Comment vous est venue l'envie de créer votre entreprise ?

Nous sommes trois co-fondateur à l’origine de la création de BestComparator : Michel Salib, Samuel Michaud et moi-même, Julien Crochet.

Nous nous sommes rencontrés durant nos études d'ingénieur à l'ECE Paris. L'idée au cœur de BestComparator a émergé quand Michel a perdu des heures entières pour réussir à trouver l'ordinateur portable qui répondrait le mieux à ses besoins. Les difficultés rencontrées par les consommateurs au moment de choisir leur produit nous a donné l’envie de créer BestComparator, le 1er Assistant Shopping Personnalisé. Il nous a semblé naturel d’en faire une startup jeune et dynamique !

En quelques mots, pouvez-vous nous présenter votre activité ?

Nous avons développé un nouveau type de moteur de recherche, personnalisé et innovant. Nous prenons en compte vos attentes, votre budget et votre profil pour vous suggérer les produits qui correspondent le mieux à vos besoins. Un peu comme un site de rencontre par affinité ! BestComparator est disponible sur internet, mais également sur Windows 8, Android et iPhone.

Comment vous est venue l'envie de créer votre entreprise ?

L’envie de créer ma structure a toujours été là. Elle s’est trouvée interpellée et sollicitée ou « invitée à s’exposer» lorsque j’ai gagné un prix d’accompagnement à la création d’entreprise. 

Ce prix est arrivé au moment où je ne trouvais pas la structure et les conditions qui me permettraient de m’épanouir, et dans mon activité et mes envies, sans perdre (trop) de "gouvernance" sur les projets à produire, ce, tant sur les aspects artistiques et humains que financiers.  

En quelques mots, pouvez-vous nous présenter votre activité ?

Artemistique propose aux professionnels la création de concerts privés (pour leur événement d’entreprise), et aux particuliers des concerts à leur domicile (pour leur permettre de rencontrer des artistes de façon différente et singulière, basée sur une véritable "rencontre". 

Comment vous est venue l'envie de créer votre entreprise ? 

Nous sommes un couple entrepreneur. Jeunes parents, nous aimions préparer les petits-plats maison pour nos garçons. A la suite d’une malencontreuse erreur dans une commande, nous nous sommes retrouvés avec 150 kg de légumes. Nous avons alors cuisiné, congelé… congelé, cuisiné…. Jean-Frédéric, qui a toujours eu envie d’entreprendre, ce dit qu’il y a une idée à creuser.

2 ans plus tard, Les Chaises Hautes sont créées et Ma boîte à légumes® est commercialisée. 

En quelques mots, pouvez-vous nous présenter votre activité ?

Les Chaises Hautes développent et commercialisent une gamme innovante d’alimentation bio et surgelée pour enfants de 4 mois à 3 ans : Ma boîte à légumes®. Notre volonté est de remettre les parents au cœur de l’éveil au goût de leurs petits, en leur proposant la 1ere gamme de cuisine d’assemblage pour enfants. 

Comment vous est venue l'envie de créer votre entreprise ? 

Mon métier avant de créer MeilleureSCPI.com consistait à vendre des immeubles loués (bureaux, commerces, logistique). Je m’adressais principalement à des fonds d’investissements, comme les SCPI (Société Civile de Placement Immobilier), mais aussi des investisseurs particuliers.  

J’ai pu faire le constat qu’il n’y avait pas de plateforme dédiée aux SCPI. Rassuré par le modèle et les performances de ce type de placement, j’ai décidé de lancer MeilleureSCPI.com, un site comparateur des SCPI s’adressant aux particuliers !   Je dois aussi dire que je viens d’une famille d’entrepreneurs et qu’il était clair depuis longtemps qu’un jour ou l’autre je serais chef d’entreprise. Ainsi, quand j’ai eu l’idée du site et que j’ai senti que je tenais l’occasion de me lancer, je n’ai pas hésité. 

En quelques mots, pouvez-vous nous présenter votre activité ?

Le concept de MeilleureSCPI.com est simple : permettre aux investisseurs de comparer les SCPI et de n’avoir qu’un seul intervenant à contacter pour investir dans la meilleure.  Nous offrons une plateforme en ligne avec des fiches complètes pour chaque SCPI et des outils tel qu’un simulateur d’investissement et un comparateur de SCPI. Les épargnants sont aussi accompagnés sans frais par un conseiller en gestion de patrimoine avant, pendant et après leur investissement. Ils peuvent également suivre les actualités de leur SCPI grâce aux actualités que l’on publie au fil de l’eau.

