author Publié par incwo Wed, 12 Aug 2009 18:14:00 GMT

Equipes de startup : pourquoi la compétence n'a pas d'importance sans confiance

J'ai pensé un peu cette dernière semaine aux équipes de startup et ce qui les fait travailler (ou non). La plupart des personnes qui participent aux startups sont prêtes à accorder que le recrutement de la meilleure équipe possible est essentiel pour le succès. Ce qui fait que les experts des startups disent des affirmations telles que "trouvez les meilleures personnes possible". Loin de moi la pensée de débattre sur ce type de conseil sage. Vous devriez trouver les meilleurs personnes possibles pour votre équipe de startup. A cet égard, ne voudrions-nous pas recruter les meilleures personnes possibles ?

Cependant, l'expression "les meilleures personnes possibles" est un peu trop vague à mon goût. La question est, qu'est-ce qui rend un membre d'une équipe le meilleur ? Sont-ils les plus intelligents ? Ceux qui ont le plus d'expérience ? Ceux qui ont l'ensemble de compétences le plus vaste pour un rôle donné ? Ceux qui ont le plus d'expertise dans le domaine ? Aux fins de cette discussion, je vais "fusionner" toutes les qualités qui rendent un certain individu vraiment, vraiment bon dans la notion de "Compétence". Vous pouvez prendre la liberté de faire de la compétence une fonction de tout attribut (intelligence, expérience, aptitudes, etc.) selon votre goût.

Donc,

compétence = à quel point la personne peut bien faire le travail

Maintenant, cet article ne parle pas vraiment de compétence. Il parle d'un concept plutôt orthogonal que je vais nommer Confiance (ou foi). Par confiance, je ne veux pas dire combien de confiance ils (les candidats) ont. Je pense plutôt à quel point le reste de l'équipe pense qu'une personne a la compétence requise.

Confiance = à quel point les gens font confiance dans la compétence d'une personne

Mon argument est le suivant : Les meilleures personnes à recruter dans une startup sont celles qui ont la combinaison idéale de compétence (peuvent faire le travail) et confiance (confiance de la part des autres qu'ils feront le travail). Même avec plein et plein de compétences, s'il y a une confiance moyenne ou basse, l'individu sera critiqué, la confiance ébranlée et finalement il sera tout simplement inefficace. Même s'ils avaient plein de bonnes décisions, cela ne va vraiment pas être important, car ils ne pourront pas en prendre tellement, et celles qu'ils prendront pourraient ne pas "coller". Malheureusement, ce type de dysfonctionnement d'équipe pourrait ne pas vous sauter aux yeux de suite, il apparaît lorsque vous ne regardez pas. Tout le monde a les meilleures intentions. Un exemple rapide (complètement fictif) : "Billy est un mec super en design web et expérience utilisateur... et il a proposé ce design simplifié à la place du site internet de 25.000$ qu'on a créé l'année passée. Bien sûr, il participe à toutes les conférences et réunions, mais attire-t-il vraiment ce type de gens à venir sur notre site, non seulement des clients ?

Donc, vous vous demandez, pourquoi les gens décideraient d'engager des personnes dans lesquelles ils n'avaient même pas confiance ? N'est-ce pas bête ?A quoi bon en parler ? Je répondrais deux choses : D'abord, la confiance n'est pas un concept binaire. C'est un concept analogue. Il y a des degrés de confiance. Ensuite, la confiance peut être au début vraiment élevée, mais peut être perdue au fur et à mesure que le temps passe.

Maintenant qu'on a quelques références ci-dessus, voici quelques idées sur la compétence et la confiance lorsqu'il s'agit d'équipes de startup :

Compétence vs. Confiance

1. Comment avons-nous trouvé cette personne ? Certaines sources de recommandation offrent plus de confiance que d'autres. Votre co-fondateur a fait amener cette personne ? Est-elle votre nièce, du côté de votre père ?

