblées reprend les votes et assemblées manquantes.

Liste

 

Que vous organisiez vos votes en ligne ou sur papier, ce nouveau module vous fera gagner énormément de temps de préparation!

Cette nouvelle fonctionnalité est disponible immédiatement. Connectez-vous sur votre compte pour la tester


author Publié par incwo Sat, 18 Dec 2010 18:30:00 GMT

Vous jonglez avec les agendas ? Votre agenda Google avec vos rendez-vous personnels ? L'agenda de votre application entreprise-facile sur lequel vous notez une partie de vos rendez-vous commerciaux et, surtout, vos feuilles de temps ? L'un est disponible sur votre smartphone et pas l'autre ? Vous révez de pouvoir synchroniser les deux ? 

Vous pouviez importer vos contacts depuis votre compte Gmail. Désormais, vous pouvez synchroniser vos agendas avec Google Agenda. Cette fonctionnalité est disponible en beta sur le bureau virtuel, et sur le module organisation de ma-facturation et de gestion-auto-entrepreneur.com.

Rendez-vous dans Agenda, puis Synchronisation Google Agenda. Cliquez sur Connexion à Google, vous êtes alors dirigé vers Google, où vous devez saisir vos logins et mot de passe Google. Nous n'avons pas connaissance, ni ne stockons, ces informations. 

Google demande si vous souhaitez donner l'accès à votre calendrier, cliquez sur Accorder

 

Choisissez ensuite la période de synchronisation que vous souhaitez. Pour cela, entrez une date de début, et une date de fin: 

 

Choisissez l'action que vous souhaitez faire : importer votre calendrier de Google, exporter votre calendrier vers Google, ou alors les synchroniser (import et export). 

 

Enfin, choisissez le calendrier source et destination :

 

Si vous cliquez sur les événements en face des agendas Google, la connexion à Google Agenda est réalisée, les fuseaux horaires sont indiqués, et ils sont modifiables. 

 

Validez pour effectuer votre opération. En fonction de la taille de vos agendas, cela peut prendre plusieurs minutes

 

Et voilà, votre agenda Google est synchronisé avec votre application. Toutes les fonctions traditionnelles de votre application sont disponibles pour les événements google.

 

Vous pouvez consulter l'historique des imports, exports et synchronisations.

 

Vous pouvez modifier un événement sur Google Agenda, ou sur votre application, puis refaire une synchronisation, seules les différences seront mises à jour. 

Cette fonctionnalité est immédiatement disponible en version beta. Pour l'essayer, connectez-vous sur votre compte


author Publié par incwo Tue, 14 Dec 2010 06:47:00 GMT

Pour réussir un rendez-vous client, il faut le préparer.

Qu’il s’agisse d’un rendez-vous programmé par téléphone, ou de visites spontanées chez vos clients lors de tournées terrain, vous devez avoir étudié et préparé vos rencontres avec chacun de vos futurs clients.

Qui dit préparation, dit : avoir défini des objectifs de résultat pour le rendez-vous,  connaître le profil du client pour lui faire une proposition adaptée et mettre en œuvre les moyens nécessaires pour atteindre votre objectif.

Voici quelques points clés pour bien préparer vos rendez-vous clients et les réussir

Pour réussir votre rendez-vous il faut être dans une situation de confort. Ce confort, vous allez le trouver en préparant chacun de vos rendez-vous.

Se préparer, c’est :

1. Définir des objectifs clairs pour chaque rendez-vous. C’est stimulant pour vous et ça donne un sens concret à votre rendez-vous. Selon votre activité, votre objectif pourra être de :  

  • Obtenir une commande ferme sur des volumes de ventes. Assurez vous dans ce cas, d’avoir de quoi éditer un bon de commande que votre client signera et validera.
  • Réaliser une proposition personnalisée. Dans ce cas, vous devrez vous assurer d’avoir noté toutes les informations utiles pendant le rendez-vous pour vous permettre de transmettre à votre client une proposition argumentée ou un simple devis, dans les meilleurs délais. Respectez un délai court : le lendemain par exemple.  N’oubliez pas de relancer quelques jours après l’envoi pour confirmer votre vente ou négocier les termes.
  • Détecter une opportunité à moyen terme et obtenir un accord client pour un nouveau rendez-vous à la période idéale, avec une projection sur des volumes potentiels. Notez ces informations immédiatement dans votre agenda et votre fiche client, pour être réactif à la période qu’il a désignée, et revenir vers lui à ce moment là.
Dans tous les cas, votre rendez-vous devra se conclure par l’une de ces options pour vous permettre de poursuivre une relation client efficace.