Présentez-nous Life in Sport

Life in Sport est le premier réseau social international qui regroupe à la fois les sportifs professionnels, les fans de SPORT (licenciés, non licenciés, pratiquants du dimanche, comédiens, etc.) mais également les entreprises ayant investi ou souhaitant investir dans le sport.

Nous offrons donc la possibilité de découvrir grâce aux champions présents sur LIFE (Life Members) les Coulisses du Sport, dans le but de permettre également aux entreprises de développer par cet outil unique des axes de communications B to B et B to C. (Priceminister, Under Armour, par exemple) 

Comment est né ce projet ? 

Il est né il y a 5 ans environ de notre envie commune (un ancien de l’équipe de France de natation, un fiscaliste international, un ancien pongiste de très haut niveau, un chef de projet web, un journaliste d’expérience) de créer un réseau social différent, unique au monde (avant les américains, au passage). Un réseau efficace et maîtrisé concernant tous les acteurs du sport et plus largement le monde du business et du net.

Pour vous, être entrepreneur c'est quoi ?

C’est être passionné par l’entreprenariat et se lancer dans l’aventure. 

Comment l'entrepreneuriat rythme t-il votre vie depuis votre enfance ?

Un certain nombre de membres de ma famille sont des entrepreneurs (création d’entreprise, reprise d’entreprise, profession libérale, etc.). J’ai donc toujours évolué dans cet environnement entrepreneurial. De plus mon entourage proche travaille dans ces milieux (incubateur, pépinière, cabinet).

Lorsqu'on crée une entreprise : quelles doivent-être les priorités ? 

Pour moi, il faut pouvoir être heureux et épanoui dans son travail. C’est pourquoi je pense que cela est l’une des priorités : faire en sorte de prendre du plaisir dans ce que l’on fait. Ensuite, bien évidemment, il ne faut pas oublier de faire du chiffre d’affaires car c’est le nerf de la guerre.

Comment vous est venue l'envie de créer votre entreprise ?

Après avoir créé puis revendu une première entreprise avec mon associé, nous ne pouvions envisager d’autre alternative que de « replonger » dans l’entrepreneuriat.

Nous sommes alors partis d’une feuille blanche et avons recherché des idées fondées sur des constats de notre vie quotidienne. Le constat que nous avons finalement retenu était la pauvreté des informations contenues dans les relevés bancaires des particuliers.

C’est donc autour de cette idée d’enrichissement des outils de pilotage de la vie financière et administrative des particuliers que s’est appuyée la création de MoneyDoc.

En quelques mots, pouvez-vous nous présenter votre activité ?

MoneyDoc est une application web et mobile permettant un pilotage automatique de la vie financière et administrative des particuliers. L’outil consolide automatiquement les informations financières et documentaires du foyer et les interprète. Un tableau de bord entièrement automatisé qui permet de gagner du temps et de l’argent en toute sécurité.

En quelques mots, présentez-nous 1001pharmacies ? 

1001Pharmacies est une place de marché qui permet aux pharmaciens de vendre facilement et rapidement leurs produits de (para)pharmacie qu’ils possèdent en stock dans leur officine. 1001Pharmacies a été lancée par Cédric O’Neill (pharmacien) et Sabine Safi (web-marketer). Les internautes ont ainsi accès à des produits garantis de qualité car vendus par des pharmaciens. 

Comment vous est venue une telle idée, sur ce marché préservé et réglementé ?

Je suis moi-même pharmacien de formation. Je voyais bien lors de mes jobs en officine que premièrement les pharmaciens d’officine ont des difficultés financières (200 dépôts de bilan d’officine l’an dernier), et que deuxièmement très peu d’entre eux se sont dirigés vers Internet pour redynamiser leurs ventes (fautes de temps, de connaissances web, et d’argent).  C’est à partir de ce constat que je me suis demandé comment je pouvais faire pour restaurer la place du pharmacien sur Internet et lui permettre de se battre à armes égales dans la vente online de tels produits. 

Quel parcours entrepreneurial vous a mené jusqu'à la création de Jaapan.com ? 

J’ai commencé à diffuser des artistes japonais en Europe dès 1996 puis publié l’ouvrage collectif de référence Japanese Independent Music, un abécédaire sur la musique japonaise indépendante en 2001, qui m’a transformé en expert de la scène japonaise.