2.Qui a le plus de confiance en elles ? Est-ce la personne qui les a présentées ? Quelqu'un qui travaillera avec elles ? L'un de vos investisseurs ? L'un de vos conseillers ?

3. Quelle importance à la confiance pour ce rôle ? Il y a certaines parties de votre startup où les gens doivent faire preuve d'un certain degré de discretion. Par exemple, sans tenir compte de l'intelligence et de la passion des fondateurs, si vous engagez un designer d'expérience utilisateur professionnel, vous devez le laisser faire son truc. Les débats sont bons, mais la personne qui est la plus qualifiée à prendre une décision devrait prendre la décision.

4. Qui dans l'équipe perd le plus si elles n'y arrivent pas ? Oui, je sais, tout le monde perd lorsque vous perdez un membre de l'équipe. Mais, qui est le plus affecté ?

5. L'érosion de la confiance, est-elle justifiée ? Est-il possible qu'une mauvaise décision d'engagement eût été faite ? Les gens, ont-ils attendu un degré de compétence qui n'a pas été prouvé ?

Quelques questions difficiles (mais importantes)

Quelques conseils de fin : Lors du recrutement de membres dans l'équipe, assurez-vous qu'une personne de l'équipe pariera sur la personne lorsque la situation est instable. Vous avez besoin d'un membre de confiance (comme l'un des cofondateurs) pour vous aider à évaluer de façon objective les problèmes d'érosion de la confiance - et aider à la restaurer si besoin. Sinon, la situation s'empire et personne n'en sort gagnant.

 

L’article qui précède est la traduction de l’article «Startup Teams: Why Capability Doesn't Matter Without Trust» de Dharmesh Shah. La traduction et la publication sont autorisées par l’auteur: retrouvez régulièrement sur notre blog les articles de Dharmesh Shah sur onstartups.com

Dharmesh Shah est diplômé dans un premier temps de l’université de l’Alabama en informatique, et d’un Master Spécialisé du MIT, en innovation et leadership. Passionné de programmation et d’entreprenariat, il a par ailleurs créé plusieurs sociétés, dont la dernière, Hubspot, permet de créer et d’optimiser un site internet et son marketing. Vous retrouverez ici une sélection d'articles de son site d’actualité de l’entreprenariat high-tech.


author Publié par incwo Thu, 16 Jul 2009 20:00:00 GMT

Les RP d'une startup : Astuces pour faire de la publicité sans faire appel à un professionnel en Relations Presse

J'ai trouvé un article magnifique aujourd'hui écrit par Jason Calacanis concernant les RP pour les startups. Jason Calacanis est le fondateur et PDG de Mahalo, mais vous le connaissez peut-être mieux en tant que le mec qui se cache derrière la société Weblogs. En tout cas, il est accompli et connaît quelques trucs sur la visibilité d'une startup.

Je me suis toujours considéré différent par rapport à Jason (remarque : Je ne l'ai jamais rencontré en vrai). Il semble être l'extraverti classique capable de "s'afficher" pour sa startup. Bien que je ne pense pas manquer de passion, je n'ai quand même pas le courage qu'il a.

En tout cas, si vous êtes impliqué dans une startup (surtout si vous êtes financés par du capital de risque), l'article mérite d'être lu. Cependant, l'article original contient plus de 4.500 mots et au cas où vous êtes paresseux comme moi, voici quelques-uns de mes points préférés de l'article :

1. "Ma philosophie des RP se résume en six mots : être excellent, être partout, être réel."

2. La première fois que j'ai entendu le terme céWebrités. astucieux. Concernant ces céWebrités, "ces succès du jour au lendemain sont le fruit de 10 ans de travail.".

3. "Soyez la marque…vous devez aimer votre marque et être inspiré par la mission de votre marque afin d'espérer à attirer la presse."

4. "Soyez partout…tous les soirs je sortirais pour rencontrer des gens de l'industrie de l'internet…alors que d'autres gens rentreraient chez leurs familles, je sortirais et me ferais une famille."