2. Etudier votre client ! Certes, vous ne l’avez pas choisi au hasard pour lui proposer vos produits ou services,  mais une connaissance approfondie de votre contact vous aidera à gagner en confiance, en crédibilité, et en aussi efficacité. Adapter votre discours à l’environnement commercial du décideur que vous allez rencontrer est très important. Cela témoigne de votre intérêt et de votre sérieux. Des tendances qui seront reconnues et appréciées. Ainsi, connaître la situation du contact, son équipement, son profil, son potentiel de vente, ses projets de développements est un atout qui vous permettra d’adapter votre argumentaire, de personnaliser votre discours à sa problématique et de répondre avec une plus grande proximité à ses attentes.  Une connaissance des informations liées à l’entreprise, à sa clientèle, à ses produits peut vous aider à mieux formuler votre proposition. Si vous avez eu des contacts antérieurs avec ce client, utilisez-les pour rebondir et éviter les situations inconfortables.

Quelques exemples :
  • Vous commercialisez des prestations de services aux TPE/PME : en fonction de votre produit et de vos tarifs, identifiez bien les entreprises à qui vous pouvez vendre. Consultez, sur des sites comme www.societe.com, la situation financière de l’entreprise. Ce critère peut-être déterminant pour assurer une vente. Ainsi, vous ne proposerez pas un projet à 30.000 euros à une société qui réalise un chiffre d’affaires de 120.000 euros et emploie 3 personnes. Consultez aussi les actualités en ligne de l’entreprise. Il se peut qu’elle publie des communiqués de presse ou bien participe à des forums, ce qui peut vous donner des indications utiles sur sa stratégie de déploiement ou ses besoins.
  • Vous vendez des produits ou prestations aux commerçants : observez la fréquentation de leurs boutiques, diagnostiquez le potentiel de leurs magasins, évaluez leurs dynamiques commerciales, leurs implantations, leurs positionnements, etc. vous ne vendrez pas une prestation à une boutique fréquentée par 5 clients par jour, une enseigne lumineuse à une boutique qui en a une toute neuve, ou encore 10 nouveaux mannequins à une boutique de vêtements qui n’a que 2 mètres linéaires de vitrine !
  • Vous commercialisez des marchandises aux industriels : consultez leur chiffre d’affaires et leur nombre de salariés, regardez leurs produits sur le site Internet, lisez leurs témoignages clients et examiner leurs références clients. Interrogez-les aussi, lors de la demande de rendez-vous,  sur leur fonctionnement, leur niveau de production, leur organisation logistique, leur volume de ventes hebdomadaires ou mensuelles… des premiers indicateurs qui seront utiles pour une première approche commerciale lors du rendez-vous. Imprégniez-vous de l’entreprise,  pour mieux la comprendre et l’approcher, puis pour réussir votre proposition commerciale.
  • La vente aux particuliers n’échappe pas à cette logique. Pour bien vendre, il faudra bien connaître  le profil des clients potentiels et leurs attentes.
    
3. Avoir les bons outils pour réaliser votre présentation et soutenir votre vente. Assurez-vous de disposer de l'ensemble des éléments importants pour l'entretien de vente :
  • carte de visite,
  • book de ventes ou fiches produits,
  • démonstration de vos produits ou services,
  • grille tarifaire,
  • propositions antérieures, si vous avez déjà eu des contacts avec la société,
  • bons de commande si la vente est en directe,  
  • présentation PowerPoint si nécessaire,
  • références clients ou exemples de projets aboutis pouvant illustrer et se rapprocher de sa demande

4. Etre prêt mentalement et physiquement : avoir enfilé son costume de professionnel sur le corps et dans l’esprit ! L’apparence et l’attitude professionnelle sont deux éléments important pour rassurer votre interlocuteur.  Surtout quand on se lance. Dans cette phase où vous n’avez aucune référence, aucun chiffre à montrer, c’est votre attitude et votre conviction qui feront la différence. Lors d’un premier rendez-vous client, vous devez être engagé, sûr de vous, vous ne devez pas montrer de signes de fébrilité ou de doute. Pour cela, préparez donc bien votre présentation, votre argumentaire, votre liste de contre-arguments. Répétez votre discours de présentation à haute voix, jusqu’à ce que vous le maîtrisiez et le possédiez de manière naturelle et affirmée. Soyez clairement positionné sur votre produit ou prestation, afin de ne pas vous contredire lors de votre rendez-vous.

Le sérieux de votre préparation fera le succès de votre rendez-vous !

Vous souhaitez être accompagné dans le développement commercial de votre entreprise,  nos experts sont à votre écoute pour vous aider au quotidien. Contactez-nous et demandez votre devis.


author Publié par incwo Sun, 12 Dec 2010 16:03:25 GMT

Vous êtes à la recherche d'une conférence, d'une formation, d'un forum, d'un petit déjeuner pour entrepreneur ? C'est dimanche soir, faisons le point sur les événements de la semaine qui vient, vous y trouverez peut-être votre bonheur :

Suivez régulièrement l'agenda des événements pour entrepreneurs maintenu par entreprise-facile :

Vous souhaitez référencer vos propres événements afin qu'ils soient visibles de tous les entrepreneurs ? cliquez ici. Attention, vos événements doivent être ciblés pour les entrepreneurs, sinon nous ne les validerons pas. Si vous organisez régulièrement des événements et que vous souhaitiez que nous les insérions automatiquement, contactez-nous.


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