J’ai poursuivi et approfondi mes recherches en habitant à Tokyo entre 2003 et 2011, un retour en France pour des raisons familiales 5 jours avant la double catastrophe de Fukushima en mars 2011.  J’ai commencé en créant le label de disques Sonore, sous forme associative en 1998, avec lequel j’ai produit 30 albums entre 1998 et 2012. Le dernier est une compilation de soutien sous la forme d’un badge audio Playbutton intitulée Minna No Ié au profit des réfugiés du nord-est du Japon. 

Cette forme associative était trop limitée pour mes activités de production. Ma rencontre, avec Alain Sidi, ami et associé, qui a dirigé de nombreux projets en rapport avec la musique et les nouvelles technologies, nous a décidé à créer l’entreprise JAAPAN SARL en juin 2004. J’ai aussi la grande chance d’avoir un collègue extrêmement compétent et passionné qui s’appelle Aurélien Estager et qui est très impliqué dans nos activités depuis le début. 

Pouvez-vous nous présenter votre nouvelle activité ?

Nous avons toujours eu une activité distribution de produits artistiques et culturels japonais en B2C via notre site jaapan.com pour une clientèle internationale très curieuse, fidèle et enthousiaste.  

Nous sommes devenus distributeur pour un fabricant japonais d’appareils photo très créatif et original qui s’appelle Powershovel. Nous développons une nouvelle activité en B2B sur un réseau européen de boutiques de musées, de librairies spécialisées et de concept/design/art stores. Une nouvelle activité mais qui reste dans notre ligne, à savoir la création et le Japon. 

En ce moment, nous synchronisons la France autour de la sortie de leur nouvel appareil Last Camera : un appareil photo argentique 35 mm en kit à monter et à décorer soit même ! C’est un produit vraiment original et très bien conçu qui en fait le cadeau de Noël idéal !

Comment est venue l'envie de créer moonbar.org ?

L’idée de moonbar est venue assez naturellement. Mes associés et moi-même étions dans une grosse période de networking dans le cadre de nos projets. Nous étions donc à la recherche de co-fondateurs, d’opinions sur nos idées, ainsi que de partenaires commerciaux. Et un besoin est né : comment trouver les évènements et concours startup de la semaine de manière claire, simple et efficace pour mieux networker. 

En quelques mots, pouvez-vous nous présenter votre activité ?

moonbar envoie une newsletter contenant les évènements et concours startup de la semaine. Cette newsletter innovante lancée il y a seulement un mois compte déjà plus de 1000 abonnés à Paris et nous venons de lancer l’édition londonienne alors que la version berlinoise sera diffusée dans les prochains jours. En tant que co-fondateur, il est toujours important d’utiliser son produit et je dois bien avouer que moonbar me fait économiser beaucoup de temps dans les démarches de construction de notre réseau. 

Vous avez fondé SolutionTPE et l'avez transformé en Sopixi : comment se décide une transition de cette nature ? 

Nous avons, en regardant fonctionner SolutionTPE, compris que nous faisions une double erreur: de technologie et de positionnement.  

Technologie : SolutionTPE était un modèle sur gabarit, avec des bases de données, comme la plupart des offres du marché. Résultat: des sites pas très souples quand il fallait faire des changements graphiques, et tous les sites finissaient par se ressembler. En plus, les gens faisaient, en moyenne, une dizaine de pages. C'était idiot de maintenir des systèmes lourds de bases de données pour des sites avec si peu de pages. Il fallait trouver un autre modèle, laissant une totale liberté créative et modulaire aux utilisateurs, tout en simplifiant notre support. Sopixi répond à cela: on fait son site comme un Powerpoint, avec la même simplicité. Il n'y a plus de limite à la créativité et à la liberté de l'utilisateur. 

Positionnement : nous avons constaté que 70% des TPE n'ont pas de site. Trop compliqué, trop cher. C'est une aberration: nous avons tous intérêt à ce que l'activité des TPE se développe. Nous avons choisi un modèle qui permettait aux TPE de ne prendre aucun risque : le gratuit, avec quelques options non indispensables payantes. Nous pensons que c'est la meilleure solution pour que le maximum d'entrepreneurs puissent utiliser les réseaux pour se développer. J'ai écrit un article sur "le don comme modèle économique" dans Les Echos. On est en plein dedans... 

Comment est venue l'envie de créer MonPetitBiz ? 

Fin 2011, après la cession de deux entreprises, je me suis mis à la recherche de nouvelles opportunités pour démarrer une nouvelle aventure entrepreneuriale. Je suis parti à l’étranger durant quelques mois et j’ai découvert notamment de nombreux médias étrangers traitant des nouvelles innovations et tendances de consommation. 