5. "Votre travail est de transférer l'enthousiasme que vous ressentez pour votre marque à toutes les personnes que vous rencontrez."

6. "Payez toujours la note — toujours…tout le monde se rappelle qui a payé la note".

7. "Fixez comme objectif de créer des relations sérieuses avec un petit nombre de personnes et non pas de courir partout pour essayer à échanger des cartes de visite avec le plus de personnes possible."

8. "Soyez un être humain. La meilleure façon de réussir les RP n'est pas de vendre quelqu'un sur votre société ou produit — c'est d'être un être humain. Les journalistes détestent d'être ciblés…les journalistes et les blogueurs sont, en fait, des humains."

9. "Avant un rendez-vous avec un journaliste, c'est à vous (en tant que PDG) de lire en entier ses cinq derniers articles…"

10. "Votre travail en tant que PDG/fondateur est de créer des relations directes, honnêtes et personnelles avec les journalistes."

11. "Attachez votre marque à un mouvement."

12. "Les RP sont, par définition, un reflet de ce que vous avez fait. Lorsqu'une startup a du succès, ce n'est pas l'effet d'une seule chose, il s'agit généralement de nombreuses choses qui marchent ensemble.”

Je résumerais le conseil et en modifierais les 6 mots en : Etre excellent, être passionné, être humain. Quelle est votre version à 6 mots ?

L’article qui précède est la traduction de l’article «Startup PR : tips for getting published without a PR firm» de Dharmesh Shah. La traduction et la publication sont autorisées par l’auteur: retrouvez régulièrement sur notre blog les articles de Dharmesh Shah sur onstartups.com

Dharmesh Shah est diplômé dans un premier temps de l’université de l’Alabama en informatique, et d’un Master Spécialisé du MIT, en innovation et leadership. Passionné de programmation et d’entreprenariat, il a par ailleurs créé plusieurs sociétés, dont la dernière, Hubspot, permet de créer et d’optimiser un site internet et son marketing. Vous retrouverez ici une sélection d'articles de son site d’actualité de l’entreprenariat high-tech.

 

 


author Publié par incwo Wed, 08 Jul 2009 14:26:00 GMT

J'ai passé une semaine vraiment intéressante et folle (folle dans le bon sens). Comme de nombreux lecteurs réguliers d'OnStartups.com savent, je suis un grand admirateur de Seth Godin. J'ai lu la plupart des livres de Seth au cours des années et je lis son blog. Il a été même assez gentil pour commenter l'un de mes articles précédents sur OnStartups ("Why Your Startup Shouldn’t Hire Seth Godin") (Pourquoi votre startup ne devrait pas engager Seth Godin). Mais, jusqu'à récemment, je n'ai jamais eu l'occasion de l'écouter parler en personne. Cette dernière semaine, j'ai réussi à entendre Seth deux fois.

Ces derniers temps, Seth a été un orateur programme au récent Inbound Marketing Summit (Sommet du maketing interne) à Kendall Square, Cambridge (MIT central). Non seulement j'ai réussi à entendre Seth parler en vrai et en personne, j'ai eu le plaisir de prendre le déjeuner avec Seth et "juste parler affaires" (par exemple recevoir des conseils sur ma startup). Ca doit être le truc le plus palpitant qui me soit arrivé cette année. Très excitant. [Anecdote intéressante : Au début de sa carrière, Seth a travaillé à Kendall Square pour Spinnaker Software].

Donc, voici quelques idées et informations que j'ai recueillies de Seth, que j'ai trouvé utiles pour d'autres passionnés de startups. Bien que les informations essentielles ont été inspirées de Seth, j'y ajoute mon empreinte de la perspective d'une startup. Toutes les idées vraiment extraordinaires sont de Seth, les idées médiocres sont les miennes.

 

8 idées sur les startups inspirées par Seth Godin

 

1. Résistez à devenir "médiocre".

C'est mon idée préférée. Dans ma startup HubSpot, nous utilisons le terme plus geek "régression vers le médiocre" pour parler de ce phénomène. En gros, le concept signifie que, à travers le temps, le monde vous pousse à devenir plus médiocre. Souvent cela signifie de faire ce qui est "testé et vrai" ou "prouvé". Ou, comme Seth dit, "créer des produits médiocres pour des gens médiocres". Pour les affaires en général, mais les startups en particulier, la régression vers le médiocre est une chose dangereuse. Pourquoi ? Car la startup "médiocre" n'a pas de succès. La seule façon de réussir est de ne pas être médiocre. Vous devez aller aux bords et résister à l'attrait vers le milieu.

2. Communiquer directement avec vos clients

Vous êtes le fondateur/PDG/président/n'importe qui de l'entreprise. Vous faites de votre mieux pour travailler sur l'entreprise, et non pas dans l'entreprise (comme tous les mentors des affaires vous ont dit de faire). Vous pourriez penser être vraiment important dans l'entreprise. En fait, vous pourriez même être vraiment important. Peu importe. PARLEZ A VOS CLIENTS. Que vous soyez dans l'antichambre à rédiger le prochain Facebook/YouTube/Google/n'importe quoi ou que vous soyez plus une personne des opérations/finances, vous devez porter des dialogues directs avec vos clients/utilisateurs. Il n'y a rien qui puisse remplacer ça. Pour les personnes des startups, ce n'est pas tellement un conseil difficile à suivre (car quelqu'un doit parler aux clients, et il n'y a que deux personnes dans l'entreprise, donc vous ne pouvez pas vous cacher). Mais vous seriez surpris de la fréquence des situations où les gens évitent le contact direct avec le client. Non, pas vous évidemment, mais votre co-fondateur. Pour un bel exemple d'une startup prospère qui parle aux clients, allez voir Jason Fried à 37signals. Il lit et répond vraiment aux messages du support clients. Il est aussi un gars extrêmement occupé. Et il a plus d'un million d'utilisateurs. Quelle est votre excuse cette fois-ci ? [Remarque à moi-même : écris un article avec des notes de la rencontre avec Jason Fried de la semaine passée].

3. Laissez vos utilisateurs parler entre eux

Les communautés en ligne font toutes fureur. Mais, trop nombreuses sont lancées car les entreprises souhaitent "construire une communauté pour s'imposer en tant que leader éclairé et promouvoir une riche interaction entre notre équipe et nos clients." Bla, bla, bla. C'est bien de vouloir être un leader éclairé et au centre de son univers. C'est bien de vouloir démarrer un "dialogue riche". Mais, offrez un mécanisme pour ceux qui inexplicablement trouvent votre offre "intéressante" (heureusement assez intéressante pour vous payer réellement) afin de se connecter l'un à l'autre. Donnez-leur des moyens faciles, convenables pour se connecter l'un à l'autre et puis dégagez.

4. Lancez un blog original

Oui, je sais. Vous aviez l'intention de le faire. Mais entre l'écriture du code, la levée de fonds, et la réunion des esprits et toutes les centaines d'autres choses que vous avez à faire cette semaine, vous n'avez pas le temps d'écrire. Zut, il n'y a que vous et votre pote Joe, n'est-ce pas ? Et en plus, vous avez commencé le bobandjoeblog.wordpress.com il y a quelques mois, vous y avez rédigé quelques articles et seuls 4 gens l'ont lu. Il ne valait pas la peine. Vous avez une affaire à développer ! Mais, vous promettez de prendre le temps. Un jour. Une fois que vous ayez fini avec ce lancement de produit/cycle de financement/cauchemar de support/événement de RP/n'importe quoi vous promettez d'essayer tout le truc de blog (encore une fois). Je suis ici pour vous dire que vous devez y consacrer du temps. Mais, ne m'écoutez pas. Voici ce qu'en dit Seth Godin : "Vous êtes pardonné si vous ne le réussissez pas...c'est facile d'écrire tout le truc...voici quoi faire si vous n'y arrivez toujours pas : Lancez un blog."