De retour en France avec des idées de business plein la tête que je souhaitais en partie partager, je me suis rendu compte qu’aucun véritable média français été dédié aux nouvelles idées de business alors que de nombreux concepts étrangers pourraient être source d’inspiration pour créer des entreprises en France. L’idée est donc venue naturellement, j’ai décidé de créer MonPetitBiz.fr pour devenir le magazine des nouvelles idées de business et ainsi aider les entrepreneurs français à se lancer en les aidant à trouver une idée.   

En quelques mots, pouvez-vous nous présenter votre activité ? 

MonPetitBiz.fr est le premier magazine francophone dédié aux nouvelles idées de business à travers le monde. Nous publions chaque jour des idées d’affaires qui se développent à l’étranger mais inexploitées en France, ou pouvant faire l’objet de déclinaisons sous d’autres modèles. 1 français sur 3 souhaite créer son entreprise et devenir son propre patron. Nous voulons les aider à développer leur inspiration pour se lancer ! 

Comment est venue l'envie de créer DILIDIL ?

La création d’entreprise est un challenge que j’avais en tête depuis longtemps. Lorsque Jérôme, mon associé m’a proposé cette idée d’une plateforme de parrainage sur les réseaux sociaux, j’ai tout de suite adhéré !

C’est à la suite d’un master spécialisé à l’ESSEC que je me suis sentie prête pour cette aventure.  

En quelques mots, pouvez-vous nous présenter votre activité ?

DILIDIL propose une plateforme de gestion du parrainage client. Ce service s’adresse aux commerçants (e-boutiques mais également boutiques physiques) désireux de mettre en place pour leurs clients un service de parrainage innovant.

En effet, la particularité de DILIDIL est de proposer aux parrains de publier l’offre de parrainage sur leurs propres réseaux sociaux. D’un simple clic sur l’icône du réseau social, le parrain publie une annonce de parrainage rédigée par le marchand à laquelle il ajoute un commentaire personnel destiné à son réseau d’amis.  

En quelques mots, présentez-nous Marbotic ? 

Marbotic produit des solutions pédagogiques mêlant matériel sensoriel et interfaces numériques. L’ambition à la source de ce projet est de faire se rencontrer l’innovation technologique et l’innovation pédagogique. Marbotic est une jeune pousse qui a germé au printemps dernier et va déployer ses premières feuilles dans l’incubateur Centrale Paris. 

Comment les pédagogies d'éveil de l'enfant vous ont-elles inspiré la naissance d'une gamme de produits numériques ? 

Je m’intéresse depuis longtemps aux pédagogies dites «alternatives», comme la pédagogie Montessori ou la pédagogie Steiner-Waldorf. Ces pédagogies mettent l’accent sur le rôle de l’expérience vécue, plutôt que du savoir transmis. L’enfant est accompagné dans la découverte du monde via un matériel sensoriel de très grande qualité.  Etant enceinte de mon fils, j’ai commencé une formation à la pédagogie Steiner-Waldorf, qui m’a beaucoup inspirée, notamment dans le rapport au corps, et à l’éveil de la sensibilité de l’enfant par le biais de la pratique artistique.  J’ai été frappée de voir que la communauté éducative d’enseignants et de parents qui mettait en oeuvre ces pratiques avait une grande défiance vis-à-vis des outils informatiques. Le numérique au sens large cristallise quelque part la peur de la modernité, d’un virtuel qui nous coupe du réel. 

Comment est venue l'envie de créer QCM PRO ?

J’avais envie de créer une application qui permette aux enseignants et formateurs de construire une bibliothèque pour mettre en valeur leurs savoirs et savoirs faires.

Quand j’ai démarré mon activité de formateur, en 2007, j’ai essayé de construire par mes propres moyens une base de données pédagogique. En effet, je devais produire des supports de formations et des questionnaires d’évaluation pour différents clients, sur des thèmes qui se recoupent mais qui souvent diffèrent par certains aspects. Par exemple, un établissement d’enseignement exigera que l’intervenant mette l’accent sur les fondamentaux tandis qu’un organisme de formation professionnelle souhaitera mettre l’accent sur les questions pratiques. 

En quelques mots, pouvez-vous nous présenter votre activité ?

Mon activité principale consiste à donner des formations dans le cadre de la formation initiale ou de la formation continue.

A terme, le développement technique et commercial de QCM Pro devrait progressivement prendre le pas sur cette activité. D’ores et déjà, les rendez-vous avec les clients et la rédaction du cahier des charges de nouvelles fonctionnalités occupent une grande partie de mon temps. Et cela ne fait que commencer…