5. Histoires répandues, non pas des faits

Bien sûr, je comprends que votre nouvelle startup brillante avec son nouveau logiciel brillant codé dans un nouveau langage de programmation brillant changera le monde. Je le comprends. Mais moi, comme la plupart des gens, nous ne voulons pas entendre parler du produit. Je ne veux pas bien évidemment parler à d'autres gens de votre produit. Mais j'aime une belle histoire, et je pense que d'autres aussi. Si vous voulez que votre idée se répande, arrêtez de vous concentrer sur les faits, arrêtez de vous concentrer sur votre produit et commencez à vous concentrer sur votre histoire. Rendez-la authentique/ Rendez-la intéressante, et comme Seth dirait, rendez-la remarquable.

6. Attention au besoin de masse critique

Je vais commencer cette idée par une citation de Seth : "L'échec avec de petits publics est un signal fort d'un échec prochain avec les grands publics." Trop souvent, les créateurs de startups racontent comment ils insistent pour atteindre une "masse critique" et que les "économies d'échelle" apporteront du profit. C'est tout beau et joli. Je le sais. J'ai été dans l'industrie des logiciels pendant un bon moment. Mais est-il absolument nécessaire d'atteindre une "masse critique" avant que votre affaire commence à avoir un sens quelconque ? Toute la masse doit-elle être critique ? Doit-elle exister ?

Ne pouvez-vous pas faire une affaire grâce à quelque chose qui ressemble un peu à :

Masse que vous avez < La masse magique qui est critique

Pourquoi autant de startups ont ces chiffres mythiques, magiques ("une fois que nous arrivons à 1.000.000 utilisateurs des arcs-en-ciel vont surgir de partout et de la poussière magique de fée tombera du ciel et fera nos finances être tellement meilleures").

7. Ils ne l'ont pas appelé le changement industriel léger

C'était une révolution, et comme toutes les révolutions, ce n'est ni léger ni commode. Si vous créez une startup qui va révolutionner quelque chose, vous devrez prendre quelques risques et rendre des gens mal à l'aise.

8. Vous devez vous lancer

Pour faire une chose, vous devez vous lancer. Vous ne pouvez pas attendre le moment idéal. L'idée parfaite (qui n'existe pas), le plan d'entreprise parfait, le moment parfait, le marché parfait, l'investisseur parfait, tout. Vous devez vous lancer.

Je vais finir par cette citation de Seth pendant le déjeuner : "Je suis impatient et pas du tout craintif de l'échec."

J'ai tout plein d'autres perles de sagesse de Seth, mais c'est tout pour le moment. Je dois retourner à travailler sur la prochaine version alpha de Twitter Grader.

Donc, qu'en pensez-vous ? Est-ce que l'une des idées ci-dessus résonne en vous ? Y en a-t-il une avec laquelle vous n'êtes pas d'accord ? Je ne suis pas en mesure de les défendre, mais ça ne m'a jamais arrêté auparavant.

 

L’article qui précède est la traduction de l’article «8 idées sur les startups du méga esprit de Seth Godin » de Dharmesh Shah. La traduction et la publication sont autorisées par l’auteur: retrouvez régulièrement sur notre blog les articles de Dharmesh Shah sur onstartups.com

Dharmesh Shah est diplômé dans un premier temps de l’université de l’Alabama en informatique, et d’un Master Spécialisé du MIT, en innovation et leadership. Passionné de programmation et d’entreprenariat, il a par ailleurs créé plusieurs sociétés, dont la dernière, Hubspot, permet de créer et d’optimiser un site internet et son marketing. Vous retrouverez ici une sélection d'articles de son site d’actualité de l’entreprenariat high-tech.